Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
12 critiques presse
Le Figaroscope
par Marie-noëlle Tranchant
La crise d'un couple analysée avec une patte bergmanienne (...) Assez étouffant, mais bien interprété.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Le Monde
par Isabelle Regnier
Un film qui commence par un avortement, ce n'est pas banal. Un avortement qui mène à un mariage, ça l'est encore moins. C'est ainsi que démarre, pourtant, le deuxième long-métrage du réalisateur palestinien.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Paris Match
par Alain Spira
Conforme au cahier des charges d'un certain cinéma européen, ce film lent et langoureux (...) distille un charme discret dû à ses deux acteurs principaux.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Cahiers du Cinéma
par Ariel Schweitzer
Malheureusement, une fois le cadre du récit installé, le film ne tient pas ses promesses. La faute à un scénario pas suffisamment développé, des protagonistes parfois artificiellement dessinés et des personnages secondaires très peu convaincants.
L'Express
par Julien Welter
Ça bavarde, ça se regarde dans le blanc des yeux et ça pense beaucoup, comme si ce jeune cinéaste avait mal digéré l'intégrale d'Arnaud Desplechin. Malgré quelques belles scènes, "Derniers Jours à Jérusalem" est largement dispensable.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Positif
par Jean-Dominique Nuttens
Le problème est que le réalisateur, soucieux d'éviter tout didactisme, ne nous laisse pas comprendre ses personnages, dont les hésitations, les souffrances, les motivations nous échappent et finissent par nous lasser.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Première
par Christophe Narbonne
Le troisième long métrage de Taxfik Abu Wael évoque "La Nuit" d'Antonioni : même éloge de la fuite, mêmes rencontres déterminantes, même élégance formelle. Mais le côté artificiel de cette proposition de cinéma, son maniérisme l'emportent sur la profondeur du propos.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Ciné Live
par Clément Sautet
Voir sur le site Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Critikat.com
par Julien Marsa
Entre ellipses censées jouer la fonction de catalyseur des troubles, musique sur-signifiante et symboles appuyés à la dualité du couple, ce récit de l'implosion ordinaire d'un ménage fait du non-dit un académisme barbant.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Les Fiches du Cinéma
par Nathalie Zimra
En panne d'épaisseur et porté par la seule hystérie de son personnage féminin, l'ensemble brille surtout par son manque d'ambition narrative.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
TéléCinéObs
par Florence Raillard
Le parcours chaotique de ce couple à Jérusalem-Est, ville elle aussi partagée, laisse de marbre. A force de vouloir bannir toute émotion, le réalisateur réussit à nous faire prendre nos distances.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Télérama
par Frédéric Strauss
[Les] bonnes intentions s'effondrent devant l'enfer du ballet des époux désaccordés : mené d'une manière trop superficielle, il ne fait que rendre ces personnages insupportables. On devrait être dans la souffrance, on sombre dans le drame bourgeois confortablement hystérique, et le discours amoureux se transforme en cliché. Rien à sauver.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Figaroscope
La crise d'un couple analysée avec une patte bergmanienne (...) Assez étouffant, mais bien interprété.
Le Monde
Un film qui commence par un avortement, ce n'est pas banal. Un avortement qui mène à un mariage, ça l'est encore moins. C'est ainsi que démarre, pourtant, le deuxième long-métrage du réalisateur palestinien.
Paris Match
Conforme au cahier des charges d'un certain cinéma européen, ce film lent et langoureux (...) distille un charme discret dû à ses deux acteurs principaux.
Cahiers du Cinéma
Malheureusement, une fois le cadre du récit installé, le film ne tient pas ses promesses. La faute à un scénario pas suffisamment développé, des protagonistes parfois artificiellement dessinés et des personnages secondaires très peu convaincants.
L'Express
Ça bavarde, ça se regarde dans le blanc des yeux et ça pense beaucoup, comme si ce jeune cinéaste avait mal digéré l'intégrale d'Arnaud Desplechin. Malgré quelques belles scènes, "Derniers Jours à Jérusalem" est largement dispensable.
Positif
Le problème est que le réalisateur, soucieux d'éviter tout didactisme, ne nous laisse pas comprendre ses personnages, dont les hésitations, les souffrances, les motivations nous échappent et finissent par nous lasser.
Première
Le troisième long métrage de Taxfik Abu Wael évoque "La Nuit" d'Antonioni : même éloge de la fuite, mêmes rencontres déterminantes, même élégance formelle. Mais le côté artificiel de cette proposition de cinéma, son maniérisme l'emportent sur la profondeur du propos.
Studio Ciné Live
Voir sur le site Studio Ciné Live.
Critikat.com
Entre ellipses censées jouer la fonction de catalyseur des troubles, musique sur-signifiante et symboles appuyés à la dualité du couple, ce récit de l'implosion ordinaire d'un ménage fait du non-dit un académisme barbant.
Les Fiches du Cinéma
En panne d'épaisseur et porté par la seule hystérie de son personnage féminin, l'ensemble brille surtout par son manque d'ambition narrative.
TéléCinéObs
Le parcours chaotique de ce couple à Jérusalem-Est, ville elle aussi partagée, laisse de marbre. A force de vouloir bannir toute émotion, le réalisateur réussit à nous faire prendre nos distances.
Télérama
[Les] bonnes intentions s'effondrent devant l'enfer du ballet des époux désaccordés : mené d'une manière trop superficielle, il ne fait que rendre ces personnages insupportables. On devrait être dans la souffrance, on sombre dans le drame bourgeois confortablement hystérique, et le discours amoureux se transforme en cliché. Rien à sauver.