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faeriebandmetal
49 abonnés
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4,0
Publiée le 19 septembre 2007
Y'en a plus de films comme ça de nos jours bordel! Un savant mélange de western et polar avec un Bruce Willis en très grande forme. Il nous donne un personnage impitoyable mais au coeur sensible envers les jolies dames. En tout cas ça dégaine et vite et ça fusille de tous les côtés. Walter Hill nous offre une réalisation nerveuse et un film à l'atmosphère aride et à l'environnement apocalyptique. On en reverra plus des comme ça on dirait...
Loin de s'embarrasser d'une quelconque psychologie, creux et simpliste en apparence, une œuvre minimaliste à mi-chemin entre le film d'action et le western mis en scène dans un style direct, incisif et à prendre vraiment au second degré.
Tourné en 1996, ce film de gangster paraît pourtant dater des années 80, et est filmé comme un western de la grande époque alors que l'action se déroule dans les années 30. On retrouve un Bruce Willis en pleine forme, au côté d'un Christopher Walken métamorphosé en tueur sans pitié, le tout agrémenté de quelques gunfights que n'aurait pas renié un John Woo. Sympa mais pas exceptionnel pour autant.
Un film de gangster style western sympa. "Dernier Recours" n’est pas d'une grande originalité, mais il est doté d'un scénario efficace et d'un mode de narration qui dynamise le film.
Bruce Willis dans un films adapté d'un scenario de Kurasawa, réalisé par Walter Hill, spécialiste du film d'action dans les années 80. Le rythme est lent, avec peu de scènes d'action, à l'image d'un western où les hommes se défient et règlent leurs comptes au dernier moment. Rien à voir avec les standards que l'on connaît actuellement. Ce qui explique certainement cette impression d'ennui. Au-delà de ça, il y a une vraie ambiance crépusculaire, et Bruce Willis est parfait. Un film comme il n'en existe plus, dans la veine des westerns et autre polar des années 50. Pas mal.
Un film sur la prohibition réalisé par Walter Hill, sa donne "Dernier Recours", un film un peu bizarre avec des gun fight a la John Woo avec un Bruce Willis monotone et terne et un Christopher Walken en bad guy. C'est pas mauvais, mais c'est loin d'etre bon.
Walter Hill, Bruce Willis, Christopher Walken, la Prohibition, une guerre des gangs entre Irlandais et Italiens, une bonne bande de seconds rôles bien testostéronés...
On ne pouvait s'attendre qu'à un gros film d'action bien écrit et bourrin. Etant donné les attentes que j'avais sur ce film, je ne pouvais qu'être un petit peu déçu. En effet, nous sommes en présence d'un film pas vraiment ridicule ni même moyen mais terriblement long par moments. Certaines parties du scénario sont plutôt mal amenées, comme le personnage de Christopher Walken qu'on aimerait beaucoup plus voir, le personnage de David Patrick Kelly qui est sous-utilisé et l'excellent Ned Eisenberg qui forme un excellent duo avec Michael Imperioli qu'on aurait aimé voir beaucoup plus.
Alors, oui, c'est quand même réalisé de main de maître par un Walter Hill qui ne faiblit jamais, et Bruce Willis joue très bien le rôle du salaud sympathique quand même, mais on s'ennuie quelque peu dans ce film qui aurait du être une ode à l'ultra-violence... Dommage.
1h40 de vide essayant lamentablement de se combler par des fusillades incessantes. L'ennui pointe le bout de son nez dès le premier quart d'heure. L’esthétique du film devient agaçante, les caméras concentrées sur les visages déblatérant des dialogues médiocres où seulement deux punchlines pourront nous tenir éveillé...décidément ce ne sera pas le Willis à retenir. On tourne en rond dans ce scénario refoulant sans aucune qualité de mise en scène.
Dernier recours un film de Walter Hill qui reste assez peu connu. Un excellent casting, Bruce Willis, Bruce Dern, Christopher Walken... Je n’ai pas trouvé le film très intéressant et c’est sûrement du au fait que le scénario est plat et que la mise en scène n’apporte rien de plus au film. Je me suis vraiment ennuyé, 05 / 20.
Le film de sabres Yojimbo le garde du corps d'Akira Kurosawa se voit, après le fameux Pour une poignée de dollars de Sergio Leone, suivi d'un nouveau remake sorti dans les années 90 avec cette fois-ci Bruce Willis dans le rôle principal. Peinant à égaler la puissance charismatique de Clint Eastwood, l'acteur américain arrive pourtant à bien incarner ce personnage mystérieux sorti de nulle part, atterrit dans un coin paumé où règnent deux bandes rivales. Projeté dans les années 30, à l'époque de la prohibition, l'histoire originale reste la même, avec pour seuls changements les noms, le décors et les répliques fumantes. Réalisé par l'explosif Walter Hill (Les Guerriers de la nuit, Double détente, Geromino...), décidément touche-à-tout, Dernier recours bénéficie d'une mise en scène soignée et finalement très moderne, le réalisateur n'hésitant pas à passer outre la logique à travers des situations pour le moins fendardes, notamment les cartouches illimitées de notre héros. Les scènes d'action sont donc ici très virulentes pour ne pas dire extrêmement violentes, l'hémoglobine et les hématomes se mêlant agréablement à la poussière omniprésente de cette petite ville du Texas. Niveau scénario, on reste donc dans les clous, l'intrigue restant clairement la même, soit l'arrivée d'un étranger habile de la gâchette dans une ville violente où il va tour à tour s'allier à deux gangs rivaux pour les monter les uns contre les autres, avec pertes et fracas. Bruce Willis, la mâchoire serrée et le regard vide, et le toujours aussi imposant Christopher Walken portent donc le film sur leurs épaules, pas très convaincus du projet mais néanmoins attachants. Au final, Dernier recours est un petit remake bien mineur et pas très utile mais tout de même bienvenu, cette histoire intemporelle créée par Ryûzô Kikushima et Akira Kurosawa pouvant servir des centaines de fois...
Détente assurée avec ce Bruce Willis dans un western version moderne. Pas le temps de s'ennuyer, ça décoiffe et on se doute bien que c'est lui qui aura le dernier mot. J'ai pas compté le nombre de morts à son actif mais à la fin il ne reste plus personne.