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Un visiteur
2,0
Publiée le 28 janvier 2014
Ce film reflète complètement la société française actuelle fils d'immigrés, voleurs, violeurs à l'occasion, et sympathisants du fondamentalisme musulman en plus avec Flanby et la teubira ça va pas 'arranger ça va être pire la descente de la france est en marche . Adjani sacré coup de vieux , déjà qu'elle n'était pas belle là c'est le déclin
Film nul au possible ! Les jeunes acteurs ne sont pas très bons et, plus grave, Isabelle Adjani est mauvaise et surjoue, ce qui rend le tout totalement ridicule. Il est alors dur de prendre peur. S'ajoutent à cela, des dialogues qui ne volent franchement pas haut. On se retrouve avec... un ensemble totalement creux, caricatural et sans intérêt !
Un film du genre à faire rager les bobos bien-pensants qui vivent dans un quartier tranquille et qui n'ont jamais posé un orteil dans les banlieues difficiles ne peut pas être entièrement mauvais. Il nous rappelle par la même occasion dans le cas où les visions de "L'Histoire d'Adèle H." ou encore de "L’Été meurtrier" seraient trop lointaines pour s'en souvenir (ce qui n'est pas le cas pour moi personnellement, en particulier pour le premier film !!!) qu'Isabelle Adjani, un visage de mérou en plus hélas, est une sacrée put.... d'actrice formidable, capable d'insuffler une bonne dose d'intensité à elle seule. Bon dommage qu'elle ne soit pas toujours entouré d'interprètes à la hauteur (ceux qui jouent les élèves se démerdent pas mal tout de même !!!), en fait principalement ceux qui composent l'équipe d'intervention (dont Denis Podalydès qui confirme ce que je pensais déjà de lui à savoir qu'il est un acteur absolument médiocre !!!) mais l'ensemble a comme autre qualité de dire des vérités sur un sujet très d'actualité qu'on a pas envie d'entendre mais qu'on doit entendre. Donc pour la comédienne exceptionnelle qu'est Isabelle Adjani et pour ces quelques vérités, cette "Journée de la jupe" mérite qu'on l'inscrive dans son calendrier des "films à voir" si ce n'est pas fait.
Bon l’exercice souffre autant qu’il profite de son parti pris : celui de la rudesse. On ne prend pas de gant, on enjelive rien, on enfile les unes après les autres toutes les réalités de l’enseignement en zone sensible. La première impression que j’ai eu c’est que, justement, à vouloir tout caser sur une intrigue, l’effet accumulatif fait qu’on tend vers la caricature. Mais bon, au fil des minutes, le scénario abat ses cartes et sait jouer d’un effet « ah tu croyais vraiment avoir cerné ce que c’était de vivre dans ce type de milieu ? Eh bah non. » Personnellement, je n’y vois pas un chef d’œuvre, mais je n’y vois pas non plus un film barbant ou à côté de son sujet. Alors, à vous de voir…
La Journée de la Jupe marque le grand retour d’Isabelle Adjani devant la caméra! Elle aurait mieux fait de rester ou elle était. Ce (télé)film est vraiment mauvais. Le scénario est inexistant. Une prof prend sa classe en otage par accident, franchement, même dans les pires feuilletons policiers, on évite ça. Isabelle Adjani joue aussi bien que … ??? Impossible de trouver quelqu’un qui joue aussi mal qu’elle. Je préfère encore Steven Seagal. Avec lui au moins, on se marre. Vous l’aurez compris, La Journée de la Jupe est un téléfilm fort surestimé qui ne méritait pas une sortie en salles. À oublier illico!
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4,0
Publiée le 5 novembre 2009
Une agrèable surprise! Pour son retour au grand ècran après une longue absence, Isabelle Adjani, tout en nèvroses et en fragilitès, frappe fort une fois de plus! "La journèe de la jupe" brosse remarquablement le portrait d'une France en pleine emprise et d'un corps professoral dèsabusè, laissè à lui-même face à ces bouleversements! Le rèalisateur Jean-Paul Lilienfeld nous met tout de suite dans le sujet qui est grave, et il faut bien le reconnaitre, il n'y a plus de respect de la part des élèves vis à vis des professeurs! La violence, comme les èmeutes de 2005 qui ont inspirè le scènario du film à Lilienfeld, est comparable à un cri d’amour inaudible! En professeur en pleine crise de nerfs, Adjani porte à bout de bras cette oeuvre forte et rude, riche en rebondissements pyscho-dramatiques à rèpètition! Ce film est aussi un message et ne prend pas parti, il dènonce! il dènonce la violence et l'incomprèhension du terme "respect" chez l'adolescent et en fait une rèussite exemplaire...
La journée de la jupe est un film qui crie. Un film indigné, mais aussi engagé vers le progrès des mentalités qui ont tendance à sérieusement se laisser aller à régresser en ces temps de crise. Parfois (trop souvent ?) caricatural, volontairement, pour mieux nous remuer, nous gifler son message. Et voici Isabelle Adjani, en femme ordinaire, pas star pour trois sous face à une troupe de jeunes acteurs méritants qui eux aussi poussent le bouchon aussi loin que possible pour mieux nous remuer les tripes. Car oui, c'est bien de cela qu'il s'agit, d'ailleurs si je devais donner une seconde note uniquement sur ce critère, ce film atteindrais cinq sur cinq au à mon tripomètre, mesure extrêmement précise s'il en est. Pour tous ceux qui comme moi détestent les films tièdes, on aurait tort de décourager ce genre d'initiative. Et vive Isabelle Adjani, une artiste intelligente, inventive, cultivée, qui sait parler de son art comme trop peu de personnes peuvent le faire.
Un thriller au coeur des écoles francaises. Voila un film francais des plus audacieux, qui n'a pas peur du politiquement incorrect mais qui embrasse un sujet d'actualité, que ca plaise ou non. Le film ne pretend pas donner une image fidèle de ce qui se produit dans les écoles mais pousse à son paroxysme, sous la forme d'un huis-clos, des comportements violents et machos hélas déja apercus. Le film tient en haleine, souffle le chaud et le froid, ne juge pas ses personnage, dénonce les dérives et les mécanismes de la violence. La jupe y est présentée comme le symbole et le porte-drapeau de la sensibilité féministe. Adjani est vraiment surprenante. Un sujet fort pour un film fort.
Allons y franco, cette journée de la jupe n'est rien d'autre qu'un ramassis de clichés puants de xénophobie! Cristallisant le pire du fait divers à sensation version Sarkoland sur TF1 (celui qui fait trembler dans les chaumières en période pré électorale), le film de JP Lilienfeld s'imagine être le relai coup de poing d'une réalité vécu par les profs en banlieue (façon Thierry Jonquet) ne s'embarrassant ni de demi mesure ni d'analyse socio économique de bon aloi. Car qu'on se le dise, le mal qui ronge notre bonne vieille éducation nationale (voir notre bonne vieille France tout court!) et ses profs, tous parés des meilleurs intentions laïques et éducatives, c'est l'arabo bougnoule musulman (ET antisémite cela va sans dire) qui, école obligatoire jusqu'à 16 ans oblige, est bien obligé de sortir de sa cave à tournante (qui communique avec la mosquée c'est bien connu) pour aller terroriser la veuve et l'orphelin, tant sa nature barbare et archaïque le lui incombe! Manichéen au possible, La journée de la jupe n'en demeure pas moins le reflet de son temps, celui OU l'autre est systématiquement désigné comme l'ennemi, sur fond de paternalisme post colonial gerbos (vous devez réussir pour honorer le sacrifice de vos parents venu balayer nos rues sans ouvrir leurs gueules!!) et asséné avec force par la gentille beurette de service (j'suis pas raciste mon chien est noir!) intégrée au possible avec sa gueule déformée au Botox! Personnages caricaturés jusqu'au paroxysme (être noir, musulman et violeur en même temps c'est vraiment pas de bol!) tout concours ici à distiller une rhétorique raciste aux strictes impératifs de son idéologie malsaine. Hélas, paradoxe oblige, comment susciter l'engouement et l'adhésion quand en guise de modèle social NF, on propose cette bande de charlots institutionnels tous plus lâches et hypocrites les uns que les autres, à croire que le mal est toujours pire chez l'autre qu'en soit même. C'est dire si l'heure républicaine est grave...
Un film intéressant, bien qu'il peut paraître caricatural, il arrive je pense à peindre un collège difficile ou les élèves sont méchants, agressifs pour certains, alors que d'autres demandent juste la place pour exister et vivre sans les caïds.
Un téléfilm doté de tellement bonnes intentions qu'il transpire de clichés en tous genres. Tout d'abord, l'édifice scénaristique est bancal, puisque de cette prise d'otage tout le monde peut en échapper sans aucun problème, d'ailleurs les élèves retournent plusieurs fois la situation à leur avantage. Sans compter que notre professeur rebelle ne révèle la cause de sa prise d'otage qu'au bout d'une heure. A cette ineptie s'ajoute une succession de situations ridicules, où madame la professeur Adjani revendique une étrange féminité, tourne en dérision la prétention des garçons et se fait inspectrice de police en mettant à jour une sombre histoire de viol. Le quotidien des professeurs féminins méritent sans doute un autre sort.
Jupe alors ! je soulevais ce long-métrage avec une grande appréhension en sachant que je redoutais définitivement le pire. Il se passa pas un seul moment sans que j'entende parler de cette journée de la jupe. Après dix minutes de visionnage, retournement de penser. Nous sommes face à un drame social bien interprété par une actrice pas du tout méconnu, j'ai nommé Isabelle Adjani. Elle joue une prof et va vivre une journée de trop auprès de ses élèves. L'éducation, le racisme, le respect, tout ceci, elle le traitera comme une leçon de passage pour les élèves. La Journée de la jupe est comme une craie qui grince dans nos oreilles, tension et bouleversant.
Un téléfilm sans intérêt. Esthétiquement : laid. Techniquement : baclé. Le scénario enfile des clichés comme on enfile des perles. Le comportement des personnages est peu crédible, sans nuances... Les acteurs essayent de se débrouiller dans cet épisode de série B écrit sur un coin de table à 3 heures du matin mais n'arrivent pas à faire des étincelles. Que le sujet plaisent à beaucoup de monde (dénigrement de l'école, qui ne remplirait plus son office, des profs, démissionnaires, des jeunes des quartiers défavorisés, dépeints comme des sauvages), admettons... Mais dans ce cas, cela ressemble plus à une opinion politique à propos d'un film de propagande qu'à une critique de cinéma!