Neil Marshalll revient, après Doomsday toujours fasciné par le mur d'Hadrian est son histoire il imagine l'histoire de la célèbre 9 légions qui disparut sans laisser de traces. Mais attention se n'est pas une histoire classique de péplum, mais plutôt un thriller au temps des légionnaires, suivant la course haletante des ces 7 légionnaires pour survivre. Le filmes garde un rythme tambour battant, enchainant les situations à une vitesse folle, il gagne en rythme se qu'il perd en émotions, les personnages son traités superficiellement est les situations enchaine trop vite pour pouvoir atteindre intensité qui aurait put être la leurs. Les acteurs tous justes, ce battes avec les quelques lignes qu'il possède seul Michael Fassbender est une Olga Kurylenko muet possède un temps de jeu suffisant pour convaincre, les second rôles son tous traités a part égale ce qui donne de bonne surprisse lors des combats(on ne devine jamais qui vas mourir). La réalisation des combats vire au gore(est pourtant d'habitude j'aime bien) jusqu'aux grotesque avec du sang CGI monstrueusement moche, le films abonde de plans large magnifique mais qui ne trouve aucun intérêt dans ce thriller, et ils sont bien trop semblable aux plans de LOTR pour être honnêtes. L'intrigue convenue ne convainc pas, virant presque vers le n'importe quoi avec l'intrigue amoureuses totalement inutile est hors de propos, même le combats final manque intensité comparait à la poursuite, dommages.
Film avec de très beaux paysages, des costumes très bien faits, un scénario un peu baclé mais toujours intéressant à regarder. Ce n'est pas un chef d'oeuvre mais se laisse regarder.
Quel dommage que ce Centurion ne soit qu'un survival à l'ambiance antique. Les jurons à la fuck sont très dispensables. Les décors naturels sont magnifiques mais les camps romains et pictes paraissent minuscules : un mur , quelques paillotes. Les scènes de combat virent au gore ( un peu trop ). Les femmes pictes ont du être recrutées dans des agences de mannequin mais honnêtement, on ne va pas s'en plaindre. Film prometteur mais sans surprise.
Passé la première partie du film prometteuse, Neil Marshall se contente d'une histoire très bas de gamme et très ennuyeuse. Les scènes d'actions sont molles et se font attendre, l'ensemble est assez fade comme les jets de sang numériques complètement grossiers. Et pourtant Centurion prévoyait un bon péplum épique, ce qui s'avère être tout le contraire. On retiendra seulement les paysages et on tâchera d'oublier le rendu final, inachevé.
Enorme surprise que ce Centurion! Un mélange parfait de rythme, d'action et de suspense. Sans oublier une touche d'émotion, et des personnages auxquels on parvient aisément à s'attacher, malgré une courte durée et un scénario assez linéaire (ce qui, au lieu d'être un défaut, contribue ici à l'efficacité du long métrage). Mention spéciale pour les splendides prises de vues qui émaillent le film, à travers un paysage incroyablement sauvage.
À ceux qui avaient été déçu de Gladiator, Spartacus : Blood & Sand et Ben-Hur (2010), vous ne serez pas déçu par cette nouvelle histoire se passant sous l'antiquité romaine. Sans révolutionner le genre, Neil Marshall réussit parfaitement à recréer l'univers des guerres aux frontières de l'empire romain. Oubliez les Rome et consort, le film est avant tout un film de guerre antique et de survie d'une poignée d'hommes dernières les lignes ennemies, pourchassés par les cruels Pictes. Le film m'a fait penser au tout aussi réussi 13ème Guerrier d'il y a 10 ans. Un divertissement d'excellente facture, où l'action est le maître-mot, malgré un scénario vaguement familier, mais sans l'héroïsation hollywoodienne qu'on nous rabâche à longueur de temps. Le réalisateur a eut la bonne idée de ne pas prendre des acteurs trop connus qui vampiriseraient le film, et chose à graver d'une pierre blanche, Olga Kurylenko joue bien, chose rendue possible par le fait qu'elle ne parle pas et que son rôle ne repose pas sur son physique. Un film qui mérite le coup d'œil. NB : le film n'a pas été tournée en Nouvelle-Zélande, mais bel et bien au Royaume-Uni.
Très bon film, bon scénario, la réalisation du film est superbe, les acteurs ont été bien choisi et les scènes de combats jouissives, ce film est une réussite et vu en vo c'est encore mieux, un film à voir absolument.
La neuvième légion ne m'a pas vraiment convaincu. Des décors magnifiques mais le sort de nos romains nous laisse presque indifférent. Pous les amateurs de boucherie tartare c'est parfait ...
Je trouve incompréhensible le boycott qu'à eu ce film en France et même dans son pays d'origine. C'est certes très violent et sanglant mais moi j'ai trouvé que ce film est un vrai exutoire tellement il est jouissif! C'est un film sur "l'antiquité" filmé de manière moderne et nerveuse, je trouve que ça apporte un bon vent de fraicheur au genre. Mais ce film n'est pas que violence, il y a des moments plus calmes et même une certaine réflexion sur la nature humaine. Il y a de plus des paysages magnifiques, des moments très touchants et les acteurs sont tous très bons : Olga Kurylenko notemment mais surtout Imogen Poots, qui joue la sorcière, qui m'a fait une très grosse impression, elle vole presque la vedette à Kurylenko je trouve, mon petit doigts me dis qu'elle va vite se faire un nom! Bref moi qui n'avais pas tellement aimé Doomsday (beaucoup trop foutoir à mon goût) là je suis conquis!!! Un film qui va vite devenir culte à mon avis ;)
Sortie technique pour le dernier film de Neil Marshall qui s’offre ici un pseudo péplum sanguinolent nous replongeant pour l’occasion en l’an 117 sur les terres Ecossaises où les soldats Romains et Pictes (barbares Ecossais) s’affrontent à coups de haches, de lances, d’épées ou autres. Scénario simpliste mais traque haletante (et répétitive), une poignée de rescapés Romains tentent de fuir la horde de Pictes lancée à leurs trousses. Niveau distribution, on retrouve Michael Fassbender, Dominic West et la ravissante Olga Kurylenko. Si le film n’a absolument rien d’original, il faut tout même féliciter les très impressionnantes scènes d’action où l’hémoglobine coule à flot, les crânes se fendent sous le poids des haches, le tout, au cœur de somptueux décors extérieurs.