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AMCHI
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1,5
Publiée le 25 novembre 2017
Passer la 1ère demi-heure Été japonais : double suicide devient plutôt ennuyeux en se prélassant dans des scènes trop bavardes n'apportant pas grand chose à l'intrigue et le final n'a rien d'enthousiasmant. Et c'est dommage car Été japonais : double suicide débutait bien ou on se laissait prendre par le côté décalé de ce film japonais mais Oshima ne pousse pas assez cet aspect du film donc après 30 minutes j'ai finalement décroché de Été japonais : double suicide.
Je n’avais jusqu’à présent jamais été déçu par un film de Nagisa Oshima et malheureusement avec "Eté japonais : double suicide" je suis en présence d’une réelle et amère déception. Le sujet de départ me laissait pourtant présager d’une œuvre atypique et enthousiasmante, mais au final je m’y suis pas mal ennuyer. La faute à une réalisation bien banale et à la présence de scènes beaucoup trop bavardes. Le casting et en plus pas franchement convaincant, mise à part la performance de l’actrice principal qui interprète de manière assez juste son personnage qui ne pense qu’a une seule chose : le sexe !
Titre trompeur. Ce film aux allures de fable post-apocalyptique, fascine par son nihilisme. Une nymphomane, un suicidaire, des yakuzas, un étranger peuplent cette allégorie d'un Japon déshumanisé et désincarné. Le tout filmé comme un gigantesque jeu de rôles.
Quel film étrange, de l'anticipation et de l'irréel (les personnages décalés et des situations parfois absurdes). Difficile à classer comme oeuvre, la réalisation est à mon goût et ce qu'il y a de mieux. L'histoire est vraiment dingue mais pas exceptionnelle car finalement il ne se passe pas grand chose niveau intrigue, une curiosité à découvrir.
Décidément le jeune Nagisa Oshima de la Nouvelle Vague japonaise avec ses pensums lourds, j'aime pas du tout. Je préfère très largement le Oshima plus tardif. Comme "À propos des chansons paillardes japonaises" et "Violences en plein jour", "Eté japonais : double suicide" est une oeuvre chiante. La grande différence avec les deux autres films cités qui se déroulaient dans le cadre de son époque, là on est plus dans une sorte d'anticipation brassant des thèmes comme la violence, le sexe et le patriotisme. Le début est intriguant, la fin se distingue par de l'action mais entre les deux zzzzzzzzzzzzzzzzzzz........ le cinéaste traînant ses personnages dans le bavardage et la caricature. Et le problème, c'est que le milieu est beaucoup plus long que le reste.