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5 critiques presse
France Soir
par Ariane Dollfus
De votre fauteuil, vous riez aux éclats. France-Soir, 14 mars 97
Positif
par Jean A. Gili
Certes, il ne faudrait pas faire des "Randonneurs" (…) [un] film politique ; mais dans la justesse de [son] approche, et en préservant les impératifs d'un spectacle réussi, se dessine un témoignage pertinent sur l'ici et maintenant d'un pays en crise. Pos
Le Figaro
par Claude Baignères
La satire est juste, pas très méchante, mais elle se venge de bien des choses, c'est-à-dire des gens. Le Figaro, 14 mars 97
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
L’écueil principal réside dans les viccissitudes prévisibles, (…) même si l’on perçoit une velléité de sortir des sentiers battus. Le Monde, 13 mars 97
Télérama
par Philippe Piazzo
Ce film paraît léger parce qu’on y rit souvent, mais l’aventure fugitive de ces gens ordinaires révèle un vrai défi : apprendre à découvrir, à supporter et à aimer les autres. Télérama, 12 mars 97
France Soir
De votre fauteuil, vous riez aux éclats. France-Soir, 14 mars 97
Positif
Certes, il ne faudrait pas faire des "Randonneurs" (…) [un] film politique ; mais dans la justesse de [son] approche, et en préservant les impératifs d'un spectacle réussi, se dessine un témoignage pertinent sur l'ici et maintenant d'un pays en crise. Pos
Le Figaro
La satire est juste, pas très méchante, mais elle se venge de bien des choses, c'est-à-dire des gens. Le Figaro, 14 mars 97
Le Monde
L’écueil principal réside dans les viccissitudes prévisibles, (…) même si l’on perçoit une velléité de sortir des sentiers battus. Le Monde, 13 mars 97
Télérama
Ce film paraît léger parce qu’on y rit souvent, mais l’aventure fugitive de ces gens ordinaires révèle un vrai défi : apprendre à découvrir, à supporter et à aimer les autres. Télérama, 12 mars 97