Les plus utilesLes plus récentesMembres avec le plus de critiquesMembres avec le plus d'abonnés
Filtrer par :
Toutes les notes
claude M.
5 abonnés
57 critiques
Suivre son activité
3,5
Publiée le 1 juillet 2015
Bon western, histoire basique, mais pas caricaturale. Errol Flynn charmant, environnement bien rendu, aurait mérité un peu plus de développement (1h13).
13 920 abonnés
12 474 critiques
Suivre son activité
3,0
Publiée le 19 novembre 2013
Encore un bon petit western tournè par un spècialiste du genre que l'on ne prèsente plus! En 1950, Errol Flynn tourne donc sous la direction de Ray Enright où l'opposition des personnages incarnès par Flynn et Alexis Smith (qui nous gratifient au passage d'une belle chanson) illustre l'affrontement entre les èleveurs de moutons et les èleveurs de boeufs! L'èlevage est à l'origine même de la figure lègendaire du cowboy! Caractèrisèe par son nomadisme, la profession d'èleveur est souvent opposèe à celle des agriculteurs! Ceux ci voyaient d'un mauvais oeil leurs terres piètinèes et dèvastèes par le bètail des èleveurs! L'imprècision de la juridiction officielle à ce sujet et, surtout, à la difficultè qu'il y avait à la faire correctement appliquer donnaient lieu à des conflits interminables, gènèralement tranchès par la seule loi rèellement en vigueur dans l'Ouest: la loi du plus fort! Dans un Technicolor de qualitè qui met bien en valeur la chevelure volcanique d’Alexis Smith, on se laisse sèduire par une belle distribution entre romance, conflits, èleveurs de bovins et de moutons...
Un seul regret: que Errol Flynn soit déjà trop marqué par les années seulement 8 ans après ‘’Gentleman Jim’’dans lequel Alexis Smith était déjà sa partenaire. Pour le reste pas de critiques: un western hyper classique, des situations routinières mais avec un ton un peu différent à la limite du douloureux, des éleveurs de bovins d’un coté, des bergers de l’autre et l’amour en plein milieu. Maria est superbement interprétée, ses colères passent fort bien de même que son attirance pour Morgan. la mise en scène est vive (on sent Walsh dans le déplacement des bovins) et les moutons aussi présents que dans la vallée de la poudre. Une séquence fort réussie, c’est la harangue de Maria lors du rendez vous programmé chez le troisième éleveur, c’est du bon cinéma comme ce que fait Enright , cinéaste un peu trop méconnu.