Avis : Toy Story - Page 9

Toy Story est un classique de chez Pixar et Disney. Le scénario est bourré de trouvailles avec ses jouets vivants, il est drôle et les dialogues font mouche. Sans oublier la VF qui est top !

De la saga je n'avais vu que le 3 récemment, que j'ai adoré. Celui là est très bien aussi. Même si sans doute moins impressionnant à la télé. Comme toujours le scénario est très travaillé. Allié au savoir faire Pixar pour les images, cela ne peut que donner un excellent divertissement. Il ne me reste plus que le 2 à voir donc...

Un excellent film d'animation. Woody le cow-boy en jouet rencontre Buzz l'éclair. Un très bon scénario pour un premier volet.

La première grande réussite de Pixar c'est bien sur ce film d'une authenticité absolu , " Toy Story " . Un chef - d’œuvre visuellement éblouissant avec une animation renversante , des personnages haut en couleurs et une bande son magistral . Ce premier volet est magnifique . La mise en scène est parfaite et , l'histoire remplit d'émotions et servit d'humours menés à un rythme d'enfer . L'idée que les jouets ont une âme , une vie bien à eux lorsque que les enfants sont occupés faire autres choses que de les bidouillés ou de les cassés , ce film l'exploite avec merveille . Un univers fantastique est extraordinaire qui a séduit toute une génération de jeunes spectateurs et qui s'inscrit en tant que référence pure des films de la tradition innovatrice de Disney .

« Il y a un serpent dans ma botte ! »

Coproduit par Walt Disney et le jeune studio Pixar pour 1995, Toy Story est un film culte mettant en scène des jouets qui s’animent pour mener leur propre vie lorsqu’aucun humain ne se trouve aux alentours. Si le film de science-fiction Tron (Steven Lisberger, 1982) constitue le premier long métrage dont la conception a été assistée par ordinateur pour une majorité de ses scènes, Toy Story est quant à lui le premier film de l’histoire du cinéma entièrement réalisé en images de synthèse. Disney avait auparavant déjà utilisé cette technique lors de certaines séquences de ses films passés (le fond de la scène du bal dans La Belle et la Bête) et recherchait déjà de nouvelles formes d’animation, comme le stop-motion utilisé pour réaliser L'Étrange Noël de Monsieur (Henry Selick, 1993). Le personnage principal Woody, doublé par Jean-Philippe Puymartin (qui faisait également la voix de Timon dans Le Roi Lion), est un cow-boy qui a la chance d’être le préféré d’Andy, le jeune garçon dont le chambre contient de nombreux jouets qui s’éveillent quand il n’est plus là.

« Je visais la vraie vie
Chaque chose était à sa place »

Les autres jouets sont divers et variés et ont chacun leur caractère : Monseur Patate est assez grognon avec ses parties du visage amovibles, Rex un dinosaure gaffeur à la voix tout aussi tordante (Jurassic Park était passé par là deux ans plus tôt), Zigzag un chien avec un corps en ressort, Bayonne un cochon-tirelire à peine plus futé que Rex, une jeune bergère qui semble avoir un faible pour Woody, et le fameux Sergent qui commande à lui seul toute une armée de petite soldats verts en plastique. Le thème général qui fait toute la richesse du film est celui de l’amitié, comme l’annonce l’apaisante chanson d’introduction « Je suis ton ami », interprétée par Charlélie Couture (qui chante également les deux autres). L’amitié se concrétise par celle entre Andy et Woody, mais aussi par les liens qui unissent les jouets entre eux. Et l’attachement est tel que chaque anniversaire est une source d’angoisse pour eux, de peur de se retrouver au placard à cause de la venue de nouveaux jouets qui pourraient les remplacer.

« Quand un jouet mi-astronaute a débarqué de nulle part
Et soudain, tout à coup, tout est devenu bizarre »

Et les difficultés de l’amitié surviennent lorsqu’une nouvelle personne arrive dans un groupe et change les rapports entre les gens par ce qu’il apporte. Symbolisant une nouvelle génération par son packaging à la pointe et sa technologie du futur (« Il a plus de gadgets ultra-moderne qu’un couteau-suisse. »), Buzz l’éclair devient alors le nouveau jouet préféré d’Andy et Woody se retrouve mis de côté, servant de cible au rayon laser du ranger de l’espace dans la très émouvante chanson « Étrange, bizarre », dans laquelle le pauvre cow-boy se sent complètement délaissé par celui qu’il croyait être son meilleur ami, qui va jusqu’à remplacer sa décoration et sa couverture de lit par des motifs arborant Buzz l’éclair. Doublé par le charismatique Richard Darbois (qui faisait aussi le Génie dans Aladdin), Buzz a la particularité de se croire être le seul et unique ranger de l’espace en mission spéciale sur une planète inconnue.

« TU-N’ES-QU’UN-JOUEEEEET ! »

Une bonne partie de l’humour vient alors du contraste entre la fascination des autres jouets à son égard et la volonté qu’a Woody de lui faire comprendre qu’il n’est qu’un jouet en plastique (« Ce n’est pas un laser ! Ce n’est qu’une petite ampoule qui brille. »). Cette personnalisation jusqu’à croire être une personne réelle se retrouve dans le distributeur de petits aliens, où tous considèrent le grappin comme leur dieu (« Le grappin m’a choisi. Adieu mes amis, je vous quitte pour un monde meilleur. »). Le comique vient aussi et de jeux de mots plus ou moins douteux (« Mais c’est de l’art, gros lard ! ») et de références à l’industrie du jouet (« J’viens de chez Mattel. Enfin pas vraiment de chez Mattel, j’viens d’une petite compagnie qui s’est fait dévorer par une OPA… »). Mais l’émotion suit son cours lorsque Buzz spoiler: se rend compte qu’il n’est effectivement qu’un jouet
en voyant une pub à la télévision, et qu’il se casse un bras en tentant de voler sous la triste chanson « Jamais plus je ne volerai ».

« J’appelle pas ça voler, j’appelle ça tomber avec panache. »

Alors que Woody spoiler: est rejeté par les autres jouets pour avoir tenté de mettre Buzz à l’écart de la chambre
(« Et si Andy jouait plus avec moi qu’avec toi, tu me balancerais aussi par la fenêtre !? »), il va chercher à se racheter en partant à sa recherche pour finalement gagner son amitié lors de leurs mésaventures. Car si certains enfants prennent grand soin de leurs jouets, d’autres ne voient aucun inconvénient à les bricoler et à expérimenter toutes sortes de choses avec eux (« Personne n’a jamais tenté une transplantation cervicale et un triple pontage. »). Et c’est Sid, le voisin d’Andy, qui va les séquestrer dans sa chambre rempli de jouets modifiés à l’apparence terrifiante. Le thème de l’amitié se voit alors renforcé par les aveux de Woody comme quoi Buzz est un super jouet (« Mais réfléchis une seconde ! Tu es un Buzz l’éclair ! N’importe quel jouet vendrait ses pièces détachés pour être toi. Tu as des ailes, tu brilles dans le noir, tu parles ! Ton casque fait ce truc insensé… ! T’es vraiment super comme jouet ! ») et ce pourquoi il doit se ressaisir pour qu’ils quittent la maison ensemble (« En face il y a un enfant qui trouve que tu es le meilleur ! Et pas parce que tu es un ranger de l’espace, mais parce que tu es un jouet ! Tu es SON jouet ! »).

« Tu crois vraiment que j’suis pété petit ? Oui mon gars, c’est à toi que je m’adresse, Sid ! »

La fin regorge de qualités avec la révolution des jouets face à Sid (« À partir de maintenant tu devras prendre soin de tes jouets… parce que sinon… Nous le saurons Sid ! Nous les jouets… nous voyons tout. »), la course poursuite pour aller vers la voiture où se trouve Andy en route vers sa nouvelle maison (« Hey une petite minute : j’ai allumé une fusée… les fusées ça explosent ! ») et le final pendant lequel Buzz et Woody se regardent de manière ironique en entendant qu’Andy venait d’avoir un petit chien pour Noël (celui de Sid leur ayant posé bien des problèmes). S’ajoutent à cela quelques références salaces toujours bien cachées chez Disney (« Je pourrais demander à quelqu’un de surveiller le troupeau à ma place ce soir… »). Même si ses images de synthèse accusent largement le poids de l’âge en presque vingt-cinq ans d’existence, Toy Story demeure un très bon film emblématique pour son univers singulier et terriblement bien animé comme seuls les studios Pixar savent le faire !

Enfant, les Pixar ne me passionnaient pas. J'allais les voir au cinéma, mais je n'étais pas vraiment passionné ni même intéressé particulièrement. Mais je me suis dit que j'allais les revoir, avec un œil un peu plus "adulte", dirais-je. Bien m'en a pris. Toy Story est un excellent film, une réussite presque totale.

En effet, il lui manque un souffle épique pour être totalement inoubliable comme il aurait du être. Mais il y a quand même un bon nombre de qualités dans ce film. Des qualités indéniables, comme le doublage absolument parfait, dont je dois avouer que Jim Varney remporte tout mes suffrages ou le scénario plutôt malin. Le tout est écrit sans aucune mièvrerie qui représentait Disney à cette époque (heureusement courte époque oubliée) et c'est pas trop référentiel, comme ont pu l'être les Dreamworks. Pixar a trouvé le bon milieu, le bon casting, les bons scénaristes pour leur premier long métrage et c'est donc évidemment un très bon film.

Mais comme dit auparavant, ce n'est malheureusement pas inoubliable. La scène d'ouverture est excellente et que dire de l'excellente chanson-thème? Un très bon film.

Une date dans l'histoire de l'animation avec les débuts du studio Pixar sur grand écran (chaperonné par Disney) et l'apparition des images de synthèse en lieu et place de la 2D traditionnelle. Et force est de reconnaître que si la technique encore perfectible (notamment au niveau des humains et des animaux), elle est époustouflante visuellement et offre un degré de réalisme impressionnant. Mais "Toy Story" ne se limite pas à une simple révolution visuelle puisqu'il balaye également les règles ancestrales (et parfois poussiéreuses) de Disney pour imposer de nouvelles bases encore valables aujourd'hui. Exit donc les contes de fées, les intrigues calibrées et même les chansons (pourtant marque de fabrique de Disney jusque là) réduites ici au minimum syndical (et qui ne sont pas chantées par les personnages). Dans "Toy Story", les héros ne sont pas des princesses ou de courageux guerriers mais... des jouets rendus vivants par les génies de Pixar (exploit initié dans leur court-métrage "Tin Toy"). Le cahier des charges Disney n'est pas pour autant oublié puisqu'on retrouve des thèmes chères au studio aux grandes oreilles (l'amitié, le courage, l'aventure...) et une galerie de personnages aussi drôles qu'attachants avec le cowboy Woody (archétype du jouet traditionnel), le Ranger de l’Espace Buzz (le jouet dernier cri par excellence), le gentil dinosaure Rex, le chien à ressort Zig-Zag, le cochon-tirelire Bayonne ainsi qu'un Monsieur Patate des plus caractériels. Quant à l'intrigue, elle explore pas mal de pistes intéressantes (la peur de Woody de perdre sa place de jouet préféré d'Andy, Buzz qui croit être réellement un Ranger de l’Espace, le voisin qui torture les jouets de sa soeur...) et joue à fond la carte de l'humour avec des gags et des dialogues souvent très drôles (dont le culte "Vers l'infini et au-delà !") et mis en valeur par une mise en scène dynamique. Rajouté à cela un casting vocal sans fausse note (Jean-Philippe Puymartin, Richard Darbois, Patrick Préjean, Jacques Balutin, Henry Guibet... que des pointures), il n'est pas étonnant que "Toy Story" ait sonné le glas de l’animation 2D. Une chose est sure : vous ne regarderez plus jamais les jouets de la même façon !

Les studios Pixar, qui se promettaient décidément à un avenir brillant, inaugurèrent le domaine de l’animation en image de synthèse avec Toy Story (1995), et que dire si ce n’est que cette entrée en matière fut des plus réussies : encore aujourd’hui, ce long-métrage hautement inventif reste l’une des meilleures productions de chez Pixar, qui outre le fait d’avoir donné vie à une trilogie tout aussi aboutie, aura marqué comme il se doit bien des enfances, la mienne compris. Adopter le point de vue de simples jouets, alors propulsés au rang de personnages principaux, tenait du génie créatif, et qui sans compter son impact (sans commune mesure) sur le jeune public, arborait une intrigue brillante en termes de trouvailles visuelles comme scénaristiques, références etc. ; on pourrait même en dire que Toy Story arbore une profondeur inédite dans le genre, tant la condition de Woody et cie est savamment traitée, quoique ici somme toute légère. Autrement, le long-métrage est hautement divertissant, sa trame étant prenante de bout en long, entre péripéties mouvementées et humour percutant, et l’on se prend d’affection pour cette bande de jouets ni plus ni moins inoubliables ; il y a assurément en tête de file le duo improbable composé d’un cow-boy jaloux et d’un ranger de l’espace borné, mais aussi toute une galerie de figures allant de leurs répliques et jeux de mots bien sentis, tandis que les personnages humains eux contribuent à densifier l’intrigue avec efficacité. Par ailleurs, comment ne pas citer la BO, tout aussi excellente, ainsi que la prouesse technique ? Avec bientôt vingt années au compteur, Toy Story affiche encore et toujours une fraicheur visuelle impressionnante, la formidable équipe composée de John Lasseter, Andrew Stanton and co ayant donné vie à un univers aussi singulier que savoureux, notamment sur le plan graphique ; bref, tout chez Toy Story se veut probant, amusant et même intelligent, et qui doublé de son statut d’initiateur d’un genre en devenir, l’aura logiquement conduit à ce succès incommensurable, pour ne pas dire générationnel… Une référence éternelle du cinéma d’animation en image de synthèse donc, fort d’un impact culturel démentiel, et un plaisir toujours aussi évident au visionnage !

Toy Story, le premier film d'animation des grands studios Pixar ! Un film audacieux car il s'agit vraiment du premier film d'animation en 3D. Un film d'animation excellent en tous points puisqu'il arrive à concilier graphisme incroyable et histoire originale, le concept de base à savoir des jouets qui prennent vie peut paraître simple mais plus le film avance plus on est bluffé par la qualité du scénario qui ne sombre jamais dans le déjà vu. Le film multiplie les clins d'oeils et les références, les situations et les répliques très amusantes et les personnages ( en plastique ) attachants. Toy Story est sans conteste un grand classique de l'animation puisqu'il marque l'innovation du numérique, un film d'animation fantastique, le premier chef-d'oeuvre de Pixar !

🎬🎥 TOY STORY _ [1995] 🎥🎬

_Avis Bref ;
Premier volet pour Toy Story. On découvre donc l'idée originale de cette animation et sa palme de personnages cultes par la même occasion. Woody, Buzz, Mr Patate, Tex et le reste de la bande nous offre un premier film créatif et inventif. Comme toujours beaucoup de morals et un tas de bons sentiments ! Une animation qui sait nous faire passer du rire aux larmes avec compassion et sincérité. Quelques chansons cultes, mais également des répliques et des références marquantes.
Enfin bref, Premier film qui signe déjà le début d'une excellente saga.

_Synopsis ;
Quand le jeune Andy quitte sa chambre, ses jouets se mettent à mener leur propre vie sous la houlette de son pantin préféré, Woody le cow-boy. Andy ignore également que chaque anniversaire est une source d'angoisse pour ses jouets qui paniquent à l'idée d'être supplantés par un nouveau venu. Ce qui arrive quand Buzz l'éclair est offert à Andy. Cet intrépide aventurier de l'espace, venu d'une lointaine galaxie, va semer la zizanie dans ce petit monde et vivre avec Woody d'innombrables aventures aussi dangereuses que palpitantes.

_Bande-annonce ;
https://youtu.be/YzuUSdxoGUU

_Appréciation ; 🔵🔵 (08/10)

Un film d'animation touchant, le premier offre déjà une bonne qualité d'animation bien que les visages humain ne soient pas encore bien rendus et foutent les miquettes.
Un univers qui anthropomorphise les jouets qui peut mettre mal à l'aise et vous surprendre par un voyage régressif dans l'enfance.

Pixar, c’est juste mon studio préféré. Des véritables génies qui ont révolutionnés le dessin animé. Déjà grâce à l’image de synthèse (même si je regrette qu’on ne voit plus de dessins animés traditionnels de nos jours), mais c'est aussi le seul studio qui est accessible aux enfants, mais qui en même temps plaît aux adultes grâce à l'intelligence de leurs scénarios. Et donc, le nostalgique que je suis s’est décidé à visionner de nouveau la trilogie Toy Story (pas le temps pour tous les Pixar). Et donc, ce premier Toy Story est un film culte, le premier en image de synthèse, scénario génial, idée géniale, personnages géniaux, tout dans ce film est génial !
Bon, on commence par dire ce qui fait de Pixar mon studio favoris, l’imagination… Quand on regarde un Pixar, il faut s’attendre à un concept original, une famille de super-héros à la retraite, des monstres qui font peur pour gagner leur salaire, bref les cerveaux des scénaristes de Pixar sont des mines d’idées et de concepts farfelues. L’idée de Toy Story est donc la vie des jouets quand on a le dos tourné. Ainsi nait Woody, jouet préféré d’Andy, qui est le chef de la chambre. A chaque anniversaire d’Andy, les jouets craignent d’être remplacés, et cette année, c’est Woody qui perd le statut de jouet favoris, remplacé par le high Tech Buzz Lightyear, ranger de l’espace qui a malencontreusement atterrit dans la chambre d’Andy. Buzz est persuadé qu’il est un ranger, énervant Woody jaloux qui va tout faire pour se débarrasser de son rival qui ne se rend pas compte qu’il est un jouet. Avec une idée aussi géniale, tu m’étonne que le film soit hilarant. Parce que la vache, ce film est drôle ! Les blagues de ce dessin animés ont fait rire le gars de dix-sept ans que je suis. Les situations sont délirantes à souhait, les répliques bien trouvés et certains passages sont tellement mythique.
Et c’est là tout le génie de Pixar, nous montrer un scénario accessible aux enfants mais en même temps assez intelligent pour plaire aux adultes. Il y a des morales, des références à des films cultes. Et je le dis encore, Toy Story est hilarant. Donc quand j’entends des gens refuser de regarder un Pixar parce que c’est « pour les mômes ». Surtout quand ça vient d’un ami cinéphile, bah ça me fait mal au cœur. Pour moi, justement, les Pixar sont des films que j’ai aimé à cinq ans, et que j’adore aujourd’hui (je t'aimais, je t'aime, et je t'aimerai). Donc non, Pixar n’est pas pour que pour les enfants, c’est accessible à tous les âges et c’est pour ça qu’ils sont si populaires et je comprends pourquoi.
Donc Toy Story n’est que le premier d’une longue liste de films aussi excellents les uns que les autres. Pixar sait parfaitement faire son job, c’est-à-dire, distraire le publique et en même temps il donne des morales qui sont compréhensibles aux enfants. Toy Story dit simplement et gentiment qu’il ne faut pas haïr son prochain et accepter de partager la place qu’on a eu pour soi tout seul auparavant. Chaque film de Pixar donne une leçon de vie aux enfants et la rappelle aux adultes, donc pour moi ce sont des mecs géniaux. J’aime Pixar, j’aime Toy Story ! 4.5/5 Voilà qui est dit !

Film d'animation culte avec des personnages attachants. Toy Story réveil le gamin qui est en nous et le fait rêver.

Un film ultra classique. Le dessin-animé de mon enfance. Et c'est tellement compréhensible, après tout qui n'a jamais rêvé de voir ses jouets prendre vie ?
Le scénario et le speech de base sont incroyablement intelligent et bien trouvé. L'évolution des personnages est bien amené, les réflexions qu'ils suscitent sont très convaincantes, et le tout s'inscrit dans un univers très riche, et très drôle.
On frôle la perfection, sans doute le meilleur film d'animation que j'ai pu voir.

Ce film d’animation est un classique pour petits et grands. Il a désormais plus de 20 ans, mais reste un incontournable. Et le revoir maintenant donne toujours les mêmes sensations. En plus de cela, se rajoute la nostalgie, un vrai plaisir. Quand il a été petit, qui n’a jamais imaginé que ses jouets prenaient vie. C’est ce que va nous offrir TOY STORY, réaliser notre imaginaire. L’histoire est magique. On va voir la vraie définition du mot amitié. Que ce soit entre celle inattendu de Buzz et Woody, mais aussi celle qui lie les jouets à Andy. C’est un récit très beau qui se regard avec beaucoup de plaisir. Le dérouler se transforme en une véritable aventure prenante mettant en scène plein de protagoniste intéressant. De plus, le ton sera bien équilibré entre le côté joyeux et drôle mais aussi certains moments de gravité morale qui sont indispensables dans tout bon film d’animation. Tout cela sera mise en forme de bien belle manière avec des graphismes qui sont agréables à l’œil. À l'époque, c’était le premier long-métrage réalisé entièrement en images de synthèse. Un pas-de-géant dans le monde de l’animation et une révolution qui valut à John Lasseter un Oscar d’honneur pour sa contribution à l'évolution technique du cinéma.