Pas le meilleur film de Gérard Oury. Cependant il est très sympathique et plutôt bien fait. Il prête à sourire en même temps qu'il nous émeut. Les effets spéciaux sont plutôt bien fait (dans un film français c'est rare !) et les images de synthèse vraiment bien réalisées (Comparé à Gamer et Samourail sorti quelques années plus tard). Bref, un film qui fait passé un bon moment avec le tandem Jugnot-Noiret (R.I.P) qui fonctionne très bien.
L'histoire est intéressante mais le gros problème est le jeu de certains seconds rôles, ils ne sont pas mauvais, ils sont nuls. Un autre problème, certains dialogues tombent dans le ridicule. Ce petit film se laisse regardé facilement un jour de grande fatigue, si vous avez les sens trop aiguisés vous risquez de ne pas supporter certaines scènes vraiment mal jouées, ne citons pas les mauvais acteurs par charité.
Il ne faut pas avoir le regret de voir un duo comme Noiret et Jugnot, ils sont si sympathique. Le malheur dans tout ça est que les fantômes sont le réalisateur Gérard Oury ainsi que le scénario de Francis Veber. Deux hommes qui nous avaient offert pas mal d'excellentes comédies, et ici l'alchimie est dérisoire. Sans le thème de la romance, Fantôme avec chauffeur veut être tout de même un Ghost à la française qui charmera peu. Finita la comedia !
Fantôme avec chauffeur avait un bon scénario et de bons acteurs, mais l'histoire est plate, le jeux des acteurs fade, le rythme assez lent, à la limite du nanard. Néanmoins le duo Noiret-Jugnot est sympa, voilà le mot, sympa ... sans plus
Gerard Oury continu son parcours sans inspiration il a beau faire écrire son scénario par Francis Veber rien ni fait. Il signe une comédie plus que mollassonne que le duo Noiret, Jugnot n'arrive pas à sauver du gouffre dans lequel Oury l'a mit.
Le pire dans cette comédie, c’est que ce n’est même pas drôle. Jusqu'à la fin les deux pauvres fantômes ne font que subir les évènements et se disputer. Jugnot n’est pas convaincant dans son rôle de chauffeur magouilleur et les effets spéciaux devaient déjà être dépassés à la sortie du film en 96. Seul Noiret arrive à surnager dans cette daube franchouillarde que l’on n’est vraiment pas obligé de s’infliger. Circulez, il n’y a rien à voir !