AlloCiné
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J'ai trouvé ce film décevant. Le synopsis et la bande-annonce ont attiré mon attention. Le sujet traité était vraiment intéressant, puis ça débute bien, l'acteur principal est plutôt convaincant, le décalage comique par rapport à un thème "métaphysique" semble être une approche originale... mais tout cela reste bien superficiel. On en reste à une ébauche de film, alors qu'il y avait un bon potentiel de départ. Bien dommage.
Une oeuvre aussi abstraite que surréaliste dans laquelle Paul Giamatti qui joue son propre rôle excelle de toutes parts. Rien de bien spectaculaire ou de déroutant comme peut l'être un ovni du gabarit de Norway Of Life mais une critique de notre socièté simple et originale. A voir.
Une très bonne idée exploitée de façon étrange, avec de très beaux moments mais aussi des moments relativement ennuyeux où l'on aimerait que la réalisatrice choisisse sa thématique et évite de s'éparpiller. Les acteurs sont fantastiques.
Conte métaphysique sur le commerce des âmes. Sujet passionnant ! Regrettons que cela soit, encore une fois, au spectateur de développer après projection ce qui n'est ici qu'approche réussie.
🎬 RENGER 📼
Premier long-métrage pour la réalisatrice Franco/Américaine qui s’offre les services d’un Paul Giamatti en grande forme à travers ce drame fantastique des plus original (on y fait la rencontre d’un célèbre acteur Américain en pleine crise existentielle qui décide de procéder à l’ablation de son âme afin de se sentir libéré de ce poids. Mais sa décision aura de graves conséquences par la suite.). L’intrigue de départ avait quelque chose d’attirante, son originalité et son acteur principal étaient tout deux des motivations pour aller découvrir ce film. Mais hélas, le film tourne rapidement en rond, ce dernier étant déjà trop amorphe, les 100 minutes que comptent le film finissent par en devenir lassantes (pour ne pas dire exaspérantes).
Le moins que l'on puisse dire c'est que ce nouveau film signé Sophie Barthès ne manque pas d'originalité. Un scénario comme celui-ci il fallait le trouver, puisque ici une société américaine nous propose de stocker notre âme qui serait devenu trop encombrante ou insupportable à porter... Jusque là le film à tout pour plaire mais le problème c'est que pendant 1H40 le spectateur ne sait pas si il regarde une comédie ou un drame... Sur la fiche imdb et celle d'Allociné le long-métrage est classé Comédie-dramatique.... Seulement ce n'est pas trop le cas... Mais ce n'est non plus ni une comédie ni totalement un drame, Sophie Barthes a hésité et le résultat s'en ressent c'est fort dommage...http://img.over-blog.com/20x20/2/89/14/69/vxdgvfgdwfwg/absolumentp.png
L'idée de base est formidable ce qui donne à ce film une très bonne raison d'être vu. Ajouté à cela un Paul Giamatti remarquable et une réalisation soignée par Sophie Barthes.
On regrettera seulement le manque évident de rythme ; un si beau long-métrage qui se casse la gueule par faute d'articulation ça fait toujours mal au cœur.
Pas totalement parfait, Âmes en Stock donne tout de même à réfléchir et a le mérite d'être original.
Chaudement conseillé donc.
On regrettera seulement le manque évident de rythme ; un si beau long-métrage qui se casse la gueule par faute d'articulation ça fait toujours mal au cœur.
Pas totalement parfait, Âmes en Stock donne tout de même à réfléchir et a le mérite d'être original.
Chaudement conseillé donc.
complètement loufoque mais c'est ce qui est bon! une histoire qui sort vraiment de l'ordinaire et qui formule bien parfois un mal être de la société
Ouais.
Evidemment on a été le voir dans la même journée que 8thWonderland ; cela l'a peut être déservi...
mais si l'idée de départ est sympa , le film lui ne suit pas.
Poussif, on s'ennuie.
L'étude des personnages est quasi inexistante ; pourtant ça tombait sous le sens. Bref on passe le temps à attendre qu'il se passe quelque chose d'interessant mais ça n'arrive pas.
On reste sur sa faim... beaucoup trop...
Une bonne idée de départ, dommage...
mais bon, ce n'est que notre avis...
Evidemment on a été le voir dans la même journée que 8thWonderland ; cela l'a peut être déservi...
mais si l'idée de départ est sympa , le film lui ne suit pas.
Poussif, on s'ennuie.
L'étude des personnages est quasi inexistante ; pourtant ça tombait sous le sens. Bref on passe le temps à attendre qu'il se passe quelque chose d'interessant mais ça n'arrive pas.
On reste sur sa faim... beaucoup trop...
Une bonne idée de départ, dommage...
mais bon, ce n'est que notre avis...
Joli conte philosophique et surréaliste, teinté de mélancolie.
Très américain, très mercantile ce concept de perdre son âme, d’en changer, comme s’il s’agissait d’une paire de chaussures. Encore que, s’il est difficile de trouver chaussure à son pied, imaginez pour l’âme !
Paul Giamatti se rend vite compte que l’âme est essentielle pour les relations avec les autres, l’interprétation de son rôle et que privé de l’âme, nous sommes amputés de nos sentiments. C’est notre vécu qui fait ce que nous sommes, un peu comme des empreintes digitales, propres à chacun.
Le fait d’y mêler la Russie (Oncle Vania, la société américaine à un fournisseur d’âme en Russie, le protagoniste s’y rend) donne tout de suite un ton poétique (tragique ?) et romantique (au sens noble du terme) propre au pays slave.
L’acteur refuse plusieurs fois de regarder le contenu de son âme mais va devoir y faire face s’il veut la récupérer. Etre, c’est aussi vivre avec ce qui nous pèse : chagrins et regrets.
Heureusement, on ne sombre pas dans le pathos (et c’était facile de s’y noyer) car Sophie Barthes n’hésite pas à glisser des petits mots d’humour. D’ailleurs, Woody Allen aurait pu réaliser ce film surtout lorsque Giamatti réalise que son âme ressemble… à un pois chiche ! D’ailleurs sa façon de jouer à ce moment-là est digne d’une névrose Allenienne.
Très américain, très mercantile ce concept de perdre son âme, d’en changer, comme s’il s’agissait d’une paire de chaussures. Encore que, s’il est difficile de trouver chaussure à son pied, imaginez pour l’âme !
Paul Giamatti se rend vite compte que l’âme est essentielle pour les relations avec les autres, l’interprétation de son rôle et que privé de l’âme, nous sommes amputés de nos sentiments. C’est notre vécu qui fait ce que nous sommes, un peu comme des empreintes digitales, propres à chacun.
Le fait d’y mêler la Russie (Oncle Vania, la société américaine à un fournisseur d’âme en Russie, le protagoniste s’y rend) donne tout de suite un ton poétique (tragique ?) et romantique (au sens noble du terme) propre au pays slave.
L’acteur refuse plusieurs fois de regarder le contenu de son âme mais va devoir y faire face s’il veut la récupérer. Etre, c’est aussi vivre avec ce qui nous pèse : chagrins et regrets.
Heureusement, on ne sombre pas dans le pathos (et c’était facile de s’y noyer) car Sophie Barthes n’hésite pas à glisser des petits mots d’humour. D’ailleurs, Woody Allen aurait pu réaliser ce film surtout lorsque Giamatti réalise que son âme ressemble… à un pois chiche ! D’ailleurs sa façon de jouer à ce moment-là est digne d’une névrose Allenienne.
un cinéma "new yorkais" un peu caricatural, à la woody alen, faussement cérébral et surtout un peu chiant... des bonnes idées mais trop de longeurs pour ce film qui ne trouve pas le ton juste à trop vouloir éviter de tomber dans la pure comédie.
Scénario original mais un peu trop long, on comprend trop bien au bout d'un moment qu'il veut retrouver ce qu'il a perdu et qu'il va tout faire pour, cela commence à être un peu plat, dommage. Néanmoins le doute garde l'attention et fait passer un bon moment. A voir pour la réflexion posée sur l'humanité et le marché financier proliféré.
Comme toujours Paul Giamatti est génial dans son rôle, cependant l'histoire qui partait sur de bonnes bases n'a, à mon avis, pas été assez creusée et il manque un petit quelque chose.. Et la fin est bâclée... 2 étoiles quand même car quelques petites répliques sont amusantes de même que certaines situations (ce n'est pas commun de vouloir quitter son âme) mais un film que je qualifierais de "sans plus".
Un mélange d'âme et de souvenir, pour une réflexion sur la nature humaine pas captivante et très superficielle. Trop intello ou juste pas drôle ?
Difficile de noter ce film. L'idée est intéressante et ramène nécessairement à soi. Quand on en a marre d'être soi, que cela nous fait souffrir, pourquoi ne pas se séparer de la cause, à savoir son âme ? Oui mais voilà, c'est ce qui nous définit en tant qu'être. En gros, il est difficile de vivre avec mais on ne peut pas vivre sans. Paul Giamatti est remarquable. Le film est drôle, parfois léger mais aborde des questions profondes. Je regrette toutefois certaines parties du film. Le voyage en Russie notamment, caricaturale et peu crédible dans le traitement des personnages.
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