Ce documentaire est tombé dans tous les pièges du sensationnalisme et des outils pour "faire pleureur dans les chaumières" on est pas loin de BB et des bébés phoques. The Cove va trop loin dans la l'exploitation des émotions faciles,, la fin ne justifie pas les moyens. Pas ici. Le film n'est pas pédagogique, il abuse de descriptif para-militaire ridicule, la narration est égocentrique et les conclusions hatives et excessives.
en 50 ans nous sommes arrivés a détruire une planète vieille de plusieurs milliards d'années, a vider les océans,a détruire les forets,a polluer les 4 coins du globe,bravo nous pouvons être fiers de nous.
Un excellent documentaire émouvant et remarquablement réalisé qui a le grand mérite de dévoiler l'abject massacre de plusieurs dizaines de milliers de dauphins perpétré chaque année dans un grand secret au Japon.
Bravo à tous ces gens courageux qui ont contribué à nous montrer la vérité cachée. BRAVO. En ce qui concerne le Japon, personnellement les pêcheurs en train de tuer les dauphins en fumant leur clope et en rigolant, je les tuerai un par un ... C'est tout ce qu'ils méritent. Le Japon se croit tout permis et ne respecte aucune loi. Félicitation pour ce film.
Si l'inquiétude de l'ennui peut pparaître légitime devant un tel documentaire, il n'en est en définitif rien. Intelligente et ô combien instructive, cette "Baie de la honte" sait très rapidement nous rassurer sur ses intentions et nous offrir un spectacle fort et riche en enseignements. On en vient d'ailleurs presque à avoir l'agréable impression de se retrouver dans une fiction tant l'oeuvre apparaît régulièrement étonnante et (presque) drôle parfois, sans pour autant oublier à un quelconque moment son but premier : nous faire réfléchir tout en évitant de nous servir un discours moral imbuvable. Dommage seulement que le film se perde parfois dans des digressions presque hors-sujets et nous faisant légèrement perdre le fil aux deux tiers de l'oeuvre, mais il serait tout de même bien injuste de juger le film sur cette seule impression tant le reste apparaît bienvenue et enrichissant. Une réussite du genre.
Même si je ne suis pas certain que dans les abattoirs occidentaux ,les conditions d'abattages soient toujours "exemplaires" il faut bien reconnaitre que ce documentaire permet de dénoncer ce scandaleux massacre perpétué depuis des années au nom de soit disantes traditions.En dehors des 10 dernières minutes qui se passent de commentaires ,le plus poignant reste certainement les sincères regrets d'un Richard O'Barry qui après avoir été a l'origine de l'engouement pour les dauphins dans les années 60 lutte aujourd'hui de toute ses forces pour rendre leur liberté a ces mammifères dotés d'une réelle intelligence.Le reste du doc nous présente a la manière d'un épisode de Mission Impossible toute la logistique et les techniques mises en place afin de déjouer la vigilance de pécheurs Japonais pas spécialement coopératifs quand il s'agit d'évoquer cette tuerie organisé.
23000 dauphins tués par an. Exploitation de ces animaux dans des parcs d’attraction en dépit de leurs vies. Des mots qui sonnent faux mais qui sont pourtant empreints d’une réalité dure. Impitoyable. A voir ce documentaire qui tend parfois vers un thriller, on ne peut que douter de la véracité du propos. Où est le vrai ? Où est le faux ? Comme Michael Moore peut trafiquer ces images pour faire correspondre à son message, pourquoi un autre ne ferait pas la même chose ? Le créateur de Flipper (le dauphin de la série télévisée) se sentant responsable de cette folie admirative autour des dauphins, décide de tout faire pour faire comprendre aux gens que ces animaux en cage ne sont pas heureux. Et le propos fait froid dans le dos. Brutal et sans équivoque réaliste. Un documentaire brillant dans sa démarche qu’il faut voir absolument pour comprendre et rejeter l’idée même de parcs d’attraction mettant en scène ces dauphins et cracher devant l’inaction politique soucieuse de son économie plutôt que du bien être de ces animaux.
Excellent documentaire qui évite le larmoyant des docu-écolo à la mode en ce moment, pour nous proposer de suivre le combat de ces hommes, forcés à mettre en place une véritable mission d'espionnage pour enfin mettre la lumière sur ce massacre. A voir absoluement ! En dehors de ce sujet, c'est un excellent documentaire d'espionnage.
Autant le dore, The cove n'est pas une publicité pour le japon. Effectivement, le film ne donne pas du tout envie d'aller dans ce pays surindustrialisé et urbain. Mais ce n'est pas (et heureusement) le but du film. Ce documentaire a pour but de dénoncer les actions d'un gouvernement qui cache le scandale du massacre des dauphins à son peuple. Et entre les interdictions de se rendre à un certain endroit de la plage parce qu'y ont lieu le massacre de milliers de dauphins, et les multiples magouilles, telles que l'obligation (finalement annulée) de manger de la viande de dauphin dans les cantines du pays ou la vente de cette viande comme étant de la viande de baleine, il y en a des choses à dénoncer sur cet énorme trafic financier autour des dauphins. Dans ce documentaire, tout porterait à croire si l'on ne savait pas ce que l'on sait, que nous sommes dans une fiction, ou des opérations commandos façon action hollywoodienne sont menées – et réussies car on se prend au jeu et le suspens est très fort. Mais, et c'est ce qui fait froid dans le dos, c'est une vérité, qui démontre une fois de plus, et diablement efficacement ici, l'absurdité de l'homme, ce jusqu'à quoi il est capable d'aller.Et le réalisateur en fait un superbe documentaire, absolument bouleversant. Rythmé par une très bonne musique, le documentaire se prend tantôt des allures de film d'action, tantôt des allures de drame, en gardant toujours une dimension politique. Et les dernières scènes sont à la fois terrifiantes magiques: magnifiques scènes ou O'Barry montre à tous ces dirigeants outrés et vautrés dans leur confort alors qu'ils parlent de choses graves, les images d'une vérité qui dérange. Et si ce film témoigne d'une envie de faire prendre conscience et d'une action qu'il faut urgamment mener envers ces crimes contre la Terre, il n'en témoigne pas moins d'une magnifique lettre et d'une magnifique lutte d'amour adressées aux dauphins, magnifiés, tendres et sublimes...