AlloCiné
Mon compte
Note moyenne
3,6
17 titres de presse
-
Les Inrockuptibles
-
Chronic'art.com
-
L'Humanité
-
Le Journal du Dimanche
-
Le Monde
-
Libération
-
Metro
-
Positif
-
TéléCinéObs
-
Télérama
-
Charlie Hebdo
-
Dvdrama
-
L'Express
-
La Croix
-
Première
-
Studio Ciné Live
-
Le Figaroscope
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
- Meilleurs films
- Meilleurs films selon la presse
Les Inrockuptibles
Une grande partie de la réussite de ce film réside dans son excellent casting, au sommet duquel trône l'incroyable Catalina Saavedra (...) : cette Nana-là mon vieux, elle est terrible.
Chronic'art.com
Dommage que le film se fourvoie en toute fin pour mettre en lumière ce qui l'affaiblit dans ses propos, mais qui est tout de même gommé grâce à la fluidité globale de l'oeuvre.
L'Humanité
Les premières séquences bien menées installent avec subtilité la cohésion et ses limites de deux univers que rassemblent des parts de gâteaux
Le Journal du Dimanche
Le Chilien Sebastian Silva signe ici un très beau portrait de femme au bord du précipice. (...) Catalina Saaverda (...) est magistrale.
Le Monde
Une fin relativement émolliente eu égard à la cruauté et à la justesse du tableau général n'empêchera pas de recommander ce film très prometteur.
Libération
(...) Le film est jalonné de ce genre de subtilités qui à la fois raffinent le propos académique (maître, esclave) et rendent tangible sa complexité.
Metro
(...) [Une] comédie drôle et sensible (...).
Positif
Le réalisateur chilien dispose d'un talent hors du commun à décrire des comportements, cela passant par une direction d'acteurs exceptionnelle.
TéléCinéObs
Le deuxième film de Sebastián Silva, (...) s'attarde avec une délicate acuité sur les relations paternalistes entre patrons et employés, et brosse, à travers le portrait de Raquel, celui d'une catégorie d'aliénés, aimante, effacée et totalement frustrée.
Télérama
Sebastian Silva (...) réussit (...) ce constat clinique glaçant, perçant : sous l'apparence de la normalité, voire de l'harmonie, une relation maître-esclave.
Charlie Hebdo
Plutôt que d'emprunter la voie névrotique du Servant de Losey et plus largement du cinéma de genre (...), Silva fait machine arrière et choisit d'offrir à son personnage (...) la voie d'une rédemption possible.
Dvdrama
Le cinéaste Sebastian Silva s'écarte des conventions attendues et signe une oeuvre essentiellement basée sur la psychologie des personnages et leur différents types de relations.
L'Express
www.lexpress.fr
La Croix
La Nana (...) offre (...) une analyse fascinante, qui déborde largement le cadre de ce -presque- huis clos.
Première
La nana joue habilement la carte du suspense, l'hypothèse du film de genre pour proposer le portrait énigmatique d'une personnalité pleine de creux et de bosses.
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio Ciné Live
Le Figaroscope
Une actrice intéressante, dans un portrait assez original, qui a retenu l'attention aux festivals de Sundance et de San Sebastian.