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Un visiteur
0,5
Publiée le 22 novembre 2008
On m'a recommendé de nombreuses fois ce film pour son 'histoire d'amour'... Je l'ai regardé, enfin j'ai essayé de le regarder. Très (trop ?) long. C'est pourtant pas mon genre mais... je ne suis même pas aller jusqu'au bout. Bouuh !
Ce film est long, mais alors looonnnnggg. Et faut le dire franchement on s'emmerde. Je viens de le voir avec mon copain, et alors qu'on avait des a priori positifs,on a été atrocement déçus. Mais où ont-ils pu trouver les 9 Oscars??! On ne s'est attaché à aucun personnage, on est restés indifférents devant chacune des histoires d'amour qui tombent à plat. On a l'impression de survoler chacune des histoires, elles sont toutes traitées superficiellement, alors qu'en 2h50 de film, y avait de quoi faire! Et le pire : c'est que moi qui pleure pour n'importe quel mélo à 2 balles, j'ai même pas ressenti la moindre humidité oculaire. Rien. Les deux seuls points positifs du film : le désert (très beau, mais c'est pas le réalisateur qui a créé le sable), et Juliette Binoche, qui faute d'avoir eu un super rôle, n'en est pas moins lumineuse.
Long et lent, mais grâce à un casting efficace on suit l'aventure et les flashbacks tout au long du film. Un film romantique avant tout, sur fond de Seconde Guerre Mondiale.
Apprécié au cinéma, le film m'a assez déçu par la suite, trop classique, un peu trop niais à l'image de la prestation surévaluée de Juliette Binoche. Néanmoins le film offre des moments esthetiques appréciables.
Si Le patient anglais mérite ses 9 oscars ? assurément ! Loin d'un blocbuster à l'américaine pourvu d'un romantisme cliché à 4 sous, ce film s'avère assez intimiste. Les deux relations amoureuses narrées en parallèle n'ont rien de superlatif, la sincérité prédomine. Le cadre exotique retranscrit à merveille ne gâche rien à tout ce plaisir.
Film a la construction intéressante car elle créé un bon suspense sur l histoire de ce mystérieux patient anglais. Mais alors long, beaucoup trop long.
Récompensé par 9 Oscars, ce grand film un peu épique renoue avec les grandes fresques d'autrefois dans le style des films de David Lean, ou de Out of Africa, et bénéficie d'une bonne réputation, mais moi je ne le trouve pas si exceptionnel. Certes, il séduit par son raffinement, son interprétation et le romanesque de son intrigue, mais pèche aussi par quelques longueurs. Le rythme est volontairement lent, de nombreuses scènes inutiles auraient pu être éludées, si bien qu'au bout d'un moment, on finit par s'ennuyer un peu... Il y a du bon dans ce film, mais je le trouve beaucoup trop surestimé.
ça vaut un coup d'oeil limité pour les acteurs (Ralph, Kristin et et Willem... moins pour Binoche la moche qui fait toc), un coup d'oeil limité dans le temps (genre un petit quart d'heure) ou bien à intervalles plus ou moins réguliers (quelques minutes toutes les demi-heures) parce que sinon on s'ennuie à mourir.
L'histoire n'est pourtant pas si mal malgré l'enrobage romantico-gnangnan très poussé mais que voulez-vous, plus de deux plombes et demi, ça va pas le faire. Le réalisateur Anthony Minghella est coutumier du fait : il délivre régulièrement des films longs et soporifiques, quel que soit le sujet. Cet abruti veut vous faire pioncer et il faut reconnaître qu'il a un don pour ça !
Anthony Minghella lorgne du côté de la fresque romanesque à la David Lean avec "Le Patient anglais". Adapté d'un roman de Michael Ondaatje qui a largement romancé le personnage de Laszlo Almasy pour en faire un grand héros romantique au sein de la seconde guerre mondiale, le film est ambitieux et assume totalement sa grande dimension romantique un peu mièvre. On y croise des personnages brisés par le destin et consumés par l'amour au sein d'un conflit qui les dépasse. Ce patient anglais, grand brûlé dont s'occupe une infirmière dans un monastère de Toscane, va changer la vie de ceux qui le fréquentent tandis qu'il se remémore sa vie et sa rencontre avec Katharine dont il fut éperdument amoureux. Certes le film n'évite pas les clichés et la mièvrerie. Il préfère au contraire les embrasser avec une certaine délicatesse. C'est pourquoi on se laisse embarquer par le savoir-faire de l'ensemble, mené par un Minghella très à l'aise, aussi bien dans la fresque que dans un registre plus intime. Il faut dire que le casting le soutient à merveille dans sa démarche, en particulier le couple vedette formé par Ralph Fiennes et Kristin Scott Thomas. Long sans jamais être ennuyeux, romanesque à souhait et amplement émouvant, "Le Patient anglais" est du cinéma à l'ancienne comme on les aime, embrassant pleinement sa dimension épique pour mieux séduire.
Film riche et foissonant, aux images somptueuses, de la Toscane au désert Saharien . On a deux histoires en une, en fait, une histoire d'amour et une histoire de reconstruction dans un monde nouveau alors que la fin de la guerre approche. Le film passe de l'une à l'autre grâce à un savant montage et joue également avec la temporalité. De ce film se dégage la passion et ses tourments, le désert et la présence du sable, la chaleur, la desolation et le renouveau incarné par une Juliette Binoche. Une pluie d'oscar a récompensé ce film d'une grande ampleur