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    La Dernière marche
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    145 critiques spectateurs

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    7eme critique
    7eme critique

    540 abonnés 2 778 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 9 mai 2014
    "La dernière marche" propose un scénario intriguant et émouvant. Sean Penn & Susan Sarandon nous emmènent dans le couloir de la mort où la peur se ressent et s'accentue au fil des minutes. Tim Robbins trouve ici son scénario le plus fort, et le met en valeur en s'entourant d'un duo de qualité.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 23 avril 2014
    L'histoire sun condamné à mort joué magistralement par Sean penn, et avec une Susan Sarandon au sommet !
    Ann Val
    Ann Val

    89 abonnés 352 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 13 avril 2014
    Un film incroyable, des acteurs superbes avec un jeu à couper le souffle et une réalisation sans failles... Sans nul doute un des plus beaux films traitant de la peine de mort, de la culpabilité et de la souffrance provoquées par un crime, pour toutes les personnes concernées.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 18 avril 2014
    Un drame bouleversant réalisé par Tim Robbins, d'après le livre de la Sœur Helen Prejean. Une sœur qui va accompagner jusqu’à sa mort un condamnée à la peine capitale pour l'assassinat de deux adolescents. L'histoire est bien traité avec des sujets comme la peine de mort, la haine, la croyance et la réflexion sur les conséquences de nos actes. Susan Sarandon (Oscar de la Meilleure Actrice) est formidable dans le rôle de la Sœur Helen et Sean Penn est excellent dans le rôle du condamnée à mort. Avec de bons seconds rôles : Robert Prosky, Raymond J. Barry, R. Lee Ermey, Lois Smith, Peter Sarsgaard et Jack Black.
    Alexarod
    Alexarod

    287 abonnés 1 869 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 8 février 2014
    Très bon film sur la peine de mort, traité différemment puisque vu par les yeux d'une visiteuse de prison qui évite tout préjugé, et qui, en tant que catholique, donne une seconde chance à un condamné à mort dont la culpabilité ne fait aucun doute aux yeux du monde.
    S'il est un peu différent "la dernière marche" reste souvent comparé à "La ligne verte", de par son thème évidemment, mais de par son traitement dépouillé d'artifices. Cependant je le note moins bien car il y a moins d'intensité et de profondeur , quand à Sean Penn il fait trop petit branleur arrogant pour qu'on ait assez de compassion pour le plaindre. La musique, si je m'en souviens bien, n'est justement pas très mémorable, le rythme est lent mais se tient, les longueurs sont inhérente au genre du film mais restent handicapantes à mon sens.
    Hormis cela tout est nickel, les acteurs jouent très bien et sont émouvants de sincérité, la fin est devinable mais sans être d'un classicisme banal, l'histoire est belle, la mise en scène permet de suivre et comprendre sans soucis, le message passe bien, sans trop de moralisation, les dialogues sont justes et ne font pas la leçon, les décors sont sobres mais beaux, rien à redire aux costumes, pas d'excès de pathos (ce qui permet à chacun d'avoir son avis sur la question à la fin)... Bref un film très juste et un sujet polémique bien traité, qui vaut pour beaucoup par la prestation du duo d'acteurs.
    Mathieu Dumont-Roty
    Mathieu Dumont-Roty

    40 abonnés 988 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 8 janvier 2014
    Un sujet profond qui pose un débat auquel on ne peut echapper. La direction d'acteur est vraiment réussie, Penn et Sarandon sont formidables. Un grand film touchant et glaçant à la fois. 16/20
    Louis Morel
    Louis Morel

    49 abonnés 850 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 décembre 2013
    Avec "La Dernière marche", Tim Robbins s’impose comme un brillant filmeur et directeur d'acteur, tout en finesse et émotion.
    CH1218
    CH1218

    207 abonnés 2 904 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 24 août 2013
    La "dernière marche" a la décence d'éviter la polémique en ne prenant aucun parti pris, c'est bien au spectateur de se faire sa propre opinion sur la complexité du pardon et de la peine de mort. Tim Robbins signe donc un film fort, grave, intense, chargé d'émotion et d'amour. La performance de Sean Penn est poignante, celle de Susan Sarandon est époustouflante et récompensée par un Oscar largement mérité. Un grand film marquant sur un sujet à controverse qui secoue la conscience de chacun.
    Don Keyser
    Don Keyser

    74 abonnés 1 641 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 3 août 2013
    Doté d'un scénario bien écrit, "La Dernière marche" se base sur des faits réels pour entraîner le spectateur. Néanmoins, la réalisation impose un rythme parfois ennuyeux qui ne permet d'intéresser totalement. Par contre, les acteurs sont très bons, surtout Susan Sarandon. Ainsi, le film jouit d'un ensemble assez maîtrisé mais ne captive pas complétement.
    nikolazh
    nikolazh

    62 abonnés 1 060 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 30 mars 2013
    Un film très basique dans sa réalisation, qui surprend cependant de par son sujet et son approche sociale (Tim Robbins serait il communiste ?!!!). Si l'émotion est plutôt présente, on s'ennuie cependant faute du manque d'ambition de l'histoire. Certes, le film à la mérite de faire réfléchir le spectateur, mais on ne peut pas dire qu'il transporte ou qu'il marque. Sean Penn est tantôt remarquable, tantôt ridicule, surjouant souvent ses scènes. Heureusement il y à Susan Sarandon, qui illumine vraiment ce film qui lui offre l'un de ses meilleurs rôles, toujours sur le fil du rasoir, plein de questionnements et de doutes.
    Abarai
    Abarai

    139 abonnés 1 507 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 30 mars 2013
    Lent mais maîtrisé, "Dead Man Talking" traite de la peine de mort sous un angle original, celui d'une bonne soeur. Susan Sarandon fait des merveilles en tant que religieuse prêchant la foi. Sean Penn est très bon lui aussi, comme à l'accoutumée. Que l'on soit croyant ou non, ce film de Tim Robbins reste intéressant.
    Entre pardon et rédemption, un film assez fort dans son sujet, même s'il souffre de répliques parfois simplistes et de certaines redites.
    moket
    moket

    541 abonnés 4 347 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 28 mars 2013
    Classique et sans grosse surprise, le film traite sobrement un sujet difficile. Pour une fois, le condamné à mort est un parfait salopard spoiler: dont la culpabilité ne fait pas l'ombre d'un doute
    , mais le film, et l'interprétation de Sean Penn, parviennent à le rendre humain. Susan Sarandon est très touchante et le pari est gagné lorsque l'on se dit que spoiler: ce coupable d'un crime odieux ne mérite peut-être pas la peine de mort...
    Kilian Dayer
    Kilian Dayer

    112 abonnés 838 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 26 mars 2013
    L’un des rares essais à la réalisation pour celui qui d’ordinaire est devant la caméra, Tim Robbins, Arlington Road, Mystic River ou encore La guerre des mondes. Oui, l’acteur s’essaie comme bon nombre d’interprètes à la mise en scène avec ici, il faut l’avouer, une certaine facilité. Robbins parvient à créer le malaise en confrontant la religion catholique très présente aux Etats-Unis et la condamnation à mort d’un prétendu meurtrier, dans le couloir de la mort pour avoir massacré et violé un couple d’adolescents. Le contexte n’est pas tout rose, malgré le calme très relatif de Sean Penn face à la situation de son personnage et malgré la bonhomie de sœur Préjean alias Susan Sarandon. Bref, coté casting, Robbins peut compter sur deux acteurs immenses, masculin comme féminin, qui mettront à eux seuls le film sur orbite alors qu’approche la sentence, un final qui réveille cruellement un film qui s’était en route embourbé dans un rythme peu engageant.

    La dernière marche aura finalement la particularité, contrairement aux apparences, de ne pas être un simple plaidoyer contre le peine capitale. Difficile ici de situer l’avis du réalisateur sur la question alors que son film démontre l’horreur de la chose tout en légitimant auprès du public son utilité face à l’ignominie du meurtrier et à la religion. C’est en effet la religion qui fait ici office de juge, de bourreau, la justice des hommes n’étant que l’appareil du bon dieu des catholiques, concept que doit finalement appréhender la condamné alors qu’il boulotte son dernier repas aux côtés d’une bonne sœur qu’il aura appelé au secours. Tim Robbins ne semble dès lors pas accabler la justice des états américains concernés par les exécutions, tout en n’enfonçant pas le meurtrier dans un personnalité démentielle inutile, ses actes pour lesquels il en est là étant dément mais sa personnalité très rationnelle.

    L’homme est coupable, d’une façon ou d’une autre d’un acte immonde, d’un crime violent, inhumain, et le sort qui lui est réservé semble logique en regard d’un grand nombre de ses détracteurs. Robbins ne nous laisse pas avoir pitié de l’homme en rappelant constamment cette nuit de massacre, créant une distance nécessaire pour ne pas entrer dans le pathos entre le condamné et le public. Le personnage de Sarandon, lui, fait office de trait d’union entre l’humanité défaillante et son créateur, s’il l’on n’y croit. Sœur aimante auprès d’une population noire défavorisée, elle répond à l’appel à l’aide d’un homme condamné, un monstre, et voit là l’occasion de rappeler au bon souvenir de la religion un enfant du Seigneur oublié. Vous l’aurez cependant compris, la dernière Marche est malheureusement un film de Bon dieuserie, souvent pénible.

    Si la religion n’est absolument pas mon fort, j’avoue avoir été saisi par le traitement dramatique de Robbins d’un sujet qui divisait et qui divise encore les Etats-Unis. Le cinéaste ne prend pas parti et nous laisse les bras ballants et le cœur chaviré devant un final juste, selon la théorie avancée deux heures durant, mais cruel pour les nerfs alors que les adieux du condamné à sa famille, quelques séquences précédentes, nous préparait à un final douloureux. Bravo donc à Tim Robbins que l’on aimerait décidément revoir à la réalisation, même si pour ma part, cette-fois, sans cette proximité agaçante à la religion. 14/20
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 15 février 2013
    Ce qui aurait pu n’être qu’un plaidoyer contre la peine de mort parmi d’autres (comme les excellents "La ligne verte" ou "La vie de David Gale") est transcendé ici par Tim Robbins, avec une intelligence rare, loin de tout manichéisme, en une oeuvre universelle sur l’amour, la haine, le pardon, la culpabilité et la religion. Au lieu de mettre la haine au carrefour de son propos, le cinéaste a préféré donner une place de premier ordre à l’Amour, incarné par le personnage de Soeur Helen Prejean. Au risque d’être rejetée de tous et au nom d’un Dieu à qui elle entend rendre sa capacité inhérente à aimer et à pardonner son prochain, Soeur Helen écoute ce que lui dicte sa conscience, son humanité. Sans tomber dans une bondieuserie facile, sans refourguer mille et un lieux communs sur la charité chrétienne, le film opère un travail d’humanisation à l’endroit même où on la croit perdue à jamais. Le film n’excuse pas l’acte de Matthew Poncelet, il ne le justifie pas par quelconques affres psychologiques. Ce qui intéresse Robbins, à l’image de soeur Helen, ce sont les étapes qui mènent au pardon, à l’acceptation de l’inacceptable, au long chemin qui conduit l’homme à prendre conscience de l’ampleur de ses actes. C’est en rencontrant la sollicitude et l’amour incarnés en la personne de soeur Helen que Matthew saisit le poids de sa responsabilité. Si elle est incapable de lui éviter la sanction vengeresque de tout un Etat, elle peut soulager sa conscience, l’aider à quitter son costume de « victime » de la société; statut qu’il déteste pourtant au plus haut point chez les autres (Cf. ses tirades sur les Noirs et les Juifs).
    Ce qui inspire le respect dans la pensée de Robbins s’apparente à ce que j’appellerais une honnêteté pure et brute. Il ne triche pas, il ne joue pas avec son spectateur, il ne le prend pas à partie, ne le juge pas et ne se sent pas investi d’une mission christique. Robbins ne se sent pas détenteur d’une vérité absolue. spoiler: En proposant à la fin du film, une alternance de scènes du meurtre des adolescents et de la scène de l’exécution de Poncelet, il se contente de montrer à quel point la loi du Talion est une négation de la logique humaine.
    Lorsque la société réclame la peau de celui qui est considéré comme un monstre dénué d’humanité, ne sombre-t-elle pas immédiatement dans la facilité de la barbarie? N’est-ce pas plus simple de pratiquer une injection létale plutôt que de s’armer d’amour et de compassion pour comprendre ce qui pousse l’Homme à céder à son animalité primaire ?
    Tim Robbins fait fi de tout cynisme préférant filmer cette histoire, probablement inspirée de faits réels puisque la vraie soeur Helen fut consultante sur le tournage, avec une objectivité désarmante qui donne la parole tant au condamné qu’aux proches des victimes. Au lieu de souligner la haine qui entraîne la violence, le cinéaste met à l’honneur cette possibilité qu’a l’Homme de se repentir, de pardonner et de se faire pardonner. Comme le dit Helen, ce n’est pas simple, c’est un travail de chaque instant. Et toute la force du personnage incarné par Susan Sarandon s’inscrit dans le déchirement interne qu’elle subit, écartelée entre l’envie d’apaiser les familles des victimes et cette voix intérieure qui lui dicte d’aider son prochain, même lorsque celui-ci s’est perdu en route.
    En conclusion, "Dead Man Walking" ne déshérite personne, il montre à voir, il dénonce, mais ne juge pas. C’est pourquoi, peu importe les prédispositions politiques et idéologiques de chacun sur le sujet, le film demeure plus que jamais d’actualité. Grâce à la finesse du regard de Robbins, il en ressort une oeuvre forte, humaine et universelle. Outre cette intelligence du réalisateur, le film doit sa force impressionnante à l’interprétation magistrale de Sean Penn et de Susan Sarandon. Ils sont tous les deux d’une justesse désoeuvrante, d’une sensibilité incroyable. Sean Penn provoque la crainte, le rejet pour exploser dans le registre de l’émotion. Si au départ rien n’est fait pour nous rendre son personnage humain et sympathique, il est de ces rares comédiens qui savent interpréter des personnages sombres et difficiles et faire basculer le public de l’effroi aux larmes en un claquement de doigt. Susan Sarandon, quant à elle, n’a pas volé son Oscar de la meilleure comédienne pour le rôle d’Helen Prejean. Jusqu’à la dernière minute, son personnage nous transporte, inspire l’admiration et met à mal nos sentiments. On ressort de "Dead Man Walking" avec le souffle coupé par les sanglots et le coeur serré, comme vidé de soi-même.
    Shephard69
    Shephard69

    341 abonnés 2 259 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 1 février 2013
    Un film touchant, profond et grave, certainment le plus documenté et le plus complet sur le thème de la peine de mort aux Etats-Unis. Sean Penn dans l'un de ses meilleurs rôles, Susan Sarandon superbe même si son personnage est légèrement trop lisse.Beaucoup d'émotions qui ressortent sans être larmoyant comme peut l'être "La ligne verte". Magnifique.
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