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oranous
144 abonnés
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4,0
Publiée le 4 octobre 2009
J’ai grandi avec « Le Grand Bleu » que je passais en boucle, mon film préférée lorsque j’étais enfant. J’ai donc eu, comme la plupart des enfants, ma période « Dauphins ». Je m’intéressais à ces animaux, mon rêve était de nager avec eux. « The Cove » montre un autre aspect de la vie des dauphins et présente plusieurs problèmes. Ce documentaire s’attaque, en effet, de front à la tuerie des dauphins (animaux doués d’une très grande intelligence que l’on ne cherche pas à davantage comprendre), à leur vie malheureuse dans les parcs d’attractions animaliers (à cause du confinement et de la pollution sonore), à la vente illégale et déguisée de leur chair et au problème lié au mercure et à la pollution sonore. Effectivement, au Japon, la viande de dauphin est vendue sous forme de viande de baleine donc saine à un coup inférieur à ce qu’elle devrait normalement être. C’est donc de la viande de dauphin bourrée de mercure, hautement toxique, nocif pour la santé, que certains japonais vendent. L’Etat couvre cela. C’est un documentaire dénonçant l’appât, toujours croissant, de l’argent. Il est essentiel en ces temps d’extinction des espèces animales et végétales. Présenté sous forme de film d’action de type espionnage, le spectateur en apprend beaucoup. Il est effaré face aux images présentées, face à cette barbarie, à cette sauvagerie. On est ému, impuissant mais ce genre de documentaire permet de réveiller les consciences. Tous ceux qui se sont intéressé aux dauphins ou s’y intéressent encore doivent aller voir ce documentaire.
Ce documentaire, très fort sur le plan émotionnel, m' a écoeuré sur le comportement humain ; je ne suis pas pour la loi du talion, mais dans ce cas précis, je pense qu' on devrait faire subir le même châtiment à tous ces pêcheurs meurtriers, ainsi qu' à tous ceux qui cautionnent ces actes de PURE BARBARIE ! ... ces mecs ne méritent même pas le terme d'êtres humains ! Dieu les jugera un jour ! Excusez mon emportement, mais ma réaction est à chaud, moins d'une heure après avoir vu ce film, courageux et dérangeant . Bravo à Luc Besson et à tous ces hommes qui essaient d' arrêter ces massacres. Il faudrait que les peuples , au demeurant plus nombreux que ces fantôches , contribuent à éradiquer cette ignominie ! Est-ce possible ? le film est poignant, et amène à réfléchir sur notre relation envers la nature en général, et notre comportement en particulier vis à vis d' Elle . En cela déjà , il est très utile et indispensable ; je recommande à tout le monde de le voir, même si certaines images sont dures à supporter .
Emouvant, consternant dans un monde qui prétend militer pour la préservation de notre environnement. Ce documentaire présente une situation cautionnée par un gouvernement qui protège probablement des financiers, avec un organisation internationale prise en otage par des alliances basées sur l'argent. Je ne peux que recommander à chacun d'aller voir ce documentaire car on en ressort avec de l'amertume sur le comportement des dirigeants de cette planète qui sacrifient notre avenir et celle de nos enfants sur l'autel de l'intérêt économique. A voir, revoir et à analyser.
On ressort en larmes ( enfin pour ma part ) Choquant, blessant, rageant : 1 fois de plus : l'ohmme prétend être grand seigneur de notre planète et les anmaux doivent s'adapter à nous voir être sacrifiés !!! Une de fois de plus les pays asiatiques sont montrés du doigt par leur barbarie . Comment peut on procéder de la sort et faire fermer les yeux au monde ? Par l'argent bien sûr ....
Autant le dore, The cove n'est pas une publicité pour le japon. Effectivement, le film ne donne pas du tout envie d'aller dans ce pays surindustrialisé et urbain. Mais ce n'est pas (et heureusement) le but du film. Ce documentaire a pour but de dénoncer les actions d'un gouvernement qui cache le scandale du massacre des dauphins à son peuple. Et entre les interdictions de se rendre à un certain endroit de la plage parce qu'y ont lieu le massacre de milliers de dauphins, et les multiples magouilles, telles que l'obligation (finalement annulée) de manger de la viande de dauphin dans les cantines du pays ou la vente de cette viande comme étant de la viande de baleine, il y en a des choses à dénoncer sur cet énorme trafic financier autour des dauphins. Dans ce documentaire, tout porterait à croire si l'on ne savait pas ce que l'on sait, que nous sommes dans une fiction, ou des opérations commandos façon action hollywoodienne sont menées – et réussies car on se prend au jeu et le suspens est très fort. Mais, et c'est ce qui fait froid dans le dos, c'est une vérité, qui démontre une fois de plus, et diablement efficacement ici, l'absurdité de l'homme, ce jusqu'à quoi il est capable d'aller.Et le réalisateur en fait un superbe documentaire, absolument bouleversant. Rythmé par une très bonne musique, le documentaire se prend tantôt des allures de film d'action, tantôt des allures de drame, en gardant toujours une dimension politique. Et les dernières scènes sont à la fois terrifiantes magiques: magnifiques scènes ou O'Barry montre à tous ces dirigeants outrés et vautrés dans leur confort alors qu'ils parlent de choses graves, les images d'une vérité qui dérange. Et si ce film témoigne d'une envie de faire prendre conscience et d'une action qu'il faut urgamment mener envers ces crimes contre la Terre, il n'en témoigne pas moins d'une magnifique lettre et d'une magnifique lutte d'amour adressées aux dauphins, magnifiés, tendres et sublimes...
Hypocrite, irresponsable, ecoeurant, frustrant, innocent, indifférent, hallucinant, humiliant tant de comportements et d'atitudes qui nuisent à notre planete. Ce n'est pas la douleur, le massacre de ces animaux qui me marquera une fois de plus, mais le cancer de la terre, le pouvoir de l'homme : l'argent...
Emouvant, consternant dans un monde qui prétend militer pour la préservation de notre environnement. Ce documentaire présente une situation cautionnée par un gouvernement qui protège probablement des financiers, avec un organisation internationale prise en otage par des alliances basées sur l'argent. Je ne peux que recommander à chacun d'aller voir ce documentaire car on en ressort avec de l'amertume sur le comportement des dirigeants de cette planète qui sacrifient notre avenir et celle de nos enfants sur l'autel de l'intérêt économique. A voir, revoir et à analyser.
Un film absolument bouleversant... Mise en scène efficace pour une funeste destin... Absolument indispensable... Il faudra encore filmer bien des horreurs pour que "l'homo sapiens" arrête de se regarder le nombril... Un grand merci à Besson pour la distribution en France... Le grand bleu c'est hélas aussi ça!!!
Quelle gifle ! Ce film porte vraiment bien son titre, car c'est la honte, la honte d'appartenir au genre humain, qui nous submerge à la sortie. A l'évocation du suicide d'un dauphin en captivité et à la fin du film j'étais en larmes ! Plus que le massacre de 25 000 dauphins à Taiji ce film brillant explique en détail la politique lâche et hypocrite du Japon en matière de défense de l'environnement, les mensonges servis à la population japonaise, les risques encourus à manger de la viande de dauphin remplie de mercure et étiquetée "viande de baleine". (Selon le Japon les baleines seraient responsables de la diminution des stocks de pêche ? Alors qu'elles n'ont jamais été si peu nombreuses et si proche de l'extinction ?) On ne peut pas être insensible aux images choc de The Cove ni à l'incroyable courage et au dévouement des cameramen qui ont couru tout les risques pour rapporter ces images de la baie de Taiji. Bon sang, après avoir vu quelque chose de si édifiant on se dit que si l'humanité devait être condamnée par la grippe A elle n'aurait que ce qu'elle mérite. Les dauphins, les baleines, les requins n'ont rien demandé, ils ne méritent pas ce qu'ils leur arrivent ! A voir à TOUT prix !
Un très bon documentaire qui dénonce les complots et manipulations autour de ce gros business qu'est le marché du dauphin (et pas seulement chez les Japonais). Malheureusement, c'est le genre de film qui ne reste pas longtemps en salle, j'étais moi-même seule devant le film. Des images fortes, mais pour choquer maintenant il faut tout montrer. C'est un film d'horreur sur certains passages, et c'est la réalité. Après, je pense que pour apprécier ce genre de film, il ne faut pas y aller avec le même état d'esprit que si on allait voir un film joué. C'est pour apprendre, être sensibilité, et faire passer l'information, en parler.