AlloCiné
Mon compte
Note moyenne
2,5
228 notes
En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
Votre avis sur Ames en stock ?
5
4 critiques
4
12 critiques
3
11 critiques
2
13 critiques
1
10 critiques
0
2 critiques
Trier par :
Filtrer par :
Toutes les notes
Très très original ! Paul Giamatti excellent ! A voir !
Film bourré de surprises. Surement la plus belle comédie dramatique qu'il m'ait été donné de voir ces dernières années. Un scénario vraiment original servi par Paul Giamatti, avec ses multi-rôles. Une réalisation décalé, drôle et grave, légère et profonde.
Je classerais ce film d'un ennui stupéfiant parmi les plus ennuyeux que j'ai jamais vus. Il part d'une histoire intrigante mais fantaisiste. Un acteur qui a du mal à jouer le rôle de l'Oncle Vania a recours à une mystérieuse entreprise pour lui enlever son âme mais il se déroule d'une manière si incohérente et si peu motivée que le public n'est jamais en mesure d'établir un lien émotionnel réel avec ce qu'il fait ou pourquoi il le fait. Et alors que le film se présente comme une comédie il est aussi animé qu'une marche funèbre et ne parvient jamais à inventer une seule séquence capable de susciter le plus faible des sourires. Les acteurs ne sont pas convaincants Paul Giamatti jouant le rôle d'un rabat-joie spirituellement mort qui ne parvient pas à suscite d'intérêt même après avoir été mêlé à la mafia russe lorsque la situation commence à se dégrader. David Strathairn drainant le peu d'énergie générée par le scénario sans vie dans une performance d'une insipidité monumentale. Cette histoire est exécutée avec une telle fadeur que spectateur commence à vouloir tout arrêter avant que le film n'atteigne sa conclusion aride et inutile...
Paul Giamatti nous démontre encore une fois l'étendue de son talent, en jouant à merveille Paul Giamatti. Parfois sans âme, parfois avec, soit la sienne, soit une autre, quel génie.
Un sujet fascinant que l'étude de l'âme qui aurait au moins mérité qu'on le définisse clairement avant de commencer d'envisager d'en faire un film, un film qui ne sait pas sur quel pied danser, celui de la comédie ou celui du drame ?
On suppose donc que -selon le film du moins- l'âme n'est donc qu'un morceau de personnalité qu'on peut enlever et remettre plus ou moins facilement -la technologie est là pour ça- et avec un minimum d'introspection et de perturbations : le tarif syndical en gros ! à moins que ce ne soit le tarif sécu, ce qui ne donne pas lourd non plus.
Certes, on voit tout de même quelque désagrément éventuel : où est passée mon âme, s'interroge Paul Giamatti, alors qu'il semble très bien se porter ou en tout cas pas pire qu'avant...! Allons, allons, Paul, âme ou pas, tout ça, c'est psychosomatique... et qu'importe si vous avez échangé votre âme avec une autre. D'ailleurs, où est passé le diable au fait ? il est reparti si vite qu'on ne l'a pas vu, écoeuré par ce trafic d'âmes sans foi ni loi !
Un sujet vaste qui aurait donc mérité un bien meilleur traitement et un autre angle d'attaque, plus rigoureux. Ce qu'Ames en stock fait tant bien que mal et vice-versa, c'est se noyer dans un verre à moitié vide et compter les bulles.
On suppose donc que -selon le film du moins- l'âme n'est donc qu'un morceau de personnalité qu'on peut enlever et remettre plus ou moins facilement -la technologie est là pour ça- et avec un minimum d'introspection et de perturbations : le tarif syndical en gros ! à moins que ce ne soit le tarif sécu, ce qui ne donne pas lourd non plus.
Certes, on voit tout de même quelque désagrément éventuel : où est passée mon âme, s'interroge Paul Giamatti, alors qu'il semble très bien se porter ou en tout cas pas pire qu'avant...! Allons, allons, Paul, âme ou pas, tout ça, c'est psychosomatique... et qu'importe si vous avez échangé votre âme avec une autre. D'ailleurs, où est passé le diable au fait ? il est reparti si vite qu'on ne l'a pas vu, écoeuré par ce trafic d'âmes sans foi ni loi !
Un sujet vaste qui aurait donc mérité un bien meilleur traitement et un autre angle d'attaque, plus rigoureux. Ce qu'Ames en stock fait tant bien que mal et vice-versa, c'est se noyer dans un verre à moitié vide et compter les bulles.
Une histoire très étrange, sur un rhytme lent. Je n'arrive même pas à savoir si j'ai aimé ou pas, comme quoi ça m'a fait réfléchir.
Le film joue avec la notion d'âme, qui serait l'ensemble des les sentiments, les motivations, les peurs, l'histoire personnelle. En quoi l'âme défini une personne... Qu'est ce que c'est que l'échanger, la vendre, la perdre ? Film introspectif, peut-être quelques lenteurs.
Le film joue avec la notion d'âme, qui serait l'ensemble des les sentiments, les motivations, les peurs, l'histoire personnelle. En quoi l'âme défini une personne... Qu'est ce que c'est que l'échanger, la vendre, la perdre ? Film introspectif, peut-être quelques lenteurs.
Joli conte philosophique et surréaliste, teinté de mélancolie.
Très américain, très mercantile ce concept de perdre son âme, d’en changer, comme s’il s’agissait d’une paire de chaussures. Encore que, s’il est difficile de trouver chaussure à son pied, imaginez pour l’âme !
Paul Giamatti se rend vite compte que l’âme est essentielle pour les relations avec les autres, l’interprétation de son rôle et que privé de l’âme, nous sommes amputés de nos sentiments. C’est notre vécu qui fait ce que nous sommes, un peu comme des empreintes digitales, propres à chacun.
Le fait d’y mêler la Russie (Oncle Vania, la société américaine à un fournisseur d’âme en Russie, le protagoniste s’y rend) donne tout de suite un ton poétique (tragique ?) et romantique (au sens noble du terme) propre au pays slave.
L’acteur refuse plusieurs fois de regarder le contenu de son âme mais va devoir y faire face s’il veut la récupérer. Etre, c’est aussi vivre avec ce qui nous pèse : chagrins et regrets.
Heureusement, on ne sombre pas dans le pathos (et c’était facile de s’y noyer) car Sophie Barthes n’hésite pas à glisser des petits mots d’humour. D’ailleurs, Woody Allen aurait pu réaliser ce film surtout lorsque Giamatti réalise que son âme ressemble… à un pois chiche ! D’ailleurs sa façon de jouer à ce moment-là est digne d’une névrose Allenienne.
Très américain, très mercantile ce concept de perdre son âme, d’en changer, comme s’il s’agissait d’une paire de chaussures. Encore que, s’il est difficile de trouver chaussure à son pied, imaginez pour l’âme !
Paul Giamatti se rend vite compte que l’âme est essentielle pour les relations avec les autres, l’interprétation de son rôle et que privé de l’âme, nous sommes amputés de nos sentiments. C’est notre vécu qui fait ce que nous sommes, un peu comme des empreintes digitales, propres à chacun.
Le fait d’y mêler la Russie (Oncle Vania, la société américaine à un fournisseur d’âme en Russie, le protagoniste s’y rend) donne tout de suite un ton poétique (tragique ?) et romantique (au sens noble du terme) propre au pays slave.
L’acteur refuse plusieurs fois de regarder le contenu de son âme mais va devoir y faire face s’il veut la récupérer. Etre, c’est aussi vivre avec ce qui nous pèse : chagrins et regrets.
Heureusement, on ne sombre pas dans le pathos (et c’était facile de s’y noyer) car Sophie Barthes n’hésite pas à glisser des petits mots d’humour. D’ailleurs, Woody Allen aurait pu réaliser ce film surtout lorsque Giamatti réalise que son âme ressemble… à un pois chiche ! D’ailleurs sa façon de jouer à ce moment-là est digne d’une névrose Allenienne.
Âmes en Stock présente un concept non dénué d'intérêt, mais qui accouche d'un film lent, étrange et finalement ennuyeux. Il faut des efforts soutenus pour s'intéresser à la quête de Paul Giamatti, qui se sent mal avec son âme, sans son âme ou avec une âme d'emprunt. L'ambiance se veut un brin mélancolique, et peut-être moralisatrice ? Est-ce une parabole sur le trafic d'organe ? Une ode triste aux talents gâchés des gens du tiers-monde, qui n'ont pas la chance de s'épanouir ? En tout cas, le seul incident notable du film ne nous transporte pas dans un suspense haletant. L'envie de dormir guette. Dommage.
J'ai trouvé ce film décevant. Le synopsis et la bande-annonce ont attiré mon attention. Le sujet traité était vraiment intéressant, puis ça débute bien, l'acteur principal est plutôt convaincant, le décalage comique par rapport à un thème "métaphysique" semble être une approche originale... mais tout cela reste bien superficiel. On en reste à une ébauche de film, alors qu'il y avait un bon potentiel de départ. Bien dommage.
L'idée de base est formidable ce qui donne à ce film une très bonne raison d'être vu. Ajouté à cela un Paul Giamatti remarquable et une réalisation soignée par Sophie Barthes.
On regrettera seulement le manque évident de rythme ; un si beau long-métrage qui se casse la gueule par faute d'articulation ça fait toujours mal au cœur.
Pas totalement parfait, Âmes en Stock donne tout de même à réfléchir et a le mérite d'être original.
Chaudement conseillé donc.
On regrettera seulement le manque évident de rythme ; un si beau long-métrage qui se casse la gueule par faute d'articulation ça fait toujours mal au cœur.
Pas totalement parfait, Âmes en Stock donne tout de même à réfléchir et a le mérite d'être original.
Chaudement conseillé donc.
Paul Giamatti nous offre encore une très belle prestation, un scénario audacieux et innovant. Une réflexion sur l'âme et qu'est ce qui nous différencie.
Difficile de noter ce film. L'idée est intéressante et ramène nécessairement à soi. Quand on en a marre d'être soi, que cela nous fait souffrir, pourquoi ne pas se séparer de la cause, à savoir son âme ? Oui mais voilà, c'est ce qui nous définit en tant qu'être. En gros, il est difficile de vivre avec mais on ne peut pas vivre sans. Paul Giamatti est remarquable. Le film est drôle, parfois léger mais aborde des questions profondes. Je regrette toutefois certaines parties du film. Le voyage en Russie notamment, caricaturale et peu crédible dans le traitement des personnages.
Belle réussite, à diffusion malheureusement confidencielle. Paul Giamatti interprète remarquablement son propre personnage, changeant de jeu selon ses états d'âme. On est entre le conte fantastique et la fable philosophique. L'humour rappelle souvent Woody Allen. Surréaliste et poétique, un film et une réalisatrice à découvrir. Un petit bijou. Courez le voir pendant qu'il est à l'affiche !
Comme toujours Paul Giamatti est génial dans son rôle, cependant l'histoire qui partait sur de bonnes bases n'a, à mon avis, pas été assez creusée et il manque un petit quelque chose.. Et la fin est bâclée... 2 étoiles quand même car quelques petites répliques sont amusantes de même que certaines situations (ce n'est pas commun de vouloir quitter son âme) mais un film que je qualifierais de "sans plus".
Petit film bien simpathique qui fait sourir par ses situations impossibles et répliques ingénues mais absurdes. Paul Giamatti dans son propre rôle joue parfaitement les divers âmes qu'il incarne.
En revanche la fin de l'histoire arrive très rapidement et j'ai pas tout à fait compris le dénouement abrupte.
Mais c'est un bon petit film dans l'ensemble qui est agréable à regarder.
En revanche la fin de l'histoire arrive très rapidement et j'ai pas tout à fait compris le dénouement abrupte.
Mais c'est un bon petit film dans l'ensemble qui est agréable à regarder.
- Meilleurs films
- Meilleurs films selon la presse