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PowerKing - Les Chroniques du Cinéphile
Non, non et non! Je ne comprends pas ce genre de merde horrifique à deux balles. Et c'est censé faire peur? Pincez moi les couilles que je rigole! On y croit pas une seconde du début à la fin, encore une énième version du tueur lambda qui massacre au hasard sans le moindre mobile. c'est pathétique! Oh my god, oh my god j'ai fais dans mon froc!! Le scenario est lamentable ainsi que les acteurs et tout ce qui constitue le film en fait. Visionner ce navet est comme recevoir un grand coup de pied dans le cul et j'admire cette contre originalité qui m'a tout juste fait sourire. A voir en terme de référence nullissime. 1,5/5
Film de série b sans prétention porté par un humour très second degré. Avec des acteurs qui se marrent bien et une Sarah Thompson au charme mutin. De plus, Combs et Berryman c'est du lourd et ça fait plaisir. 4/5
FaRem
Mouais c'est vraiment pas terrible même assez mauvais, on a droit à un enchainement de meurtres sans intérêt ni d'effets gores, dommage que le film ne soit pas axé sur l’enquête ça aurait pu être mieux.
Le scénario promettait de bonnes choses mais malheureusement le jeu du personnage principal est très mauvais et les situations trop conventionnelles.
Un film peu innovant malgré quelques scènes bien gores et difficilement supportables. L'histoire et ses développements sont tellement classiques que je me suis ennuyé derrière ce film.
🎬 RENGER 📼
Ethan Wiley, spécialiste des Séries B horrifiques, dont Les Démons du maïs 5 - La secte des damnés (1998), réalise ici un DTV aussi inutile que ses précédentes réalisations. Brutal (2007) est sans surprise, dénué d'intérêt. Il est ici question d'un sérial killer qui a pris pour habitude de signer ses meurtres en laissant une fleur sur les restes de ses victimes. Scénario extrêmement mince pour une intrigue aussi futile que possible. Acteurs approximatifs et ensemble tout bonnement mauvais. Bref, tout est prétexte à une oeuvre gore où l'hémoglobine est au rendez-vous, mais mis à part cela, il n'y a absolument rien à en retirer (même la présence de Michael Berryman ne sauve pas le film), c'est le vide total !
Tout est bidon dans ce pseudo film d'horreur, à commencer par le titre du film, une série d’évènements improbables, des scènes bourrées de détails grotesques, des oublies, des ratés, ça sent l'amateurisme à plein nez.. L'histoire, banale à souhait, n’étonne pas, n’intéresse pas, les meurtres et les victimes sont des clichés comme pas possible, ça en devient ridicule. Ajoutez à cela une bande son sans intérêt, des doublages de voix mal foutues...eh ben...! Seuls les effets spéciaux gore sont de factures correcte, à croire que le make-up est bien meilleur que le réalisateur...
2 ou 3 scénes gores qui n'arrivent pas à maintenir à un niveau regardable cet océan de vacuité.... la jaquette annonce "quand hostel rencontre le silence des agneaux". Ils ont du se croiser de trèèèèèèès très loin un jour de grand brouillard. 0.5 / 5
Brutal est un film d’épouvante très moyen de Ethan Wiley. La mise en scène du réalisateur laisse à désirer, les acteurs comme Jeffrey Combs, Sarah Thompson ou encore Michael Berryman sont peu convaincants dans leurs rôles, le film est plat et sans aucun intérêt, on a aucune surprise et on s’ennuie très rapidement. Bref, à éviter…
Téléfilm américain sans grande originalité. Ce "Brutal" est censé être comme il est écrit sur la jaquette du dvd "la rencontre entre Hostel et Le silence des agneaux"... Bonjour la publicité mensongère hein ! C'est juste là pour attirer les regards et se faire du fric, car ce film ne ressemble en rien de près ou de loin à l'un de ces deux films ! Un dtv dont on aurait bien pu ce passé entre ses acteurs pas crédibles pour un sou, un scénario vu et revu depuis des années et ses meurtres censé être gore, mais qui, vu que tout est filmé dans une casi totale obscurité, reste à imaginer... Malgré tout la mise en scène reste soignée et les décors Californiens plaisant à voir.
Yannickcinéphile
Bon le vrai souci de ce film c’est que je ne sais pas s’il se voulait parodique ou sérieux, et ça c’est plutôt pas bon signe.
Brutal peut compter sur le jeu de Sarah Thompson. A l’aise avec son personnage, elle se montre convaincante dans sa prestation, agréable à suivre, offrant de la consistance à son rôle qui a le mérite d’être le meilleur du film. En effet on ne peut pas dire que ses acolytes ici, rodés au fantastique et à l’horreur est franchement étaient gâtés ! D’un côté il y a Berryman, efficace, mais doté d’un personnage pas terrible du tout qui vient introduire de l’humour dans le film, gommant toute sa possible noirceur, tandis que de l’autre il y a Combs, complétement à la ramasse sur ce coup, qui hérite d’un personnage absolument bidesque ! Dur de faire plus nul, que ce shérif qui passe tout le film à vouloir être réélu, et ne fait strictement rien si ce n’est combler les trous dans le film entre les meurtres.
Car Brutal en effet n’a pas de scénario. Il alterne meurtre et séquences inutiles avec Combs. Pas d’enquête, des rebondissements tirés par les cheveux, pas de suspens parce qu’on connait l’identité du tueur dès le début, même pas un meurtre franchement mit en valeur, le film donne une étonnante sensation de creux, de vide. En plus les moments humoristiques gâchent beaucoup la noirceur possible de ce film de serial-killer, et même si on sent une volonté de se démarquer, la recette fonctionne très mal.
La réalisation est à la peine. Si quelques scènes valent le coup, en général les meurtres sont très mal tournés (surtout les premiers), et la mise en scène manque fortement de tenu. Cela apparait bien sur le final, qui est vraiment très quelconque, et le réalisateur a beaucoup de mal à donner de la nervosité à ses scènes autrement que par un montage saccadé assez mauvais. Le film ne se rattrapant pas vraiment sur les décors et la photographie, pas mauvais mais très neutre, alors que la musique fait quelques efforts sans plus. Par ailleurs, malgré son titre, Brutal reste un métrage assez soft. Certes il y a des scènes violentes, mais enfin ça reste assez mal fait, et c’est souvent beaucoup plus suggéré que montré (notamment dans les premiers meurtres).
En clair Brutal est une déception. Je crois que l’équipe du film a voulu essayé de faire quelque chose qui sorte des sentiers battus, mais malgré la présence de Combs et de Berryman, la sauce ne prend pas, et le film s’avère trop laborieux pour séduire, surtout dans un registre concurrentiel comme le film de serial-killer. 1.5.
Brutal peut compter sur le jeu de Sarah Thompson. A l’aise avec son personnage, elle se montre convaincante dans sa prestation, agréable à suivre, offrant de la consistance à son rôle qui a le mérite d’être le meilleur du film. En effet on ne peut pas dire que ses acolytes ici, rodés au fantastique et à l’horreur est franchement étaient gâtés ! D’un côté il y a Berryman, efficace, mais doté d’un personnage pas terrible du tout qui vient introduire de l’humour dans le film, gommant toute sa possible noirceur, tandis que de l’autre il y a Combs, complétement à la ramasse sur ce coup, qui hérite d’un personnage absolument bidesque ! Dur de faire plus nul, que ce shérif qui passe tout le film à vouloir être réélu, et ne fait strictement rien si ce n’est combler les trous dans le film entre les meurtres.
Car Brutal en effet n’a pas de scénario. Il alterne meurtre et séquences inutiles avec Combs. Pas d’enquête, des rebondissements tirés par les cheveux, pas de suspens parce qu’on connait l’identité du tueur dès le début, même pas un meurtre franchement mit en valeur, le film donne une étonnante sensation de creux, de vide. En plus les moments humoristiques gâchent beaucoup la noirceur possible de ce film de serial-killer, et même si on sent une volonté de se démarquer, la recette fonctionne très mal.
La réalisation est à la peine. Si quelques scènes valent le coup, en général les meurtres sont très mal tournés (surtout les premiers), et la mise en scène manque fortement de tenu. Cela apparait bien sur le final, qui est vraiment très quelconque, et le réalisateur a beaucoup de mal à donner de la nervosité à ses scènes autrement que par un montage saccadé assez mauvais. Le film ne se rattrapant pas vraiment sur les décors et la photographie, pas mauvais mais très neutre, alors que la musique fait quelques efforts sans plus. Par ailleurs, malgré son titre, Brutal reste un métrage assez soft. Certes il y a des scènes violentes, mais enfin ça reste assez mal fait, et c’est souvent beaucoup plus suggéré que montré (notamment dans les premiers meurtres).
En clair Brutal est une déception. Je crois que l’équipe du film a voulu essayé de faire quelque chose qui sorte des sentiers battus, mais malgré la présence de Combs et de Berryman, la sauce ne prend pas, et le film s’avère trop laborieux pour séduire, surtout dans un registre concurrentiel comme le film de serial-killer. 1.5.
Ce film est mal fait et je déteste la scène où deux personnes font l'amour sur le tissu rouge. La fille fait une bonne tentative mais le gars reste là les yeux ouverts et avec un sourire idiot comme s'il ne l'avait jamais fait avant. Après cette scène la fille jette le gars dans une voiture en fermant la porte mais le tueur reste debout avec un outil en ayant l'air idiot. Une autre chose que j'ai remarquée est le tremblement de la caméra dans de nombreuses scènes qui m'a rendu malade. Il est clair que la caméra est tenue à la main. Le tueur et le shérif masculin réussissent à avoir un très mauvais jeu d'acteur. C'est vraiment dommage car les acteurs qui apparaissent dans la plupart des scènes devraient être bien meilleur. Même avec un scénario médiocre un bon réalisateur n'aurait pas pu sauver le film en aidant les acteurs à jouer leurs scènes. La personne à blâmer pour le résultat final est le scénariste et le réalisateur qui se trouve être le même homme. Quelle coïncidence si j'étais producteur je ne lui confierai plus jamais de travail du moins dans le monde du cinéma...
Brutal ne fait pas parti des inconditionnels d'horreur, qui peuvent paraître meilleur qu'ils puissent l'être, mais il a le don de laisser place à une intrigue assez plausible. Il est cependant vrai que les scènes de meurtres sont peu retentissantes, et insinue un manque de moyen que trop certain pour ce style de film, qui aujourd'hui lasse de part ses répétitudes.
Bienvenue dans le monde de nanarland, un monde où tous les coups, dans le 7ème art, sont permis. Un monde où le but recherché est peut-être, celui de dégoutter l'être humain du cinéma. Je plane, je plane comme ce film plane et vole si bas... Si le titre est accrocheur ( et c'est bien pour ça que j'ai pris la peine de le visionner ), le film reste néanmoins trés trés mauvais. Un tueur sans aucune classe, esthétiquement et physiquement le genre de mec de 40 ans encore puceau, habillé avec un pantalon qui monte jusqu'à la poitrine, chemise à carreaux,etc. Puis en parallèle de cette histoire de tueur sanguinaire, l'éternel shériff qui trompe sa femme avec une plus jeune et qui doit résoudre alors deux problèmes. C'en est trop pour un tel film. La caméra, la façon de filmer est tellement approximative, bouge tellement qu'à plusieurs reprises on se croirait dans un bateau. Dans un bateau jusqu'au moment du naufrage. Véritable navet, "Brutal" porte bien son nom, mais au générique de fin seulement, lors du réveil.
Je m'attendais à une daube infâme mais ce fût tout le contraire. On a un tueur très charismatique même si on le voit,à la American Psycho,les acteurs sont mauvais sauf le gars avec ses chiens,j'ai oublié son nom donc je l'appellerai comme dans le film en l'occurrence Leroy,et l'héroïne qui est Zoé Adams. L'histoire est bien pensé et le concept intéressant. Le tueur tue pour une raison bien précise. Le gore est présent mais manque un peu à l'appel. Mais ce qui m'a le plus plu,c'est Leroy et ses chiens,c'est un personnage très amical et attachant,autant que ses 2 beaux chiens. J'adore les chiens de nature. Et la scène finale qui témoigne de l'amitié qui s'est créée entre Leroy et Zoé est très touchante. Le shérif en prend plein la gueule vers la fin,en même il l'a mérite. À force de faire chier tout le monde,ils lui ont tourné le dos.
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