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Un visiteur
3,0
Publiée le 9 mars 2012
Un très bon casting pour un scénario pas vraiment original mais sauvé par un dénouement final innatendu. Ce n'est pas tellement effrayant mais l'ambiance m'a bien plus, on a envi de savoir ce qui s'est passé dans cet asile. Pas mal!
Une immense déception que ce "The Ward" trainant en longueur. Je m'étonne même qu'il soit sorti en salles. Ca pue le DTV. Et pourtant c'est un fan absolu du Big John qui vous parle. Vous vous rappelez ? Big John, le real anar par excellence, le punk d'hollywood, celui qui avec 2 francs (dollars) et 6 sous vous pondait "Invasion Los Angeles" et en parallèle d'un scénario captivant et de scènes anthologiques déglinguait au passage les dérives du capitalisme avant l'heure. Big John, quoi ! Bon, je ne vais pas vous refaire la bio mais vraiment ce film est un non évènement que je vais vite oublier en allant me mater "The Thing" pour la 200ème fois. Ah, une dernière chose : spoiler: personne n'a vu "Identity" de James Mangold ? Je m'étonne que nulle part on ne cite ce monument, pourtant j'y trouve quelques ressemblances assez frappantes avec ce "The Ward"...
Faut croire que John Carpenter est une relique qui appartient au passé. ça me fait un peu chié de dire ça car j'aime beaucoup John Carpenter mais faut l'admettre, "The ward" manque de mordant, d'envie, d'un p'tit truc qui fait que. Pourtant la scène d'introduction était pas mal, mais juste après on grille le twist de fin pas génial d'ailleurs. ça commence à devenir pénible les films à twist, ils se ressemblent tous, s'en est un code faut croire. Un cliché même. Mis à part quelques plans réussis faut pas espérer grand chose de "The ward", le scénario est déjà vu. Même du côté de la violence y'au un truc qui cloche c'est mi gore mi soft. Enfin je sais pas ça m'a paru un peu bizarre les deux trois moments violents. Ah et j'ai failli oublié de parler du fameux fantôme, et bien il fait vraiment flipper. Pas parce qu'il est particulièrement réussi mais parce que son costume/maquillage est exactement comme les vieux films d'horreur fauché. C'est moyen.
Mais où donc John Carpenter s'est t'il perdu ? Il rompt cette fois-ci avec une tradition de 30 ans qui lui faisait composer jusqu'à la bande son de ses films.
Malgré un début prometteur, le film manque cruellement d'un éclair de génie, et retombe vite dans ce qui se fait de plus classique dans un thriller en huit-clos. Aucun poncifs du genre ne nous est épargné, ponctués de quelques clins d'oeil au cinéma horrifique Japonais très en vogue ces dernières années. Reste heureusement la chute qui est réellement surprenante. Alors qu'attendue au tout début, on finit par se perdre totalement dans les couloirs de cet asile, où l'on croit jusqu'au dénouement avoir à faire à une série B horrifique aux effets assez efficaces. Un final où l'on semble enfin retrouver un peu de John Carpenter et de son univers à cheval entre Lovecraft et Stephen King. Insuffisant Mr Carpenter, Un film qui aurait fait un excellent épisode pour la série Master of horror pour laquelle il a d'ailleurs déjà oeuvré à 2 reprises.
John Carpenter n’a pas voulu faire un "grand" film (c’est délibérément qu’il n’a pas signé la musique et le scénar)... Par conséquent, il nous livre un "petit" film "de commande" mais n’oublie jamais de le soigner pour autant l’emballage : trés atmosphérique et magnifiquement réalisé(superbe utisation du cinémascope), avec une interprétation solide. Il y a un certain "classicisme" digne des films des années 70, sans trop en montrer mais montrant pourtant le principal : savoir raconter une histoire, car, il faut bien le reconnaître, on entre trés facilement dans le film et jamais l’on ne s’ennuit. Une photographie magnifique, une mise en scène trés belle ( parfaite lisibilité) et un final surprenant UN RETOUR GAGANT .....
un bon film signé Big John ! pas le meilleur de sa filmographie mais une ambiance et une mise en scène plutôt bien maîtrisée qui évite le piège du montage épileptique. bref du carpenter qui se laisse voir sans déplaisir.
Film au allure très petit budget, à peine digne d'un épisode des contes de la crypte, pourtant réalisé par un des maitres de l''horreur. Dans ce genre il y a eu beaucoup beaucoup mieux que cette daubasse (je cite the ring, dark water). Encore un zombie furax qui plante ici le décor et tenez vous bien il vous surgit toujours dans le dos au moment ou vous ne vous y attendez pas... Allez je le colle même dans la rubrique nanarland.
10 ans. C'est ce qu'il a fallu pour le grand maître du cinéma d'horreur, John Carpenter, de revenir dans le milieu du cinéma avec "The Ward". Et le monsieur n'a pas fait les choses à moitié en engageant Amber Heard (valeur sûre) en tête d'affiche et en tablant sur un film d'horreur avec des fantômes dans un hôpital psychiatrique. Premier mauvais point : Ce n'est pas ce film qui rendra la filmographie de Carpenter obsolète. Nous sommes bien loin de l'efficacité d'un Halloween, d'un Fog ou n'importe quel autre, en terme de peur. Le film nous fou jamais la trouille, a défaut d'un montage parfois limite. On se surprendra même à avoir bien plus peur devant "Gothika" de Mathieu Kassovitz. Mais oui, le scénario est dans tous les cas très passionnant et la fin surprend à défaut d'être complètement originale. On regrettera juste le maquillage un peu cheap de Alice. Le reste est digne d'une série B made in John Carpenter, c'est à dire du tout bon.
John Carpenter m'a un peu déçu avec "The Ward"... Bon, il est vrai que je ne suis pas totalement déçu non plus, car la fin parvient à rehausser l'intérêt global de tout le film. Mais au début, j'ai vraiment eu beaucoup d'appréhension: une histoire de fantôme dans un asile psychiatrique pour un film d'épouvante qui a recours aux "jump scares" les plus classiques ( "bou !" et une silhouette menaçante apparaît subitement ), ce n'est pas ce qu'il y a de plus engageant, en tout cas pas au premier abord... Pendant tout le film, je me suis un peu ennuyé, je trouvais qu'il manquait une ambiance pour que la peur puisse jouer efficacement avec mes nerfs. J'ai eu du mal à savoir dans quoi je mettais vraiment les pieds et je me disais que pour un film d'horreur, celui-ci se montrait étonnamment faible et d'une banalité affligeante. C'est pourquoi je me doutais ce film finirait par verser dans un domaine plus psychologique, ce qui se justifie naturellement par la nature de l'environnement dans lequel cette histoire prend place. Je n'ai pas été particulièrement surpris, mais je suis soulagé de constater que le scénario se tient mieux que prévu... Pourtant, Carpenter continuera de jouer la carte du "jump scare" jusqu'au dernier moment, laissant finalement davantage la sensation qu'il a réalisé un film d'horreur bâclé plutôt qu'un bon thriller. "The Ward" fait presque office de tache dans la filmographie du réalisateur, c'est pourquoi je recommande à tout le monde d'oublier ce film ( sauf aux quelques personnes l'ayant visiblement apprécié ).
J'ai tenu tout de meme 40 mn avant d'arreter cette farce. Enieme film ou une vielle revenante hante l'hopital psychiatrique qu'elle a séjourné, rien ne se passe.Enfin si..c'est mou,c'est lent , les personnages jouent mal et ne sont pas attachants.Le "méchant"? ah si il apparait parfoit dans le noir , plutot son ombre, ridicule.Nullisime. Ne me dites pas qu'il s'agit du meme Carpenter qui a fait le chef d'oeuvre 'the thing" en 1982?
Ahhhh qu'il est bon de renouer avec la bonne petite série B d'épouvante bien (trop ?) classique, loin des torture-porn et autres "expérience-viscérale-révolutionnaire-mon-cul-sur-la-commode" ! Non pas que Carpenter se soit franchement lâché sur ce thriller psychorrifique somme toute prévisible, mais il le réalise avec honnêteté et efficacité. Et même si on préfère largement le retour au genre de Sam Raimi, on ne peut que saluer ces come back réussis des tauliers de l'époque qui parleront avant tout aux nostalgiques d'un certain cinéma d'horreur des années 80, très loin de la mode actuelle. Réjouissant !
Vraiment pas mal ! John Carpenter m'avait habitué à mieux, mais ce 'The Ward' est bien mieux que la plupart de ses derniers travaux (je pense surtout à 'Ghosts of Mars' qui est une grosse daube à mes yeux). L'atmosphère est efficace, il y a quelques passages flippants. Les actrices sont toutes crédibles, elles parviennent à rendre leurs personnages attachants. Et le twist-final est inattendu... Une bonne petite surprise !
Certes pas le meilleur Carpenter, mais un Carpenter moyen reste loin au dessus de la majorité des films d'horreur du moment. Intéressant, flipant, superbement bien réaliser et sans autre ambition que d'être à l'ancienne, le film fonctionne.
Le vétéran John Carpenter nous revient en grande forme avec ce thriller horrifico-psychiatrique dans lequel on retrouve la passion du Maître pour l'angoisse de qualité dans des décors léchés et bien glauques, dans des époques révolues. Même la musique, qui pour une fois n'est pas signée du grand John, sonne comme du Carpenter. Les comédiens sont excellents, dirigés tout en retenue, ce qui surprend agréablement dans un genre cinématographique où les acteurs sont priés d'en faire des tonnes. La ravissante Amber Heard livre une prestation éblouissante qui lui vaut de porter littéralement le film sur ses épaules. L'histoire, bien ficelée, nous amène à son surprenant dénouement sans temps mort. Le bémol vient de l'aspect un peu trop caoutchouteux de la créature, ce qui est quand même un comble à l'époque du numérique !