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Un film d'une poésie remarquable dès les première minutes.
C'est une réflexion sur la vie et la mort avec des passages musicaux vraiment sublimes.
Seuls quelques lenteurs viennent gâchés le plaisir de film.
Quelques passages d'humour font vraiment sourire.
Un film à voir surtout si on aime les drames japonais.
C'est une réflexion sur la vie et la mort avec des passages musicaux vraiment sublimes.
Seuls quelques lenteurs viennent gâchés le plaisir de film.
Quelques passages d'humour font vraiment sourire.
Un film à voir surtout si on aime les drames japonais.
Chef-d'oeuvre ! Ce film nous emmène en Extrême Orient mais surtout nous fait voyager dans la profondeur des relations humaines, dans l'épaisseur de chaque vie et dans le thème central de la mort, traité avec une grande délicatesse et sans aucune morbidité, grâce à l'esthétique des rituels japonais et à quelques notes d'humour. Magnifique.
Mon avis---
J'ai été subjugué par ce film, il m'a rempli d'émotions fortes et positives, cet art qu'a la délicatesse de pratiquer les Japonnais est ici représenté en son excellence bien sûr, car dans tous les métiers quels qu'ils soient, vous aurez toujours des personnes qui excellent et qui mettent du coeur à l'ouvrage et qui fera de leurs métiers un beau métier et d'autres qui survoleront le n'en leur mettant pas du coeur, d'où la platitude de leur vie. Mais ici c'est justement le cas de la grande délicatesse de ces deux hommes qui relèvent toute la valeur et la qualité émotionnelle du film. Il est vrai aussi que chez nous cela existe aussi mais comme partout avec des qualités et des défauts. Ici dans ce merveilleux film, il y a une pudeur et une réserve non exagérée vue la qualité et surtout le respect et les coutumes propres au Japon. Tout est beau dans ce film, même le fait de traiter avec la mort, mais dans les conditions du film qui sont surtout propre au Japon, c'est beau dans tout son ensemble. J'ai adoré le film et tout le respect que l'on ressent après l'avoir visionné. Rien d'autre à dire sinon qu'il va renter à la pointe de mon top 10. Pour vous, à vous de voir, cela ne sera jamais qu'une affaire d'émotions et de ressentir.
J'ai été subjugué par ce film, il m'a rempli d'émotions fortes et positives, cet art qu'a la délicatesse de pratiquer les Japonnais est ici représenté en son excellence bien sûr, car dans tous les métiers quels qu'ils soient, vous aurez toujours des personnes qui excellent et qui mettent du coeur à l'ouvrage et qui fera de leurs métiers un beau métier et d'autres qui survoleront le n'en leur mettant pas du coeur, d'où la platitude de leur vie. Mais ici c'est justement le cas de la grande délicatesse de ces deux hommes qui relèvent toute la valeur et la qualité émotionnelle du film. Il est vrai aussi que chez nous cela existe aussi mais comme partout avec des qualités et des défauts. Ici dans ce merveilleux film, il y a une pudeur et une réserve non exagérée vue la qualité et surtout le respect et les coutumes propres au Japon. Tout est beau dans ce film, même le fait de traiter avec la mort, mais dans les conditions du film qui sont surtout propre au Japon, c'est beau dans tout son ensemble. J'ai adoré le film et tout le respect que l'on ressent après l'avoir visionné. Rien d'autre à dire sinon qu'il va renter à la pointe de mon top 10. Pour vous, à vous de voir, cela ne sera jamais qu'une affaire d'émotions et de ressentir.
très beau film plein de sensibilité de légèreté et de l'humour malgré le sujet qui ne s'y prête pas trop...
par moments, pourtant, on a l'impression que notre croque-mort novice en fait un peu trop ; c'est peut-être oublier que c'est une autre culture et le comportement est un peu plus théâtral que dans nos contrées...
par moments, pourtant, on a l'impression que notre croque-mort novice en fait un peu trop ; c'est peut-être oublier que c'est une autre culture et le comportement est un peu plus théâtral que dans nos contrées...
petit chef d'oeuvre: Oscar du meilleur film étranger en 2008...un violoncelliste licencié retourne dans le bled de son enfance, et trouve un job d'employé de Pompes Funèbres....Superbe, finement joué, très japonais, quoi...sujet pas facile, la confrontation avec le corps mort pose problèmes, et le statut social aussi...comment on passe du répugnant à la vocation...
Un sujet intéressant, beaucoup de poésie et d'humour, mais le film est lent et souvent trop répétitif. Les personnages sont charmants, sûrement trop gentils; cela en devient parfois agaçant. C'est vrai que le cinéma japonais ne nous avait pas habitué à de telles attitudes et des rapports humains aussi peu conflictuels et mièvres.
Departures est le premier film du réalisateur japonais Yojiro Takita à avoir eu les "honneurs" d'une sortie dans les salles françaises. Oscar du meilleur film étranger en 2009, Departures raconte l'histoire de Daigo Kobayashi, trentenaire qui cherche en vain sa voie suite à la dissolution de l'orchestre tokyoïte dans lequel il jouait du violoncelle. Loin de l'urbanisation à tout va que l'on nous sert chaque fois qu'on évoque le Japon, Departures nous emmène dans la campagne nippone à la découverte des rituels anciens qui tendent à disparaître. Autour du métier de thanatopracteur, le cinéaste dresse un portrait nostalgique du Japon dont les traditions s'étiolent : bains publics, respect des défunts et des souhaits de la famille... Comme les geishas, les thanatopracteurs dépeints par Takita semblent vivre dans un instant de grâce, chacun des mouvements s'apparentant à un semblant de danse qui nous laisse sans voix, obnubilé par le beauté des images et l'agilité de Daigo Kobayashi.
spoiler:
Au-delà du sujet du film gravitent des histoires personnelles, la relation de Daigo et de Mika mise à mal par le nouveau métier du premier, l'absence du père symbolisée par une simple pierre ou cet ami d'enfance de Daigo qui refuse de comprendre l'obsession de sa mère de maintenir ouvert les bains publics qu'elle dirige
. Les quelques deux heures que dure Departures s'apprécient avec en arrière-plan une bande-son magnifique où le violoncelle a bien entendu une place de choix. Comme tout drame qui se mérite, l'étude des mœurs et caractères des personnages fait partie intégrante du processus et les plaies de ceux qui naviguent autour de Daigo vont bien entendu se rouvrir afin de mieux se refermer. On pourrait reprocher quelques maladresses ci-et-là, quelques réactions un peu trop forcées pour être réalistes mais ce serait faire fi de la qualité de l'histoire qui se fond dans ce que la civilisation japonaise a de plus beau : la cohabitation entre tradition et modernité, la nature encore très présente dans les campagnes japonaises et surtout cette lenteur caractéristique du cinéma du pays du soleil levant qui prend le temps de la contemplation et de la réflexion pour faire avancer son intrigue. Departures est donc une jolie découverte dont ceux qui rêvent de visiter un jour ce pays devraient se délecter, histoire de se détacher un peu des sempiternelles références aux yakuzas, aux mangas ou à la J-Pop.
. Les quelques deux heures que dure Departures s'apprécient avec en arrière-plan une bande-son magnifique où le violoncelle a bien entendu une place de choix. Comme tout drame qui se mérite, l'étude des mœurs et caractères des personnages fait partie intégrante du processus et les plaies de ceux qui naviguent autour de Daigo vont bien entendu se rouvrir afin de mieux se refermer. On pourrait reprocher quelques maladresses ci-et-là, quelques réactions un peu trop forcées pour être réalistes mais ce serait faire fi de la qualité de l'histoire qui se fond dans ce que la civilisation japonaise a de plus beau : la cohabitation entre tradition et modernité, la nature encore très présente dans les campagnes japonaises et surtout cette lenteur caractéristique du cinéma du pays du soleil levant qui prend le temps de la contemplation et de la réflexion pour faire avancer son intrigue. Departures est donc une jolie découverte dont ceux qui rêvent de visiter un jour ce pays devraient se délecter, histoire de se détacher un peu des sempiternelles références aux yakuzas, aux mangas ou à la J-Pop.
Départures est un film intéressant dépeignant un Japon différent de la majorité des films tournés dans ce pays. Puisqu'il a pour cadre la campagne dépeuplée et vieillissante du nord de l'île d'Honshû, cadre assez rare dans les productions nippones.Ce film détone également par le métier exercé par le personnage principale ayant pour mission de faire les funérailles prenant alors tout son sens dans cet espace qui dépéri. Cependant deux immenses défauts m'ont gâché ce film. D'une part la mièvrerie ambiante étouffante de plus en plus au fil du film. D'autre part un point important que j'ai vu cité nulle part. Ce film est misogyne! Ce défaut se voit par rapport au personnage de l'épouse qui n'a que cette fonction de suivre et satisfaire le héros. Plus choquant on assiste carrément dans la plus simplicité à un viol conjugal sans que ça heurte personne. Les personnages ont beau être marié quand une femme refuse un attouchement sexuel c'est du viol, un point c'est tout, mariée ou non. Je signale que c'est un homme qui écrit cet article et que secondement au détracteur me disant que c'est dans la culture japonaise, l'excellent Shokuzai nous prouve le contraire.
Oscar du meilleur film en langue étrangère en 2009, Departures est une œuvre d'une grande beauté, qui décrit avec simplicité et sensibilité un certain aspect du Japon. Il questionne avec force les notions de filiation, de vieillesse et bien sûr, de mort. Très beau.
magnifique, un ascenseur émotionnel, ont en ressort pas indemne. réalisation parfaite et jeux d'acteurs ahurissant. comment voire de la beauté dans tant de souffrance. Nous occidentaux devront prendre exemple sur eux.
un thème délicat mais traité avec beaucoup de douceur et d'ingéniosité. tabou, à l’extrême au Japon, le film nous montre la dureté d'un métier pas comme les autres, mais au combien fondamental pour les familles des victimes. un voyage en plein cœur de la tradition de ce pays très brillant.
petit chef d'oeuvre: Oscar du meilleur film étranger en 2008...un violoncelliste licencié retourne dans le bled de son enfance, et trouve un job d'employé de Pompes Funèbres....Superbe, finement joué, très japonais, quoi...sujet pas facile, la confrontation avec le corps mort pose problèmes, et le statut social aussi...comment on passe du répugnant à la vocation...
Très belle façon d'aborder la mort... On est touché par Daigo qui arrive dans une agence et en ressort meurtri, mais qui se bat finalement à redonner la beauté aux corps des inconnus, de ses amis, son père... sous le regard de leurs proches endeuillés... Joli film mêlant sentiment et émotion avec une mini touche d'humour en début de film.
Bonjour.
Une merveille ! Un film bouleversant, tout en finesse et délicatesse et débordant d'amour. L'image de la mort nous est ici retranscrite avec pudeur et émotion contenue. Elle en est presque belle, tant le film (et ses excellents acteurs/trices) savent nous la magnifier dans ce qu'elle a de plus bouleversante et terrifiante. Ce film sur la mort est une vraie ode à la vie ! Il nous porte de plus -nous occidentaux- à nous interroger sur nos propres rites funéraires et notre rapport au "départ" d'un être cher..
Une merveille ! Un film bouleversant, tout en finesse et délicatesse et débordant d'amour. L'image de la mort nous est ici retranscrite avec pudeur et émotion contenue. Elle en est presque belle, tant le film (et ses excellents acteurs/trices) savent nous la magnifier dans ce qu'elle a de plus bouleversante et terrifiante. Ce film sur la mort est une vraie ode à la vie ! Il nous porte de plus -nous occidentaux- à nous interroger sur nos propres rites funéraires et notre rapport au "départ" d'un être cher..
Il y a peu de mots pour décrire les sentiments et les émotions qui nous traversent quand on regarde Departures. Il y a du génie dans la réalisation, on commence à nous mettre à l'aise par quelques touches d'humour bienvenues, pour ensuite nous plonger, en délicatesse, dans le "comment" sont perçus les employés de pompes funèbres au Japon. Les acteurs sont touchants, les musiques douces et envoutantes, les images saisissantes... Voila, rien à rajouter, il faut le voir, absolument !
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