Les plus utilesLes plus récentesMembres avec le plus de critiquesMembres avec le plus d'abonnés
Filtrer par :
Toutes les notes
Un visiteur
2,5
Publiée le 20 octobre 2008
Une ex-grosse pointure d'Hollywood décide de claquer tout ce qu'il lui reste dans l'alcool, avec pour but ultime de se suicider. C'est sur ce scénario pour le moins original qu'est basé Leaving Las Vegas. On se remettra vite de sa surprise car le script, sans être mauvais, déçoit un peu. Ce n'est par contre pas du tout le cas de Cage et Shue. Dans des rôles très difficiles, ils sont tous les deux parfaits et jonglent avec les sentiments opposés de leurs personnage sans aucun accroc. Très impressionnant. La bande originale, de son côté, comble le vide relatif laissé par le scénario. Dans une dominante bluesy collant parfaitement à la dynamique du film, elle est un véritable régal et deux morceaux plus cheap ne gâchent en rien le plaisir qu'on éprouve à l'écouter. En définitive un bon moment, on regrette quand même le scénario dont on attendait plus.
Univers sombre, noir et malsain, nous tombons peu à peu dans les travers d'un Homme qui a perdu l'essentiel, vouloir vivre. Sa déchéance est inévitable, malgré notre utopique volonté d'un "Happy End" incertain. Et quand en plus, il se prend d'amour avec une femme dont personne ne veut, s'en crée une romance pathétique et bouleversante. Édifiant, tout simplement.
Un bon film mais en 1h45 il ne se passe pas grand chose non plus. Une belle histoire d'amour entre un alcoolique et une prostituée. Le grand plus de ce film est l'interprétation de Nicolas Cage et Elisabeth Shue qui forment un duo remarquable..
Ce film est un chef d'oeuvre! On connaissait Requiem for a dream en ce qui concerne la drogue, et on pourrait très bien trouver en Leaving Las Vegas son corollaire pour l'alcool. Car il s'agit bien là d'une descente aux Enfers, plus poignante encore parce qu'elle est solitaire et surtout voulue. L'histoire de Ben, ce scénariste mis à la porte après de nombreux problèmes de boisson dus au départ de son ex-femme, qui s'exile à Las Vegas pour mettre fin à ses jours noyé dans des litres d'alcool, a cela de touchant qu'elle révèle des failles immenses de l'âme humaine, de celles qui font les coeurs désespérés, enclins à se foutre en l'air quand la goutte d'eau fait déborder le vase. Il y rencontre alors Sera, une prostituée paumée aux mains d'un proxénète russe aux intentions plus qu'ambigües. Ensemble ils vont se découvrir et ensemble ils vont entamer le chemin sans issue autre que la mort, inéluctable, de Ben. L'histoire dans ce film importe moins que le traitement des personnages, glorieux dans leur misère et leur décadence, au travers d'instantanés de la vie courante. En rendant leur vie plus insouciante, en essayant de se libérer des contraintes d'un monde qui leur tombe dessus, ils ne font qu'être attirés irrémédiablement vers lui de nouveau. Et à cela Ben ne s'y était pas attendu. Leaving Las Vegas est un film fantastique, poignant, douloureux et intimiste, les meilleurs rôles d'Elisabeth Shue et surtout de Nicolas Cage, qui se transcende pour livrer là sa plus belle prestation (qui lui valut un Oscar largement mérité). Bien que le traitement formel de Figgis ne sorte pas des sentiers battus et ne fasse preuve de guère d'imagination, le film n'en perd pas sa force, son souffle et sa verve et se révèle, au delà d'une belle histoire d'amour passionnel, une formidable leçon de vie et l'assurance d'un film poignant et majestueux. A ne pas manquer.
Leaving Las Vegas aborde un thème intéressant, celui de l'alcoolisme lié à la désilusion. Cage est parfait dans ce rôle. Ce film est à l'alcool ce que La grande bouffe était à la nourriture ( même si Leaving Las Vegas ne critique pas la société de consommation ). Cependant la réalisation de Figgis est un peu monotone et plate. Bon film donc mais légèrement décevant d'un point de vue visuel.
Un film surprenant et bouleversant ! Nicolas Cage et Elisabeth Shue jouent à merveille ! Des scènes fortes et parfois choquantes, mais tellement vraies. L'alcoolisme et la prostitution y sont décrits sans complexes. Bref, un film qui arrive à nous remettre en questions, et ça c'est rare !
Malgré la prestation convaincante des acteurs et l'intérêt des thèmes abordés - la prostitution et l'alcoolisme- ce film ne tient pas toutes ses promesses. "Leaving Las Vegas" est trop lent à mes yeux, et l'ensemble manque cruellement de souffle. On tourne en rond pendant près de 2 heures, et la fin, bien que tragique, est assez prévisible. Et en ce qui concerne la musique du film, Figgis aurait mieux fait de s'abstenir... Mais je ne vais pas massacrer ce film: Cage et Sue sont ici géniaux et terriblement réalistes. La mise en scène est réussie, et l'histoire -touchante- reste des plus intéressantes. A voir à la rigueur, au moins pour admirer la performance des 2 acteurs principaux.
J avoue etre malheureusement un peu décu après l excellent "pour une nuit" de mike figgis. Certes l interprétation des acteurs est excellente, quoi que j aurais donné l oscar à elisabeth shue plutot qu à nicolas cage dont les facéties sont toujours les maintenant. Le scénarion est vraiment brouillon, on peut faire le rapprochement avec la vie des perso qu il l ait aussi mais c est un peu facile et surtout on finit par s ennuyer !! La musique de figgis a finit par me donner mal à la tete et souffre d une auto suffisance (écoutez comme je joue bien du jazz) Bref une déception, le top de Figgis pour moi (réalisation, musique, acteur...) reste "Pour une nuit"
La chute en enfer d'un couple que tout oppose mais qui seront réunit pour la pire des tragédie. Le duo d'acteur est tout simplement exceptionnel et les émotions vous submergent jusqu'au final qui ne laissera personne insensible.
Une trés belle mais aussi une tragique histoire d'amour!!! L'Oscar du meilleur acteur qui a était décerné à Nicolas Cage est amplement mérité. J'en aurais aussi mis un pour Elizabeth Shue personnellement. Nicolas Cage joue un alcoolique qui, aprés son divorce et son licenciement, décide de faire un voyage sous l'alcool dans le coin de reve pour les futurs riches et milliardaires, Las Vegas. Accumulant les bars, la consommation d'Alcool à une vitesse affolante, Cage rencontre sur son chemin une prostituée et va lier avec elle un passion amoureuse que l'on peut qualifier de déchirante car lui consomme avec obsession de l'Alcool jusqu'au point de mourrir et elle continue son métier sur le compte d'un mafioso Russe. Un film touchant, émouvant, pleines d'humanités sur deux personnes perdues dans ce monde sans pitié par leurs chagrins et leurs situations. Le film doit sa réussite aussi grace à la musique mélangeant le piano-bar et le Blues composé par le réalisateur Mike Figgis et interprété pour certaines par le chanteur Sting. Nicolas Cage livre avec ce film l'une des meilleurs interprétations de sa carrière avec un role trés noir et émouvant et Elizabeth Shue brille à ces cotés par sa beautée et sa présence dramatique. Avec "Leaving Las Vegas", Mike Figgis signe l'un de ses meilleurs films que je conseilles de voir.
Un beau tableau des failles de nos vies... auxquelles il semble impossible d'y remédier. Une prestation de qualité du duo d'acteur N.Cage et E.Shue. L'ambiance peut sembler parfois glauque mais il y a toujours en fond une impression de sensibilité qui crée une atmosphère où nous nous sentons impuissants. Un film qui dit que nous ne pouvons pas aller contre les choses de la vie, et de ce fait, que nous devons accepter les autres tels qu'ils sont : un beau message de tolérance et surtout de solidarité...
Trame qui tourne en rond, musique insupportable, sentimentalisme vaguement artificiel, dialogues plutôt creux etc., ce drame médiocre n'est sauvé du marasme ambiant que par l'exceptionnelle prestation de Nicholas Cage en alcoolique sinistré.
Le prototype du très mauvais film : interprétation fantaisiste (Nicholas Cage en roue libre, Elisabeth Shue à la peine), personnages non-crédibles, scénario qui tourne en rond, images dignes des plus mauvais clips des années 80, musique kitchissime de Mike Figgis en personne. Le film raté de bout en bout mérite l'oubli.