AlloCiné
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Votre avis sur Cloud Atlas ?
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J'ai rien compris à ce film. Trop compliqué. C'est osé et risqué de pondre un truc comme ça. Impossible d'accrocher.
3,2 - Mitigé entre la qualité de la mise en scène, la complexité du scénario et son originalité. Peut être trop complexe pour en apprécier la simplicité du message avec des individus liés à travers les âges...
assez captivant et intriguant, c'est tout de même un peu long et frustrant quand au dénouement finalement assez singulier.
La prouesse remarquable est celle des comédiens et notamment de la section HMC (maquillage, costumes etc). Le générique est particulièrement plaisiant en nous faisant découvrir l'étendue des personnages joués par les comédiens qui pour certains, je n'avais pas fait attention
assez captivant et intriguant, c'est tout de même un peu long et frustrant quand au dénouement finalement assez singulier.
La prouesse remarquable est celle des comédiens et notamment de la section HMC (maquillage, costumes etc). Le générique est particulièrement plaisiant en nous faisant découvrir l'étendue des personnages joués par les comédiens qui pour certains, je n'avais pas fait attention
Points forts :
- Le concept unique, la narration ultra-ambitieuse et la poésie qui s'en dégage.
- Le montage magistral et les transitions entre les époques
- La maîtrise technique des réalisateurs en dépit des limites budgétaires : les plans aériens sur le bateau d'Adam Ewing, les paysages de Majorque superbement intégrés au futur post-apocalyptique, l'effort porté au world building dans le futur de Sonmi.
- Des acteurs qui se défoulent dans des rôles à contre-emploi : Tom Hanks en écrivain populaire vulgaire ou en médecin crapuleux et avide, Hugh Grant en chasseur cannibale dans un futur post-apocalyptique (!), Hugo Weaving en infirmière despotique (!!).
- La musique de Tom Tykwer, Reinhold Heil et Johnny Klimek
Points faibles :
- Certaines scènes d'action qui versent dans le too much dans la partie Sonmi ( notamment la scène du pont )
- Les maquillages asiatiques sur les acteurs caucasiens qui sont peu convaincants.
- Rançon du concept : des changements de registre parfois un peu étranges, comme par exemple la juxtaposition entre des moments cocasses ( le récit dans la maison de retraite de Timothy Cavendish ) et d'autres plus sombres ( la poursuite haletante dans l'ambiance de thriller néo-noir de Luisa Rey ).
Conclusion : "De temps à autre, l'association de plusieurs esprits créatifs parvient à accoucher d'un chef-d'oeuvre qui surpasse les attentes qu'on peut en avoir. C'est le cas de Cloud Atlas qui est une œuvre unique, singulière et sans concession qui dépasse les limites du genre."
- Le concept unique, la narration ultra-ambitieuse et la poésie qui s'en dégage.
- Le montage magistral et les transitions entre les époques
- La maîtrise technique des réalisateurs en dépit des limites budgétaires : les plans aériens sur le bateau d'Adam Ewing, les paysages de Majorque superbement intégrés au futur post-apocalyptique, l'effort porté au world building dans le futur de Sonmi.
- Des acteurs qui se défoulent dans des rôles à contre-emploi : Tom Hanks en écrivain populaire vulgaire ou en médecin crapuleux et avide, Hugh Grant en chasseur cannibale dans un futur post-apocalyptique (!), Hugo Weaving en infirmière despotique (!!).
- La musique de Tom Tykwer, Reinhold Heil et Johnny Klimek
Points faibles :
- Certaines scènes d'action qui versent dans le too much dans la partie Sonmi ( notamment la scène du pont )
- Les maquillages asiatiques sur les acteurs caucasiens qui sont peu convaincants.
- Rançon du concept : des changements de registre parfois un peu étranges, comme par exemple la juxtaposition entre des moments cocasses ( le récit dans la maison de retraite de Timothy Cavendish ) et d'autres plus sombres ( la poursuite haletante dans l'ambiance de thriller néo-noir de Luisa Rey ).
Conclusion : "De temps à autre, l'association de plusieurs esprits créatifs parvient à accoucher d'un chef-d'oeuvre qui surpasse les attentes qu'on peut en avoir. C'est le cas de Cloud Atlas qui est une œuvre unique, singulière et sans concession qui dépasse les limites du genre."
CLOUD ATLAS (2013) Plusieurs aventures dans un seul film,. Etrange, déroutant si l'on n'est pas prévenu, Les acteurs joueront dans toutes les histoires et seront très attachants et par certaines occasions feront sourire. Une fois que cette réalisation sera acceptée ,on s'embarquera facilement dans les 6 aventures qui nous seront présentées. Décors et effets spéciaux seront réussis. Maintenant si il y a un lien qui rapprochera toutes ces périodes, je ne l'ai toujours pas trouvé.
Superbe film. Complexe et très complet, Cloud Atlas apporte une reflexion philosophique par le biais de plusieurs personnages : Chaque décisions et actions ont des conséquences sur l'avenir ; Ce film amène à réfléchir sur notre existence et sur ce que nous pouvons faire en marquant l'Histoire et notre vie.
C'est également une critique de notre société, qui au fil des siècles encourage la consommation au détriment de l'humain, de la liberté et du libre arbitre.
C'est également une critique de notre société, qui au fil des siècles encourage la consommation au détriment de l'humain, de la liberté et du libre arbitre.
Le seul souvenir que je garde de ce film : j'ai préféré mon bac littéraire à la philosophie et la métaphysique New-Age de ce film infantile.
Un film inclassable qui mêle tant de genre, une véritable symphonie visuelle et émotionnelle. Certains clichés subliminaux un peu trop politiquement corrects ne lui permettent pas de se hisser à la hauteur d'un chef d'œuvre, mais il reste un très beau moment de cinéma servi par un casting 5 étoiles.
Un chef d’œuvre ! Un film immense dans son histoire dans ses différentes époques, de très grands acteurs que l’on retrouve dans chaque période. Un très bon rythme, de l’humour dans ce film monumental, une musique magnifique dans de superbes paysages. Très beaux messages sur la loi de cause à effet de nos vies karmiques. Bravo encore les wachowski !
Belle œuvre philosophique, elle permet de remettre en question les pensées acquises et qu'on considère certains. Elle se meut dans une pensée déterministe, et fait de la mort une étape de la vie et non un arrêt de la vie, mais suscite tout de même d'autres questions sur le début de ce schéma. En outre, elle casse en partie la question du racisme, ce n'est point une question de race mais d'un individu, de sa culture, des idées inculquées. Et montre que c'est relation dominé-dominant, mais avec un effet de groupe.
Histoire très captivante, un Casting au top.
J'ai adoré ce film.
Histoire très captivante, un Casting au top.
J'ai adoré ce film.
Peut-être vais-je me faire taper dessus pour cette note mais tous les films ne peuvent pas plaire à tout le monde ! Je soulève la complexité du film et le passage d'une histoire à une autre d'un claquement de doigts, ce qui fait que l'on se perd facilement. Cela a été pour moi un supplice de le voir en entier, surtout de part sa durée de 2h45 !!! Il s'agit là pour moi d'une durée exorbitante pour un film de la sorte ! Et globalement, je ne perçois pas l'idée du film, ce qui lui donne pour moi un intérêt inexistant.
Je ne pourrai dire si je recommande ou non car cela dépend des personnes.
Je ne pourrai dire si je recommande ou non car cela dépend des personnes.
Cloud Atlas est un exercice de style parfaitement maîtrisé et réalisé. Les six scénarios, au genre très différent, coexiste et se répond au millimètre près. Le spectateur ne se sent jamais perdu et prend plaisir à découvrir le grand sens de toutes ces histoires et des personnages. La performance des acteurs est bluffante tout comme la musique et le thème principal. Dommage, cependant, que les micro-histoire manque quelque peu d'originalité et sont assez convenu, ce qui aurait pu en faire un film parfait.
La critique complète et sans spoil est ici : spoiler: http://lantredesopinions.over-blog.com/2019/02/cloud-atlas-de-lana-wachowski-lilly-wachowski-et-tom-tykwer-un-melange-des-genres-efficace.html
La critique complète et sans spoil est ici : spoiler: http://lantredesopinions.over-blog.com/2019/02/cloud-atlas-de-lana-wachowski-lilly-wachowski-et-tom-tykwer-un-melange-des-genres-efficace.html
Film prétentieux, indigeste dans son histoire quasi-mystique dans laquelle le karma et la résurrection des âmes forment la clé de voûte d’un scénario alambiqué et faussement intelligent. Le succès de ce film, salué par la critique, a sûrement pour racine l’idée qu’il faut sortir de la salle en se gaussant d’avoir compris quelque chose au grand dam des autres, qui eux, n’ont rien compris. C’est donc à ce catalyseur d’égos à grande échelle que « Cloud Atlas » doit son aura, réhaussé par une débauche d’effets spéciaux tout à fait respectables, il est vrai. On cherche à comprendre, on cherche, on cherche encore sans appréhender réellement le lien qui unit les scénarios sans vraies convergences, le tout sur une durée de 165 minutes, c’est long. Les maquillages sont bien réalisés, ce qui nous permet d’entrevoir quelques têtes que l’on n’a pas spontanément reconnues. L’ensemble est donc soporifique, sans grand intérêt et presque indigent dans son approche philosophique.
Une ambition démesurée mais le résultat est loin d'être là. Essayons d'y voir clair. Si on est surpris au début par le montage mélangeant plusieurs histoires à plusieurs époques, on s'y fait facilement, d'autant que tout cela apparaît intrigant (à défaut d'être passionnant) et que les images sont jolies. Au cours de la seconde période ça se gâte pas mal, le côté intrigant ne fonctionne plus des masses, mais plus grave ça ne passionne toujours pas et l'empathie pour les personnages ne fonctionne pas, de plus l'épisode futuriste coréen est esthétiquement raté. Plus grave encore, on a droit à un gloubi-boulga philosophique qui collé sur un devoir de philo aboutirait à un zéro pointé : on nous inflige en gros une défense et illustration de la théorie de la métempsychose au premier degré, et quelques références à Soljenitsyne (faut-il rappeler aux auteurs que ce monsieur n'était pas un philosophe et que d'autre part il avait un gros problème avec le sexe qu'il exécrait.) On se rend donc compte qu'il s'agit d'un film à messages… Ben non merci, la métempsychose ne tient pas debout, et en philo je préfère des gens un peu moins tristes et plus ouverts. Et puis d'abord je n'ai pas besoin de message, je ne vais pas au cinéma pour ça. Quant à la troisième partie, elle se regarde d'un œil distrait, on se dit qu'on a fait le tour du sujet et on se fout de ce qui arrive à tous ces personnages d'autant que les dialogues prennent un tour grandiloquent. Une expérience intéressante à faire au lit si vous êtes insomniaque : essayez de dissocier complètement les 6 histoires les unes des autres et vous obtenez quoi ? Six nanars ! Alors que sauver de ce fatras ? Le sourire d'Halle Berry magnifiquement photographiée, et éventuellement les pitreries de Jim Broadbent dans le rôle de Timothy Cavendish. C'est peu, c'est très peu ! PS : J'ai oublié de parler du jeu execrable de Doona Bae, de certains maquillages grotesques et sans doute de plein d'autre choses encore..
Bien réalisé, bien interprété par un casting cinq étoiles mais difficile d’accrocher à ce fouillis sans émotion.
Discret grand film de SF, époustouflant, émouvant, dense, complexe et fascinant. Je le conseil vivement.
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