Film anglophone fait par des Français, c'est raté!! Très jolie photographie, bel arbre inquiétant mais très mauvaise et très peu naturelle Charlotte Gainsbourg qui surjoue en s'efforçant laborieusement d'avoir un accent d'Oxford. C'est pénible du début à la fin, elle en fait des tonnes à chaque réplique, elle devrait revenir à sa langue maternelle (mais c'était moins gênant dans Antichrist mais le réalisateur est nettement meilleur et sans doute plus anglophone).
Comment oublier l’autre qui vibrait doucement en harmonie avec vous ? Julie Bertucelli perd son mari durant la rédaction du script du film… Elle y puisera une motivation profonde pour tourner « L’arbre ». Voici UNE ŒUVRE PLEINE DE L’HUMAINE CONDITION.
Les humeurs du destin... L’amour puis la disparition... Mais ici pas d’émotion exacerbée. C’est la simple et ardue traversée des sentiments qui construisent le deuil dont nous parle la réalisatrice…
La souffrance d’une famille où chacun gère, comme il peut, l’absence de l’être aimé…
Et Charlotte Gainsbourg est splendide, follement convaincante, dans le rôle de cette mère en but à l'arrachement, à la distanciation, aux sentiments mêlés de l’oubli et de la volonté de garder des racines! Ses enfants l’accompagnent et se heurtent à elle dans ce cheminement… (Merveilleuse Sim...one interprétée de façon déchirante par la petite Morgana Davies…
Mais le personnage le plus important c’est un bel arbre, un imposant figuier de Mortenbay aux racines saillantes comme le souvenir, aux branches protectrices comme les bras d’un père… Arbre tutélaire qui renvoie aux croyances chamaniques des aborigènes ! (sans que cela soit explicitement exprimé dans le film
Julie Bertucelli nous offre un film étrange et beau, à la limite du fantastique, qui plonge ses humeurs lentes dans les paysages linéaires arides et poussiéreux du bush australien (aux environs de Brisbane, il faut le préciser, tant l’Australie est grande!
Belle redécouverte des frémissements de la vie comme une fourmi qui croise une autre fourmi sur l’écorce ridée d’un arbre centenaire. Renaissance tumultueuse…
Les images sont belles, le scénario merveilleusement écrit. Un film tourné simplement mais avec le talent précis de l’authenticité.
La réalisatrice nous parle de sa façon de filmer : « Je veux garder cette force et rester attentive à ce que la réalité nous offre. Lorsque nous étions en train de tourner sur la plage, nous avons entendu un bulletin météo annonçant une grosse tempête. Nous avons donc décidé d’accélérer les prises de vue afin de retourner au plus vite près de l’arbre et de la filmer là-bas pour l’intégrer à la scène de la tempête, à la fin du film. C’est la même chose pour les scènes avec les enfants, quand on pouvait leur « voler » des moments imprévus, on n’a pas hésité. »
UN FILM CALME SUR LES TEMPÊTES DE L’ÂME ! MAGNIFIQUE !
Sur une trame new age qui n'est pas plus inintéressante qu'une autre, comportant même quelques éléments d'une certaine originalité, Julie Bertucelli fait un film qui n'est pas grand chose. Une fois qu'elle a mis en place les situations, posé ses personnages, elle n'en fait plus rien. Les acteurs passent des vacances payées bien agréables dans une Australie pas trop mal photographiée.
Un drame qui fait preuve d'une belle sensibilité doté d'une photographie, d'une bande son et d'acteurs impeccables ; mention spéciale à la touchante petite Simone. Il se déroule autour de la vie d'une famille fracassée par la perte d'un être cher. Il traite du travail de deuil, des chemins que chacun prend pour le surmonter et des lueurs d'espoir. Cependant, le tout est bien long, souvent triste à mourir, il se passe peu de choses, et peine tout au long à vraiment décoller...
J'avoue avoir beaucoup de mal à comprendre l'engouement pour ce film : "L'arbre" est un film plat, insipide et sans intérêt. L'idée d'un arbre auquel la famille se raccroche après le décès du père (et qui devient de plus en plus envahissant au point de finir dans la chambre) était bonne, mais bizarrement, aucune émotion ne passe (forcément gênant pour une comédie dramatique ...). Le film est plombé par le manque de rythme, l'ambiance molle du genou et une Charlotte Gainsbourg qui n'apporte rien. On s'ennuie ferme pendant 1h40 et le seul exploit du réalisateur aura été de filmer une scène avec une chauve-souris en espace fermé et d'avoir eu la chance qu'un cyclone passe pendant le tournage (lol) ...
Un film métaphorique où l'arbre représente le mari et père décédé, merci du cadeau ! Charlotte Gainsbourg est en deuil, mais comme elle est en deuil dans tous ses films, sa nonchalance n'a rien d'exceptionnelle. Je concède que les enfants sont bons et les images très belles, mais ce n'est pas ça qui m'a sorti de mon ennui, lui, bien mortel !
Un film assez plat, pour ne pas dire inutile. On termine le film, et c'est comme si on l'avait commencé : on n'apprends rien, on vient juste de perdre 1h30 de notre vie avec un arbre qui représente la vie, génial, un enfant de 5ans aurait pu avoir l'idée tant ce genre de scénario est vu et revu. Mièvreries, niaiseries, tout ce que vous voulez, sont à la pelle. Avec un jeu d'acteur assez superficiel, Charlotte Gainsbourg devrait décidément laisser le métier d'acteur à de vrais acteurs. Une fin totalement ridicule, on a l'impression que l'auteur voulait l'abréger tellement qu'elle n'en pouvait plus elle même. Tout ce qui reste bien dans ce film, ce sont les décors.
un joli petit film sur une famille qui survit a un bien aimé la simplicité de ce film sans pour autant nous infliger les scènes obligatoires larmoyantes fideles a ce genre de film. ici on sugère , sans pour autant tout expliquer. le cadre y est pour beaucoup.l australie est magnifique et puissant ! comme cette tragèdie possible a toute les qui rend le film touchant.
Certes les acteurs sont très bons (surtout Charlotte), mais je n'ai vraiment pas trouvé ce film exceptionnel : malgré le bon jeu des acteurs, l'émotion ne passe pas et l'histoire est vraiment banale. Grosse déception.
Un film sensible mais jamais tire-larmes. Les acteurs (et surtout actrices) sont excellents. Magnifique utilisation des paysages. Mais l'ensemble reste un peu ténu.