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    Leaving Las Vegas
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    3,8
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    218 critiques spectateurs

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    Sudhir
    Sudhir

    20 abonnés 480 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 27 novembre 2017
    Le plus beaux film sur les dépendances... Oscar (unique) largement mérité pour N Cage et que dire de Shue loin, très loin, de ses prestations postérieurs... BO
    Acidus
    Acidus

    736 abonnés 3 720 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 11 septembre 2017
    Fut une époque où Nicolas Cage était considéré comme un bon acteur. Il remporta d'ailleurs pour ce "Leaving Las Vegas" un oscar du meilleur acteur. Il est vrai qu'il joue un rôle inhabituel pour lui, celui d'un alcoolique laissant de côté toute sa vie pour finir ses jours à Las Vegas. Pourtant, contrairement à l'avis majoritaire, je ne le trouve pas toujours convaincant dans la peau de ce personnage torturé. Je retiendrai surtout la performance de Elisabeth Shue qui n'a pas été récompensé. Ce drame romantique, version moins glamour d'un "Pretty Woman", ne m'a pas plus emballé que cela. La faute à une histoire pas toujours intéressante malgré les quelques soubresauts l'agitant de temps à autre. L'intrigue manque de mordant, parfois de rythme mais particulièrement d'intensité émotionnelle. S'il reste sympathique, le cinéaste est passé à côté de son sujet et n'en retire pas la substance nécessaire pour faire vibrer le spectateur.
    Philcroc
    Philcroc

    58 abonnés 120 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 2 juin 2015
    Un très bon film avec un grand Nicolas Cage plus que crédible en alcoolique suicidaire. J'ai découvert Elisabeth Shue dans ce rôle de prostituée où elle est au niveau de son partenaire dans cette histoire d'amour. La bande son est aussi à la hauteur. A voir. 4/5.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 12 mai 2015
    C'est quand même un cas, Nicolas Cage. Le neveu de Coppola aligne une sacrée carrière de schizo. Vous voyez quand Jean-Claude Vandamme fait fièrement le grand écart facial entre deux chaises? Bon il a clairement l'air un peu con mais là n'est pas la question. Le rapport c'est que le Mister Cage, il fait la même chose. Mais avec sa filmographie. Oui, c'est ça: le grand écart cinématographique. Ce type se fout comme de son premier complément capillaire de passer d'un extrême à l'autre en terme de qualité. Non mais visez un peu: ce gars a joué les premiers rôles dans Birdy ET Next. Sailor et Lula ET Ghostrider. Snake eyes ET Bangkok dangerous. Lord of war ET The wicker man. A tombeau ouvert ET… bon ok, ça devient quelque peu pontifiant, tout ça. Saoûlant, même. Tiens justement, à propos de se saoûler : Leaving Las Vegas, petit film fauché sorti en 1995 pour lequel il remporta le seul Oscar de cette carrière… éclectique, fait évidemment partie de la catégorie de ses long-métrages qui méritent le coup d'oeil, et pas que pour Elisabeth Shue. Cage y joue Ben, scénariste alcoolique ayant perdu sa famille, son job et sa dignité, vidant son compte en banque pour emménager dans un motel miteux à Las Vegas avec la macabre intention de littéralement se bourrer à mort, estimant préférable d'arrêter de respirer plutôt que d'arrêter de boire. Pendant ce suicide éthylique à petit feux, il rencontre un soir Sera (Elisabeth Shue, donc, belle à croquer), une prostituée aussi paumée que lui avec qui il veut simplement parler, et qui va sérieusement s'attacher au bonhomme.

    S'attacher au point de nous offrir une histoire d'amour magnifique et désenchantée entre deux abîmés de la vie. Deux âmes à la dérive qui se rejoignent sous les néons d'une ville artificielle, capitale de l'illusion. Et de la désillusion. Illusion d'espoir dans le coeur d'une femme que la solitude a ravagée face à la désillusion d'un homme que le bonheur a également laissé sur le bas-côté, ayant l'ivresse comme dernière compagnie. Leaving Las Vegas s'inscrit dans la tradition d'un cinéma qui repose en grande partie sur l'interprétation. Et ça tombe bien car elle est magistrale. Le regard d'Elisabeth Shue est bouleversant, renversant, à vous plaquer sur le bitume des trottoirs cramés par le soleil du désert du Nevada. Il transmet avec une intensité inouïe la souffrance qu'éprouve Sera de vouloir être la bouée de sauvetage d'un homme qui a déjà plongé dans l'abîme. Car elle ne joue pas un rôle quand elle est avec lui. Cette femme qui vend son corps lui offre sur un plateau un amour réel. Fulgurant. Jaillissant de ses entrailles comme un geyser de pureté dans un océan d'artifices. D'autant plus que le temps leur est compté et qu'ils le savent. Dans la peau imbibée de Ben, grande carcasse fragile et faciès jaunâtre fendu d'une ironie désespérée, Cage nous serre les tripes et nous donne la sensation de ressentir physiquement l'addiction terrible de ce personnage qui balance avec panache un ultime bras d'honneur à la vie. Son élégance déglinguée évoque un James Stewart barré dans un trip bukowskien. Cet acteur est de la classe des très grands.

    C'est à Mike Figgis que revient le privilège d'adapter le roman autobiographique de John O'Brien, qui se suicidera deux semaines après avoir vendu ses droits. Le réalisateur, au son d'une musique jazz atmosphérique qu'il a lui-même composée et de la voix de Sting qui se pose sur quelques titres, capte "sobrement" l'alchimie parfaite entre les deux interprètes. Il immortalise en longue focale l'image de ce couple superbe marchant dans la nuit et se détachant sur les éclairages flous d'une ville qui ne dort jamais, tel un instantané mythologique d'un certain cinéma indé US qu'on aime.
    Et puis il y a cette scène au bord de la piscine du motel, d'un érotisme dingue, un pur instant de grâce nimbée d'accords bluesy où la lumière apparaît entre deux existences sombres. Les rayons du soleil déclinant traversent la bouteille de whisky que Sera verse suavement dans sa bouche et sur son buste puis viennent baigner d'un halo d'espoir leurs baisers passionnés aux accents de malt, magnifiés par un cadrage en contre-plongée. Jusqu'à ce que la cruelle réalité resurgisse, pathétique chute dans un fracas de verre.

    Dommage que le transfert HD soit déplorable, la définition de l'image ressemblant davantage à un DVD qu'à un blu-ray. Une vraie remasterisation serait plus que souhaitable pour ce petit bijou de romantisme noir. Récit âpre d'une relation crépusculaire entre deux êtres qui s'engagent dans une voie sans issue. Mais au fond peu importe. Seul compte ce tout petit bout de chemin parcouru à deux et parsemé de quelques instants de bonheur. Un tout petit bout de chemin dans un immense désert.
    Max Rss
    Max Rss

    203 abonnés 1 818 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 6 avril 2015
    Un scénariste, fraîchement mis à la porte décide de partir à Las Vegas pour faire ce qu'il appelle lui-même un suicide à l'alcool. Avec « Leaving Las Vegas » qu'il réalise en 1995, Mike Higgis nous propose donc un film pour le moins tape à l'oeil et qui très sérieusement office de provocation. En temps normal, ce genre de film n'est pas pour me déplaire, faut-il encore qu'il y ait un peu de matière que ça. Car ici, soyons honnêtes, nous n'avons pas grand chose. Hormis les trente premières minutes, le reste fait quand même pas mal de surplace. A partir du moment où le personnage joué par Nicolas Cage met les pieds dans la ville du jeu, l'intérêt s'étiole progressivement. Et progressivement aussi, le spectateur se désintéresse du film. Et puis il y a un piège dans lequel est tombé Higgis: basculer dans la caricature. C'est un piège redoutable qui n'est pas sans conséquences lorsque l'on tombe dedans à pieds joints. Et le duo formé par Nicolas Cage et Elizabeth Shue n'est pas des plus emballants. Le personnage de chacun n'étant écrit que de manière superficielle. A ne voir qu'une fois, et encore, ça n'est pas indispensable.
    bruno E.
    bruno E.

    18 abonnés 645 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 13 mars 2015
    la rencontre de 2 personnes que la société repousse. ils s'acceptent tels qu'ils sont, se respectent et s'aiment. un duo d'acteur exceptionnel pour une histoire simple, mais profonde. grâce à la BO le film devient sensationnel.
    Malevolent Reviews
    Malevolent Reviews

    999 abonnés 3 207 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 2 mai 2014
    Le début des années 90 furent synonymes de légèreté pour Nicolas Cage, l'acteur américain enchaînant les petits films oubliables allant de la comédie sans panache au film noir quasi-télévisuel (tout le monde a oublié Deadfall et c'est tant mieux). Il faudra attendre 1995 et la sortie de Leaving Las Vegas pour assister non seulement à une véritable renaissance de l'acteur mais également à une tournure professionnelle épatante, l'ex-Sailor Ripley devenant par la suite une star du film d'action hollywoodien. En ce qui concerne Leaving Las Vegas, c'est la consécration : une critique encensante unanime, des nominations de partout et surtout un Oscar décerné par Jessica Lange... Et pour cause : la prestation de Cage est bluffante, au même titre que celle de sa partenaire Elisabeth Shue. Il incarne Ben Sanderson, un scénariste alcoolique qui, après s'être fait virer, décide de se suicider à l'alcool sous les lumières de Las Vegas. Là, il y rencontre Sera, une pute paumée qui va se prendre d'affection pour lui. C'est le début d'une incroyable histoire d'amour entre deux êtres déchus sombrant dans l'enfer le plus lumineux de la Terre. Mike Figgis (Mr. Jones, Les Leçons de la vie...) filme une relation sincère, touchante, quasi-documentaire par moments, délaissant les caméras habituelles pour une super 16mm granuleuse afin de nous plonger au cœur-même de l'aventure. Déstabilisant, parfois violent mais aussi émouvant et même drôle, le long-métrage s'avère incroyablement poignant, le réalisme dans lequel il baigne nous déchirant autant que les protagonistes. Nicolas Cage est renversant dans la peau de cet être auto-destructeur constamment soul, charmeur à deux balles aux proses à la fois vulgaire et poétiques mais nanti d'un bon fond indélébile, tandis qu'Elisabeth Shue, filmée tel un ange salvateur prête à tout abandonner pour sauver comme elle peut cet homme aussi perdu qu'elle, nous fait rapidement oublier ses précédentes prestations comiques. Ainsi, film fauché empreint d'une atmosphère sombre et pesante d'un hypnotisme rare, Leaving Las Vegas fait partie de ces histoires d'amour uniques, intemporelles et hors du commun, des histoires d'amour noyées dans l'alcool, le fric et la déchéance d'où émergent à quelques recoins une grâce innommable. Un film dans tous les cas marquant, presque un chef-d'œuvre.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 28 janvier 2014
    j'étais sorti bien troublé la première fois que j'ai vu ce film au cinoche les deux vices qui se rencontrent la pute et l'alcoolo deux vices pour en faire une histoire d'amour ben j'ai été me bourrer la gueule aprés ça pour comprendre le mécanisme de ce phénomene
    l'acting est bien huilé de la haute voltige piur cage et shue surtout que shue est un petit canon dans ce film , la BO est superbe
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 28 janvier 2014
    j'étais sorti bien troublé la première fois que j'ai vu ce film au cinoche les deux vices qui se rencontrent la pute et l'alcoolo deux vices pour en faire une histoire d'amour ben j'ai été me bourrer la gueule aprés ça pour comprendre le mécanisme de ce phénomene
    l'acting est bien huilé de la haute voltige piur cage et shue surtout que shue est un petit canon dans ce film , la BO est superbe
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 28 janvier 2014
    j'étais sorti bien troublé la première fois que j'ai vu ce film au cinoche les deux vices qui se rencontrent la pute et l'alcoolo deux vices pour en faire une histoire d'amour ben j'ai été me bourrer la gueule aprés ça pour comprendre le mécanisme de ce phénomene
    l'acting est bien huilé de la haute voltige piur cage et shue surtout que shue est un petit canon dans ce film , la BO est superbe
    Mathieu Dumont-Roty
    Mathieu Dumont-Roty

    41 abonnés 988 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 15 janvier 2014
    Un drame poignant interprété impeccablement (mention spéciale à Elisabeth Shue), un véritable coup de poing émotionnel et tragique. 15/20
    Cine vu
    Cine vu

    145 abonnés 580 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 14 janvier 2014
    L'un des plus grand rôle de Nicolas Cage, il est superbe de déchéance, il tutoie les anges avec élégance et il garde le cap du suicide jusqu'au bout. Elisabeth Shue dégringole avec lui par amour, c'est l'évidence. Elle accepte, sans contrepartie, le choix de Ben. C'est de l'amour brut et sans fioriture.
    Malgré les années et même si Las Vegas semble ringard aujourd'hui, c'est un beau film sur une fin de vie programmée. Les deux acteurs sont sublimes et nous submergent d'émotions. Bref à voir ou à boire sans modération.
    temtem75
    temtem75

    1 abonné 39 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 29 octobre 2013
    il s agit du film le plus ennuyant que j ai jamais vu. 100% scenarii deja vu, 100% du film est occupé par la musique (très bon son), 20% de dialogues (insipides et vulgaires) ... et j ai dormi 1heure après le début. Excellent somnifère.
    Nico591
    Nico591

    47 abonnés 800 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 19 octobre 2013
    Grosse performance de Nicolas Cage dans ce film où il interprète un alcoolique chronique en pleine phase d'auto destruction.
    Il forme avec Elisabeth Shue un très beau couple de laisser pour compte, leur relation devient passionnante jusqu'au final très touchant.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 2 septembre 2013
    "Je ne me souviens plus si c'est ma femme qui m'as quitter parce que j'ai décidé de boire ou si j'ai décidé de boire parce que ma femme m'as quitté", "J'ai le projet de me suicider à l'alcool" c'est deux phrases résume parfaitement l'idée de ce film. Quand deux êtres perdus se rencontrent cela nous donne une descente aux enfers vertigineuse magnifié par la prestation de Nicolas Cage et Elisabeth Shue. Ajouté à cela des plans magnifique de Las Vegas, et une B.O absolument génial.
    Sublime rien à redire.
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