Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
5 critiques presse
Le Figaro
par Claude Baignères
(…) il s’agit d’un film grave et profond. Le Figaro, 28 mars 96
Positif
par Jean-Pierre Jeancolas
Tim Robbins fait fort. (…) Outre la direction d'acteurs (…), [il] contrôle rigoureusement les espaces, joue sur les éléments qui séparent, les grilles, les guichets (…) avant d'en arriver à ce couloir de la mort où le condamné devient le dead man annoncé
Télérama
par François Gorin
Dans le genre, une réussite. Mais qui bute à la fin sur l’éternelle question : comment filmer la grâce ? Télérama, 27 mars 96
Le Monde
par Pascal Mérigeau
Le refus de prendre parti (…), qui avait permis à la nécessaire ambiguïté de s’installer en dépit d’une réalisation très mécanique, se dilue in fine dans les boursouflures du film à thèse. Le Monde, 28 mars 96
Libération
par Marie Colmant
Dans la peau du condamné à mort, Sean Penn, impeccable [mais] me problème de « La dernière marche », c’est sa bonne volonté et surtout cette détermination à vouloir faire objectivement le tour de la question (…) afin de susciter le débat chez les spectate
Le Figaro
(…) il s’agit d’un film grave et profond. Le Figaro, 28 mars 96
Positif
Tim Robbins fait fort. (…) Outre la direction d'acteurs (…), [il] contrôle rigoureusement les espaces, joue sur les éléments qui séparent, les grilles, les guichets (…) avant d'en arriver à ce couloir de la mort où le condamné devient le dead man annoncé
Télérama
Dans le genre, une réussite. Mais qui bute à la fin sur l’éternelle question : comment filmer la grâce ? Télérama, 27 mars 96
Le Monde
Le refus de prendre parti (…), qui avait permis à la nécessaire ambiguïté de s’installer en dépit d’une réalisation très mécanique, se dilue in fine dans les boursouflures du film à thèse. Le Monde, 28 mars 96
Libération
Dans la peau du condamné à mort, Sean Penn, impeccable [mais] me problème de « La dernière marche », c’est sa bonne volonté et surtout cette détermination à vouloir faire objectivement le tour de la question (…) afin de susciter le débat chez les spectate