Black Dynamite est un film ENORMISIME. Tout y est cliché (le héros est super stylé, il y a plein de jolies filles… toutes des bimbos folles de lui). Ajouté à cela des répliques de machos et de bad boy. Bref, un film bourré d'humour décalé qui m’a vraiment fait passer un agréable moment. Un film que j'ai pris au second degré afin de l'apprécier à sa juste valeur. PS : nanar, comédie, film à prendre au sérieux ?….À chacun son interprétation..
un film dejante qui rend un bel hommage au 70's tout le film est decale mais les scenes de baston pete bien quand meme ,meme si elles sont decalées!! la bande son suit meme si de ce cote la je suis un peu decu quand a michael jai white il est genial, enfin je finirai par dire que la distribution du film en france est honteuse et que j'ai eu de la chance de trouve un cine a paris qui le passait ,il ma fallu alle a montparnasse bref c'est vraiment honteux!mais sinon je le conseil vivement c'est une pure bombe!
Dommage qu'ils en fassent trop et que le scénario ne tienne pas la distance. Car la première moitié est une bonne parodie de la blaxploitation, malheureusement le reste vire au ZAZ, plombant complètement l'ensemble.
Comédie parodique récente du genre blaxploitation des années 70, qui nous permet de retrouver cette vieille ambiance du cinéma Noir surfait d’une époque de recherche d’identité aux USA, tout en nous faisant marrer par ses caricatures et ses excès. Réponse légitime d’une négritude agressée, en l’occurrence ici dans la taille du pénis, Black Dynamite applique sa justice expéditive de négro-macho invincible, d’as du kung-fu, d’expert en séduction, de super-héros urbain des rues et quartiers noirs, de bête de sexe, de redresseur de torts, dans l’ambiance bon enfant d’une juste revanche socio-raciale. Croustillant mélange de western à la Dirty Harry burlesque version black, de vengeance et d’honneur de vieux films chinois, de complicités Black Panthers Che Guevarresques, cette comédie pseudo-naïve ponctuée de savantes et volontaires références et incohérentes, de bastons à la Bruce Lee, d’admiration d’une fille béate à chaque bras, de rouflaquettes, sapes kitchs et coupes afros, nous offre un agréable petit spectacle familial dans la nostalgie d’un style cinématographique que l’on croyait éteint.
Au final, hilarant, kitch à outrance, mine de rien méticuleux, assumé à 1000%, Black Dynamite est un nanar hors compétition de luxe au charme vénéneux opérant dès les toutes premières secondes. Avec une bonne humeur communicative, le film de Scott Sanders donne le sourire aux lèvres et une seule envie nous gagne après la projection : le revoir illico-presto. Pour ne pas tomber dans un spoiler inutile (même si l’intrigue n’est pas ce que l’on retiendra de ce film), aucune allusion au scénario ne sera faite mais c’est quand on pense que les scénaristes ne pourront aller plus loin, qu’ils fracassent les portes à grands coups de rangers et qu’ils nous emmènent encore plus loin dans le délire. Sans pour autant être un grand film, Black Dynamite est une comédie savoureuse qui pourrait bien remettre au goût du jour un genre jusqu’à aujourd’hui laissé aux oubliettes. C’est tout le mal qu’on lui souhaite. Lire la suite: http://www.leblogducinema.com/2010/02/25/critique-black-dynamite/
pourquoi parodier la blaxploitation? aucune utilité ce n'est pas drôle une seconde,ça dure 1h34 mais ça semble extrêmement long, c'est mal jouer en résumé un gros navet inutile!!
L'histoire d'un black dans un monde de brutes blacks et belles pépées blacks. Enfin si, il y a un peu de blanc, mais ils sont méchants. Enfin un film cool, où on se laisse relativement bercer par une absence totale de fierté ou d'ambition artistique. On parle beaucoup de Tarentino, mais il n'y a aucun rapport, c'est une parodie des séries télévisées de l'époque plus que de « Shaft ». Le réalisateur prend bien soin de ne pas mélanger les genres, on est ici pour se détendre, pas pour plonger dans la misère de la Blackploitation des seventies. Comme ce n'est pas parfaitement abouti, on passe quand même une grosse demi-heure à s'ennuyer le sourire en coin, puis, à force de petits gags discrets (les gangsters en voiture, frein à main et portière de coupé gigantesque dans le gazon par exemple), on arrive sur la grosse idée du scénario, qui nous permet de finir le film hilare, surtout quand arrive l'explication du Watergate. Enfin, je suis méchant, la scène du petit Bambi dans l'orphelinat est hallucinante elle aussi. Pour les autres, il y a aussi des blagues salaces, racistes et misogynes sans oublier des combats à muscles nus pas inintéressants. Bref, une bo supportable, une parodie des blacks seventies un peu trop hermétique, un scénario qui réserve deux excellents gags et une fin bien sympathique avec un générique dessiné de bon ton. Pour un film totalement méprisé par la distribution, que demander de plus ?
Ce film est un pur bijou, ce film est Funky, c'est la première fois que je vois un film de ce style, et j'espère en voir d'autre, un gros bravo et merci à Michael Jai White qui à écris le scénario et l'histoire, sur ce coup là il m'à impressionné, je me suis marré du début à la fin rien n'est à jeter, c'est la meilleur comédie que j'ai vu depuis 99F, il y a des idée de fou dans ce film, tout ce que j'aime est dans ce film. A tous ceux qui aime le Kung-fu, les gros calibres, la bonne vieille musique des années 60-70, the Bitches, la liqueur de malt Anaconda, et les donuts qui se font flinguer, ce film et pour vous.
Rodriguez a utilisé le concept à la sauce mexicaine pour son « Machete », voici le vrai hommage à la « blaxploitation », ces films bis où les afro-américains prennent leur revanche sur les réalisateurs blancs qui avaient tendance à les cantonner à des rôles de sous-fifres ou de méchants. Et « Black Dynamite », signé de l'inconnu Scott Sanders, est une vrai réussite. L'hommage est maîtrisé de bout en bout avec un ambiance d'époque méticuleusement recréée, des musiques ultra funkies, un personnage principal efficacement caricatural et des scènes d'action à la fois remuantes et fort sympathiquement ridicules. « 100 % dynamite » mais également 100 % drôle à l'instar de certaines scènes comme l'exercice de déduction totalement ubuesque ou le fight final avec Nixon. Le rôle principal est également excellemment porté par un Michael Jai White qui s'amuse tout comme les seconds rôles. « Black Dynamite », un héros tellement cool qu'il peut tirer 10 balles avec son revolver à 6 coups sans recharger. Un héros tellement cool que les voitures explosent sans qu'il ne touche le réservoir. Un héros tellement cool que tous les gamins du quartier ont un père inconnu qui s'appelle comme lui.... « Black Dynamite » : de la « coolitude » en barre. Bon hommage.