Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
12 critiques presse
Excessif
par Anne-Louise Echevin
Nous sommes face à du cinéma champagne : chic, pétillant, élégant, clinquant, et bigrement agréable. Un petit plaisir coupable, de temps à autre, ne fait pas de mal...
La critique complète est disponible sur le site Excessif
Le Parisien
par Marie Sauvion
Là, le film tourne un peu à la carte postale, genre " Bons baisers des Emirats arabes unis ", mais passé quelques longueurs, on se régale. Justement parce que Sex and the City 2 se vautre dans la vulgarité, tendance " ultra bling-bling ".
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Metro
par Tina Chadha
(...) peu importe si ce nouveau scénario manque de subtilité et que nos quatre héroïnes se baladent en robes du soir dès le petit-déjeuner (on parle d'un budget de 10 millions d'eurosrien que pour les vêtements), le plaisir de retrouver Carrie, Charlotte, Miranda et l'hilarante Samantha, qui se bat contre les effets de la ménopause sur sa libido, reste intact.
La critique complète est disponible sur le site Metro
20 Minutes
par Caroline Vié
Le choc de nos drôles de dames délurées et d'une société conservatrice est bien trop sage. Reste qu'avec l'arrêt de la série, le film est le seul moyen de retrouver ces "copines d'avant".
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Le Figaroscope
par Olivier Delcroix
Durant deux heures quinze, ce blockbuster au féminin aligne des rivières de glamour, des cascades de diamants et autres marques de luxe apparentes sans la moindre vergogne. Au final, cette superproduction de 100 millions de dollars prend la forme d'un gros loukoum bien sucré. Pas déplaisant, mais un rien bourratif !
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Cette suite démarre sur les chapeaux de roues (...), mais le rythme se relâche lorsque les New-Yorkaises s'envolent pour le Moyen-Orient (...). L'humour dérape dans le burlesque et se révèle parfois limite.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Chronic'art.com
par Vincent Malausa
On croit un instant que le premier virage du scénario - envoyer le quatuor de fofolles désormais quadras casées aux Emirats Arabes Unis - n'est qu'un aimable rebondissement, mais il s'agit en fait de la seule idée du film.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Critikat.com
par Julien Marsa
Ce second opus décline les mêmes recettes que le précédent, en démultipliant les signes ostentatoires d'opulence et les bons mots, dans une ode écoeurante au "fashion girl power".
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Monde
par Isabelle Regnier
Le talent de ses actrices est mieux servi par le rythme trépidant de la série que par la durée d'un long métrage. Bref, la qualité du film est à l'image de son propos : de mauvais goût. Et c'est cela aussi qui en fait l'intérêt.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Filmsactu
par Michèle Bori
L'héroïne qui nous a fait rêver pendant tant d'années est devenue ce qu'elle a toujours fui, ce qu'elle et ses copines ont toujours pointé du doigt durant leurs brunchs dominicaux : une gourdesuperficielle, hystérique et puérile, une caricature de nouvelle riche qui pourrait avoir sa place dans un film de Nancy Meyers. RIP Carrie. Tu aurais du rester à New York. Hollywood t'a tué.
La critique complète est disponible sur le site Filmsactu
L'Humanité
par Vincent Ostria
Hélas, au passage, on s'aperçoit que la série impertinente a été transformée en gros loukoum.
Télérama
par Cécile Mury
Les "girls", autrefois si piquantes, sont à bout de souffle (...), leur créateur n'a vraiment plus rien à dire, mais beaucoup d'argent à gaspiller. Un film très "fin de série".
Excessif
Nous sommes face à du cinéma champagne : chic, pétillant, élégant, clinquant, et bigrement agréable. Un petit plaisir coupable, de temps à autre, ne fait pas de mal...
Le Parisien
Là, le film tourne un peu à la carte postale, genre " Bons baisers des Emirats arabes unis ", mais passé quelques longueurs, on se régale. Justement parce que Sex and the City 2 se vautre dans la vulgarité, tendance " ultra bling-bling ".
Metro
(...) peu importe si ce nouveau scénario manque de subtilité et que nos quatre héroïnes se baladent en robes du soir dès le petit-déjeuner (on parle d'un budget de 10 millions d'eurosrien que pour les vêtements), le plaisir de retrouver Carrie, Charlotte, Miranda et l'hilarante Samantha, qui se bat contre les effets de la ménopause sur sa libido, reste intact.
20 Minutes
Le choc de nos drôles de dames délurées et d'une société conservatrice est bien trop sage. Reste qu'avec l'arrêt de la série, le film est le seul moyen de retrouver ces "copines d'avant".
Le Figaroscope
Durant deux heures quinze, ce blockbuster au féminin aligne des rivières de glamour, des cascades de diamants et autres marques de luxe apparentes sans la moindre vergogne. Au final, cette superproduction de 100 millions de dollars prend la forme d'un gros loukoum bien sucré. Pas déplaisant, mais un rien bourratif !
Le Journal du Dimanche
Cette suite démarre sur les chapeaux de roues (...), mais le rythme se relâche lorsque les New-Yorkaises s'envolent pour le Moyen-Orient (...). L'humour dérape dans le burlesque et se révèle parfois limite.
Chronic'art.com
On croit un instant que le premier virage du scénario - envoyer le quatuor de fofolles désormais quadras casées aux Emirats Arabes Unis - n'est qu'un aimable rebondissement, mais il s'agit en fait de la seule idée du film.
Critikat.com
Ce second opus décline les mêmes recettes que le précédent, en démultipliant les signes ostentatoires d'opulence et les bons mots, dans une ode écoeurante au "fashion girl power".
Le Monde
Le talent de ses actrices est mieux servi par le rythme trépidant de la série que par la durée d'un long métrage. Bref, la qualité du film est à l'image de son propos : de mauvais goût. Et c'est cela aussi qui en fait l'intérêt.
Filmsactu
L'héroïne qui nous a fait rêver pendant tant d'années est devenue ce qu'elle a toujours fui, ce qu'elle et ses copines ont toujours pointé du doigt durant leurs brunchs dominicaux : une gourdesuperficielle, hystérique et puérile, une caricature de nouvelle riche qui pourrait avoir sa place dans un film de Nancy Meyers. RIP Carrie. Tu aurais du rester à New York. Hollywood t'a tué.
L'Humanité
Hélas, au passage, on s'aperçoit que la série impertinente a été transformée en gros loukoum.
Télérama
Les "girls", autrefois si piquantes, sont à bout de souffle (...), leur créateur n'a vraiment plus rien à dire, mais beaucoup d'argent à gaspiller. Un film très "fin de série".