Qu'un seul tienne et les autres suivront : Critique presse
Qu'un seul tienne et les autres suivront
Note moyenne
3,9
24 titres de presse
Brazil
Charlie Hebdo
La Croix
Le Figaroscope
Marianne
20 Minutes
L'Express
L'Humanité
L'Obs
Le Figaroscope
Libération
Metro
Paris Match
Positif
Première
TéléCinéObs
Elle
Excessif
Le Journal du Dimanche
Le Monde
Le Parisien
Les Inrockuptibles
Studio Ciné Live
Télérama
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
24 critiques presse
Brazil
par Franck Unimon
Dans ce premier long-métrage, Léa Fehner a déjà la maîtrise de la juste distance (...) un film très ambitieux.
La critique complète est disponible sur le site Brazil
Charlie Hebdo
par Jean-Baptiste Thoret
Léa Fehner ne cède pas (ou si peu) au romantisme des trajectoires humaines qui s'entrecroisent, ni au mysticisme un peu cheap des coïncidences de la vie.
La critique complète est disponible sur le site Charlie Hebdo
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Un premier film magistral (...) Une intensité dramatique exceptionnelle.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Figaroscope
par Emmanuèle Frois
On est soufflé par la puissance dramatique, la force des plans, la maîtrise de la narration (...) Un véritable kidnapping émotionnel.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Marianne
par Danièle Heymann
Avec une maîtrise étonnante, une fluidité abrupte, Léa Fehner passe d'une histoire à l'autre, pas de transitions, de chevilles artificielles et inutiles.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
20 Minutes
par Caroline Vié
(...) un film sincère, qui laisse augurer le meilleur pour la carrière de la jeune cinéaste [Léa Fehner].
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
L'Express
par Christophe Carrière
www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
L'Humanité
par Jean Roy
Un film hors du commun qui conjugue avec brio construction stylistique recherchée et réalisme de la narration dans la représentation du mal-être.
L'Obs
par Pascal Mérigeau
Un premier film choc.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaroscope
par La rédaction
Léa Fehner et ses interprètes, un générique aussi performant que peu clinquant, gardent en tout moment le contrôle de ce périple agité. (...) Costaud, le premier film.
Libération
par Didier Péron
Pour son premier long métrage, Léa Fehner signe un récit tout en fureur.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Metro
par Talia Soghomonian
Un premier film émouvant.
La critique complète est disponible sur le site Metro
Paris Match
par Christine Haas
Ce beau portrait d'une humanité blessée est celui de la dignité retrouvée.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Positif
par Nicolas Bauche
Le film inverse l'espace carcéral pour faire du monde extérieur une sorte de "no man's land" de la douleur.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Première
par Alex Masson
Ces histoires simples de gens poussés au bord du gouffre par une imitoyable réalité économique ou sociale auraient pu être banales si Fehner ne les avait transformées en véritables actes de résistance (...).
La critique complète est disponible sur le site Première
TéléCinéObs
par Lucie Calet
Une cinéaste à suivre ? Sans aucun doute. (...) Qu'elle filme des éclats de voix ou la toilette silencieuse d'un mort, à l'épaule ou en plans larges, Léa Fehner chope des moments inouïs de vérité.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Elle
par Françoise Delbecq
Le casting est impeccable mais on n'adhère pas au scénario maladroit.
La critique complète est disponible sur le site Elle
Excessif
par La rédaction
Qu'un seul tienne et les autres suivront est un premier film encourageant.
La critique complète est disponible sur le site Excessif
Le Journal du Dimanche
par Carlos Gomez
Elle [Léa Fehner] part du réel (les bas quartiers, la douleur d'une mère, la prison) mais le transcende pour signer une oeuvre romanesque d'une grande élégance, pénalisée tout au plus par quelques minutes de trop.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
Qu'un seul tienne et les autres suivront est un film pensé. Les fils n'y sont pas invisibles. Le dénouement, qui voit les personnages des trois récits se rejoindre dans le parloir, zone symbolique, peut sembler théâtral.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par Hubert Lizé
Faire preuve d'une telle maîtrise dans un premier long-métrage est assez rare. (...) Le propos n'est pas gai, mais ceux qui aiment les histoires fortes devraient suivre.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
Par ses choix de casting (...) un filmage sans fard, le cinéma de Fehner pourrait être estampillé "pialatien". (...) Elle a la main parfois lourde dans l'expression de la mouise de ses personnages : trop de larmes, trop de cris, trop de visages affligés, cela peut parfois confiner au dolorisme.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Studio Ciné Live
par Thomas Baurez
Voir sur Studio Ciné Live
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Télérama
par Juliette Bénabent
Enfermement, violence dans les rapports humains, avenir incertain : plusieurs pistes s'ouvrent. Trop, peut-être. Léa Fehner, cinéaste de 28 ans, (...) manque parfois de concision, ...
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Brazil
Dans ce premier long-métrage, Léa Fehner a déjà la maîtrise de la juste distance (...) un film très ambitieux.
Charlie Hebdo
Léa Fehner ne cède pas (ou si peu) au romantisme des trajectoires humaines qui s'entrecroisent, ni au mysticisme un peu cheap des coïncidences de la vie.
La Croix
Un premier film magistral (...) Une intensité dramatique exceptionnelle.
Le Figaroscope
On est soufflé par la puissance dramatique, la force des plans, la maîtrise de la narration (...) Un véritable kidnapping émotionnel.
Marianne
Avec une maîtrise étonnante, une fluidité abrupte, Léa Fehner passe d'une histoire à l'autre, pas de transitions, de chevilles artificielles et inutiles.
20 Minutes
(...) un film sincère, qui laisse augurer le meilleur pour la carrière de la jeune cinéaste [Léa Fehner].
L'Express
www.lexpress.fr
L'Humanité
Un film hors du commun qui conjugue avec brio construction stylistique recherchée et réalisme de la narration dans la représentation du mal-être.
L'Obs
Un premier film choc.
Le Figaroscope
Léa Fehner et ses interprètes, un générique aussi performant que peu clinquant, gardent en tout moment le contrôle de ce périple agité. (...) Costaud, le premier film.
Libération
Pour son premier long métrage, Léa Fehner signe un récit tout en fureur.
Metro
Un premier film émouvant.
Paris Match
Ce beau portrait d'une humanité blessée est celui de la dignité retrouvée.
Positif
Le film inverse l'espace carcéral pour faire du monde extérieur une sorte de "no man's land" de la douleur.
Première
Ces histoires simples de gens poussés au bord du gouffre par une imitoyable réalité économique ou sociale auraient pu être banales si Fehner ne les avait transformées en véritables actes de résistance (...).
TéléCinéObs
Une cinéaste à suivre ? Sans aucun doute. (...) Qu'elle filme des éclats de voix ou la toilette silencieuse d'un mort, à l'épaule ou en plans larges, Léa Fehner chope des moments inouïs de vérité.
Elle
Le casting est impeccable mais on n'adhère pas au scénario maladroit.
Excessif
Qu'un seul tienne et les autres suivront est un premier film encourageant.
Le Journal du Dimanche
Elle [Léa Fehner] part du réel (les bas quartiers, la douleur d'une mère, la prison) mais le transcende pour signer une oeuvre romanesque d'une grande élégance, pénalisée tout au plus par quelques minutes de trop.
Le Monde
Qu'un seul tienne et les autres suivront est un film pensé. Les fils n'y sont pas invisibles. Le dénouement, qui voit les personnages des trois récits se rejoindre dans le parloir, zone symbolique, peut sembler théâtral.
Le Parisien
Faire preuve d'une telle maîtrise dans un premier long-métrage est assez rare. (...) Le propos n'est pas gai, mais ceux qui aiment les histoires fortes devraient suivre.
Les Inrockuptibles
Par ses choix de casting (...) un filmage sans fard, le cinéma de Fehner pourrait être estampillé "pialatien". (...) Elle a la main parfois lourde dans l'expression de la mouise de ses personnages : trop de larmes, trop de cris, trop de visages affligés, cela peut parfois confiner au dolorisme.
Studio Ciné Live
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Télérama
Enfermement, violence dans les rapports humains, avenir incertain : plusieurs pistes s'ouvrent. Trop, peut-être. Léa Fehner, cinéaste de 28 ans, (...) manque parfois de concision, ...