Repartir de zéro, pourquoi pas. En faire un film raté, on ne pardonne pas. Pourtant, nouvelles bestioles et nouveau lieu font leur apparition. Beaucoup moins bien que l'original, ce film tout d'abord insipide, inintéressant, mièvre, vaut pour quelques scènes d'actions à peu prêt bien foutues. Mais la fresque finale, semble montrer que le réalisateur est passé à côté de son sujet. C'est "bourrin" et çà manque clairement d'inspiration, oui, c'est creux.
Le film commence assez bien, pendant les 15 premières minutes on ce dit que sa va être un super film, mais malheureusement plus le temp passe, plus sa deviens n'importe quoi. Les paroles sont grotesques, les scénes d'actions sont baclées et à mourire de rire. C'est dommage pour un film comme predators, ils auront pu faire beaucoup mieux.
Ca se laisse regarder sans plus, le scénario et prévisible et Fishburne risible en Gollum ^^ Les personnages à la Cube, la jungle du premier et Brody qui rend hommage en Schartzy boueux
On retrouve l'ambiance du premier Predator, la jungle, les super-combattants. Ici, on ajoute quelques surprises et une galerie de personnages sympathiques (enfin, pas dans le sens où on aimerait bien les avoir pour voisins) et un casting efficace. A défaut d'avoir de grandes lignes de textes, on se contente de quelques punch-lines sur la guerre, la chasse, l'humanité. Plutôt bien foutu et reprenant avec efficacité la franchise.
Je m'attendais à une daube mais en fait ce film m'a surpris, plus intelligent que je ne le pensais. Et aussi une superbe séquence vraiment très très belle où l'on vois le ciel de la planète des predators. C'est rare qu'un blockbuster soit aussi bon. Par contre niveau casting, Adrian Brody n'était pas vraiment adapté, pour ce rôle...
Mouais, tout a déjà été dit et je confirme: quelques scènes d'action sympa mais dialogues primaires, vagues rebondissements, incohérences ridicules (les héros tombent dans une cascade sans armes et ressortent avec des kilos de flingues qu'ils avaient avant de nager, le predator allié disparait comme par enchantement, le sacrifice grotesque du yakuza...). A voir quand on est vraiment très fatigué...
Je viens juste de regarder Predators, étant fan de AVP, c'est une vrai déception ! Le film est contrasté, je trouve que le scénario est pas mal mais très mal exploité par Rodriguez. De plus, je ne vois pas trop ce que Laurence Fishburne apporte au film mais bon, ensuite le Yakuza qui arrive à tuer un Predator avec son petit sabre, c'est juste comique. Ah oui, le combat entre Predators à la fin auraient pu être dantesque mais non le Bad Blood arrive à battre le Predator Seigneur. Sinon, le gros point positif est le jeu d'acteurs de Adrien Brody et Alice Braga, vraiment pas mal ! Cela reste un film moyen pour faire passé le temps.
"Predators" aurait pu être une bonne surprise avant que le dernier quart d'heure annihile tout espoir d'une production blockbuster audacieuse. Le grand malheur paradoxale d'hollywood est de proposer des fictions consensuelles batties sur un schéma scénaristique et esthétique prévisible et impersonnel donc non créatif. Paradoxale car tout simplement, économiquement cela semble marcher, les spectateurs étant toujours aussi nombreux à se voir raconter les mêmes histoires. Basant son histoire de base sur un réalisme comportemental aussi crédible que le permet une machine de 38 M de dollars, les premières séquences du film sont agréables. Malheureusement le film change radicalement de discours, d'un hymne couillu à l'individualisme pour survivre le film vire petit à petit dans une mélasse sentimentaliste. Le personnage le plus "perso" et distant cèdera finalement à un résident inconscient et insoupçonné d'humanité pour porter secours au seul atout charme du film. Femme qui bien sur, est le symbole parfait de valeurs humaines qu'elle réussira à faire résonner chez le "Héros" dans un monde où on peut perdre sa colonne vertébrale après une seconde d'inattention. Le scénario prend aussi soin de détruire un des seuls espoirs du spectateurs résident dans l'idée qui aurait été de nous faire découvrir que l'Homme ordinaire (appellation chère à Mr Roux) est un monstre en puissance quand poussé dans une situation extrême. Mais encore une fois c'est peine perdue, le dernier quart d'heure sauve la morale improbable d'un système politiquement correct. Point de détail de l'histoire mais moins anecdotique que l'on pourrait imaginer, l'ordre de meurtres qui reste un des plaisirs coupables du spectateur lambda. Ici on sourira en découvrant que ce sont les étrangers qui quittent l'aventure en premier, suivi des personnages antipathiques. Pour l'amateur de films d'actions on accordera au réalisateur une certaine retenue dans la mise en scène des affrontements, offrant une meilleure visibilité de l'action ainsi qu'un plus gros impact, l'image étant débarrassée de trop de fioritures. Le film est finalement une coquille vide qui ne distraira que les moins regardants, les purs amateurs de testostérone, les autres peuvent passer. Décidément les scénaristes/producteurs américains ne peuvent s'empêcher, quand ils imaginent un asiatique, de lui donner un sabre pour qu'il s'amuse...
Assez déçu par ce remake du légendaire Prédator. Ce film perd tout sa saveur du premier opus. On s'attend à beaucoup d'actions, seul les 20 dernières minutes nous en offrent. Par contre beaucoup de suspens dans ce film. Un peu trop d'ailleurs car l'on s'attarde énormément et on attend encore et encore que le predator se montre. On suit les aventures de Royce et d'une petite brochette de petits mercenaires. Royce, méchant au départ et sauveur à la fin. On commence par une bataille entre tout le groupe face à un prédator, ça finit par un duel et forcément, c'est l'humain sauveur de la belle qui s'en sort. Un yakusa, un docteur, un soldat, un condamné à mort... Voilà ce qui se présente dans ce film. La bance annonce a l'air alléchante, mais ce sera tout, le film est long et ennuyeux. A voir pour les amateurs du genre seulement.
Pitoyable, comment gâcher une légende qu'est PREDATOR ! L'histoire est sans charme, sans suspens, dialogues inexistants (que des "Put*in" et des "M*erde"sans interuption) Petite nouveauté sur les races de chasseurs mais aucune réelle explication. Les Prédators ne sont pas à la hauteur du 1er Opus, parfois ils paraissent complètement invulnérables, et juste après ils deviennent plus mauvais au combat que le commun des mortels... Les combats ne sont pas très poussés : celui du Yakusa avec son sabre et le combat final sont complètement tirés par les cheveux, si je ne veux citer que ces 2 exemples qui soutiennent ce que j'ai dis un peu avant... Très peu de point positif à part que l'on peu admirer de belles images du Prédator... "Bourin" et sans histoire voilà comment on peu qualifier ce film très décevant !
Cela ne m'a pas empêcher de le revoir une deuxième fois en HD où j'ai quand même pris un peu de plaisir à voir, comme dis plus haut, de belles images du Prédator toujours aussi intrigant et impressionnant.