Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
21 critiques presse
Excessif
par Nicolas Schiavi
Drôle, décalé et empreint de poésie, Cold Souls est le genre d'oeuvre intemporelle et bercée par une vision unique du cinéma.
La critique complète est disponible sur le site Excessif
Le Figaroscope
par Jean-Luc Wachthausen
Un sujet original pour un premier film qui ne l'est pas moins (...).
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Marianne
par Danièle Heymann
Ames en stock devrait être pour (...) le plus grand nombre possible d'âmes à la délicatesse d'un humour décalé, à la finesse d'une critique imaginative de nos désirs et de nos dérives.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Brazil
par Véronique Kientzy
Il y a du Spike Jonze, du Charlie Kaufman et du Michel Gondry dans Cold Souls... mais il y a surtout du Sophie Barthes et une super idée à découvrir pour un premier long-métrage vraiment intéressant.
La critique complète est disponible sur le site Brazil
L'Express
par Julien Welter
voir www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
La Croix
par Arnaud Schwartz
C'est une vraie bonne surprise !
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Monde
par Jean-Luc Douin
Sophie Barthes réussit une comédie originale dans laquelle pointent sans le moindre dogmatisme une réflexion sur les tourments intérieurs des comédiens, des clins d'oeil à Jung et Gogol.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Studio Ciné Live
par Christophe Carrière
Voir le site Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Critikat.com
par Vincent Avenel
Une idée des plus fines, qui ne se révèle que l'ombre de ses promesses ; un bon acteur correctement dirigé, mais pour ne livrer qu'une performance sans subtilité – Âmes en stock suscite beaucoup d'espoirs, pour n'en réaliser que quelques-uns. Et ceux qu'il réalise le sont si bien, que la déception n'en est que plus grande.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Filmsactu
par Caroline Leroy
Passée la surprise de son concept pour le moins surprenant, Ames en stock peine à pleinement transformer celui-ci et s'avère au final curieusement anecdotique en dépit d'une vraie singularité et de quelques jolis moments dans sa deuxième partie. Si le film est inabouti, il n'en révèle pas moins une cinéaste prometteuse ; ce qui n'est pas si mal.
La critique complète est disponible sur le site Filmsactu
Le Point
par François-Guillaume Lorrain
voir Le Point.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Inrockuptibles
par Thomas Pietrois-Chabassier
Vaguement sociologique, Ames en stock vaut moins pour son point de vue sur la société (...) que pour son regard sur un acteur et sa métamorphose de comédien de théâtre en corps hospitalier où s'attardent les âmes des autres, le corps d'acteur de cinéma.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Bruno Icher
Ames en stock déploie une forme de logique de l'absurde poussée au plus loin et avec les risques que cela comporte. Car cette joyeuse confusion sur la définition de l'âme chez tout individu occidental névrosé, c'est-à-dire l'intégralité de la population, est aussi la faiblesse du film.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Ouest France
par La rédaction
Un premier film qui ne tient pas jusqu'au bout ses réjouissantes promesses. Dommage.
Paris Match
par Alain Spira
Ce film de science-fiction existentielle à l'humour dépressif aurait pu s'appeler "Dans la tête de Paul Giamatti", comme il y eut Dans la peau de John Malkovich. Mais Sophie Barthes n'est pas Spike Jonze et, malgré le talent de Paul Giamatti et les idées qui fourmillent, ce film manque d'un supplément...d'âme.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Positif
par Vincent Thabourey
Cette vaste entreprise d'hybridation cinématographique est cependant une curiosité qu'il conviendra de ne pas snober.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Première
par Christophe Narbonne
Stimulant mais moins audacieux et inventif que Dans la peau de John Malkovich ou Adaptation, Ames en stock souffre d'un excès de lisibilité, et son virage vers le thriller dans la seconde partie n'est pas non plus très convaincant.
La critique complète est disponible sur le site Première
TéléCinéObs
par Nicolas Schaller
Le pitch fait bien sûr penser à du Charlie Kaufman, le scénariste de Dans la peau de John Malkovich, dont l'influence écrase ce premier film décoratif et inoffensif, à milles lieues de la densité neurasthénique et du foisonnement surréaliste de son modèle.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Chronic'art.com
par Julien Abadie
Plonger dans des abîmes existentiels et n'en remonter aucune émotion ni vertige : suprême paradoxe d'une oeuvre focalisée sur les âmes mais qui n'en a aucune en stock.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
Malheureusement, l'intrigue tourne vite court, alourdie par une mise en scène sans fantaisie.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Télérama
par Jacques Morice
On s'attendrait à du Woody Allen, c'est plutôt du sous-Spike Jonze. Bizarrement, la réalisatrice ne profite pas des éventuels ressorts comiques dus aux névroses du personnage (...).
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Excessif
Drôle, décalé et empreint de poésie, Cold Souls est le genre d'oeuvre intemporelle et bercée par une vision unique du cinéma.
Le Figaroscope
Un sujet original pour un premier film qui ne l'est pas moins (...).
Marianne
Ames en stock devrait être pour (...) le plus grand nombre possible d'âmes à la délicatesse d'un humour décalé, à la finesse d'une critique imaginative de nos désirs et de nos dérives.
Brazil
Il y a du Spike Jonze, du Charlie Kaufman et du Michel Gondry dans Cold Souls... mais il y a surtout du Sophie Barthes et une super idée à découvrir pour un premier long-métrage vraiment intéressant.
L'Express
voir www.lexpress.fr
La Croix
C'est une vraie bonne surprise !
Le Monde
Sophie Barthes réussit une comédie originale dans laquelle pointent sans le moindre dogmatisme une réflexion sur les tourments intérieurs des comédiens, des clins d'oeil à Jung et Gogol.
Studio Ciné Live
Voir le site Studio Ciné Live.
Critikat.com
Une idée des plus fines, qui ne se révèle que l'ombre de ses promesses ; un bon acteur correctement dirigé, mais pour ne livrer qu'une performance sans subtilité – Âmes en stock suscite beaucoup d'espoirs, pour n'en réaliser que quelques-uns. Et ceux qu'il réalise le sont si bien, que la déception n'en est que plus grande.
Filmsactu
Passée la surprise de son concept pour le moins surprenant, Ames en stock peine à pleinement transformer celui-ci et s'avère au final curieusement anecdotique en dépit d'une vraie singularité et de quelques jolis moments dans sa deuxième partie. Si le film est inabouti, il n'en révèle pas moins une cinéaste prometteuse ; ce qui n'est pas si mal.
Le Point
voir Le Point.fr
Les Inrockuptibles
Vaguement sociologique, Ames en stock vaut moins pour son point de vue sur la société (...) que pour son regard sur un acteur et sa métamorphose de comédien de théâtre en corps hospitalier où s'attardent les âmes des autres, le corps d'acteur de cinéma.
Libération
Ames en stock déploie une forme de logique de l'absurde poussée au plus loin et avec les risques que cela comporte. Car cette joyeuse confusion sur la définition de l'âme chez tout individu occidental névrosé, c'est-à-dire l'intégralité de la population, est aussi la faiblesse du film.
Ouest France
Un premier film qui ne tient pas jusqu'au bout ses réjouissantes promesses. Dommage.
Paris Match
Ce film de science-fiction existentielle à l'humour dépressif aurait pu s'appeler "Dans la tête de Paul Giamatti", comme il y eut Dans la peau de John Malkovich. Mais Sophie Barthes n'est pas Spike Jonze et, malgré le talent de Paul Giamatti et les idées qui fourmillent, ce film manque d'un supplément...d'âme.
Positif
Cette vaste entreprise d'hybridation cinématographique est cependant une curiosité qu'il conviendra de ne pas snober.
Première
Stimulant mais moins audacieux et inventif que Dans la peau de John Malkovich ou Adaptation, Ames en stock souffre d'un excès de lisibilité, et son virage vers le thriller dans la seconde partie n'est pas non plus très convaincant.
TéléCinéObs
Le pitch fait bien sûr penser à du Charlie Kaufman, le scénariste de Dans la peau de John Malkovich, dont l'influence écrase ce premier film décoratif et inoffensif, à milles lieues de la densité neurasthénique et du foisonnement surréaliste de son modèle.
Chronic'art.com
Plonger dans des abîmes existentiels et n'en remonter aucune émotion ni vertige : suprême paradoxe d'une oeuvre focalisée sur les âmes mais qui n'en a aucune en stock.
Le Journal du Dimanche
Malheureusement, l'intrigue tourne vite court, alourdie par une mise en scène sans fantaisie.
Télérama
On s'attendrait à du Woody Allen, c'est plutôt du sous-Spike Jonze. Bizarrement, la réalisatrice ne profite pas des éventuels ressorts comiques dus aux névroses du personnage (...).