Avis : Dredd - Page 3

Peuple de la terre réveillez vous! Un film sans substance ni effet contrairement à la drogue dont on parle dans ce dernier et qui n apporte rien a la construction du scénario ......Scénario prévisible avec des longueurs inutiles.Le scénario tient en deux lignes maximum : des méchants dealers sont dans une tour de 200 étages, Dredd remonte chaque étage pour éliminer la chef au sommet.Nous assistons donc à une enfilade de couloirs et d’escaliers au pas de charge ponctuée de fusillades meurtrières deja vu et revu dans les films d action tel que le remarquable THE RAID ....malheureusement ce Dredd ne dépasse jamais vraiment le cadre de pilote de série TV voulant la jouer grand seigneur tout en étant quand même un peu cheap et avare en ce que l’on attend le plus, de l’action avec ces décors eb carton. Le traitement de l’ultra violence ne réussissant pas non plus à s’élever au-delà des standards du DTV ou de la parodie digne d’un Expendables 2, le film sombre au final assez vite et ne remonte jamais vraiment. .....1 étoile pour la sublime commédienne MAMA ........bref DECPETON ...NEXT

Une CATASTROPHE !!! une honte par rapport au premier opus de 95 !!! Un scénario qui s'étouffe, une fin que l'on connait des le début !!! Des méchants pas crédible et un acteur qui se la joue à la Stallone mais ce n'est pas Stallone !! Un film qui ne sert à rien !! Dommage, vraiment dommage !!!
Franchement ils auraient pu refaire le même scénario que l'original ça aurait été plus intéressant !!!

Une nouvelle adaptation jusqu'au-boutiste et décomplexée. C'est gore, brut et complètement neuneu. La trame est aussi simple que celle d'un beat them all des années 90 : le héros avance d'étages en étages et défouraille sans se poser de question. Sauf que ce n'est pas un jeu vidéo mais un film et qu'il n'y a donc aucune interactivité. « Dredd » s'avère être un spectacle déshumanisé et lobotomisant.

remake interessant, violent avec pas mal d'actions

Dredd ! La première fois que j'ai connu le personnage, c'était à travers, la première adaptation avec Sylvester Stallone dans le rôle titre. Autant vous dire que ce film était très oubliable. Cela dit , cela m'a permis de découvrir le comic du anti - héro de Méga-City One. Entre temps il est sortit ce film, salué par la critique mais qui n'a pas eu le succès publique (il n'est jamais sortie en France c'est dire). Alors, comment est-ce film au final ? Ben c'est ce que nous allons voir.

Avant de commencer je tiens à prévenir : Je n'ai jamais vu le film The Raid en clair, je ne vais pas faire comme Ant-Man et le comparer à ce film, ni dire s'il est meilleur ou non que The Raid et encore moins si c'est un plagiat ou il a été inspiré par The Raid. La première chose que j'ai à dire, c'est qu'n terme de réalisation, ce n'est pas mal du tout. C'est même plus gore que la première version de Dredd. Tout est glauque, sombre et désolé. Assez étrangement la quasi totalité du film a lieu dans un bâtiment (d'où la ressemblance avec The Raid je présume...). Bon, c'est assez atypique mais dans le contexte, c'est un univers comme un autre. La mise en scène n'est pas extraordinaire mais bon ça reste correcte et attrayant.

Au niveau des protagonistes on a Judge Dredd (Karl Urban). Il est un personnage mystérieux, mais dur de chez dur. Toujours masqué, assez badass et... juste comme il faut. Karl Urban, n'est pas un habitué des rôles badass (il n'a joué que dans Doom et les Chroniques de Riddick avant ça. Jusque là, il était plus proche d'un flic simple à la *Almost Huma*n ou du mec voulant être tranquille à la Leonard Mc Coye de Star Treck). Ici son jeu est assez limité. On ne le sens pas charisatique. Cela dit, il joue plutôt bien Dredd; ce n'est pas Stallone mais voilà.

Cassandra Anderson, la nouvelle recrue (Olivia Thirlby) est celle que Dredd doit former. C'est le personnage qui évolue le plus dans le film et malgré le jeu limité qu'elle développe (c'est à peine si elle bronche), elle est assez attachante. Elle possède des pouvoirs télépathiques qui lui permet de lire les pensées des autres. Cela dit :

spoiler: Comment le casque des juges font pour empêcher ces pouvoirs de fonctionner ? Quel élément qui l'en empêche ?


Oui c'est un point obscur que je n'ai jamais compris. Tout ça pour qu'on voit son jolie minois. déjà que ce n'est pas une reine de beauté, mais cela fait d'elle une cible facile.

Et Ma-Ma (Madeline Madrigal) jouée par Cersei Lannister en personne Lena Haydey (j'aurai pu dire Sarah Connor ou la femme de Léonidas, mais von). Elle incarne une dealeuse méchante assez clichée et impitoyable. C'est la plus charismatique des 3 mais la moins exploitée.

Et ...c'est tout. Oui il y a bien Kay (Wood Haris, présent dans Ant-Man) mais lui bof... je ne l'ai pas trouvé si marquant que ça. Oui, le film ne se concentre que sur le duo principal et ne développe que la recrue à travers Dredd. C'est un style de narration qui ressemble au premier Batman (celui de Burton). Ce qui n'est pas mal du tout, mais a comme défaut de ne se focaliser sur un personnage plus fade que Dredd. Dommage.

Le récit c'est ça. Dredd se doit de former Anderson sur le terrain et tous deux doivent arrêter un traffic d'une drogue dévastatrice et Ma-Ma. Mais ils doivent se confronter aux dealeurs et aux juges corrompus. L'histoire est simple et assez bien raconté malgré l'incohérence de la juge Anderson. L'ennuie est que l'histoire ne donne pas assez de matière pour un bon film ou un film épique. La réalisation gore est pas mal mais cache le vide du scénario. Le film ne se résume au final qu'à un simple polar futuriste avec un flic badass mystérieux. C'est déjà pas mal mais on espérait bien mieux, contrairement à son nanar précédent. La bonne nouvelle est que le personnage d'Anderson évolue plutôt bien mais c'est limite. Le film parvient à nous intéresser et nous divertir, mais manque cruellement de fond et c'est dommage.

Ce film est assez moyen. Je l'ai apprécié uniquement que parce que Karl Urban donne beaucoup de charisme. Mais l'idée d'en faire un personnage guide pour un autre mal exploité et plus fade que lui a été préjudiciable au film. Reste le coté violent qui tache bien comme il faut et c'est déjà pas mal. Sauf pour Cersei.

Un gros cliché a la note incompréhensible, il aura au moins le mérite de vous faire rire malgres lui, tant les dialogues et les scènes sont exagérés.Grandiose, L'avenir du cinéma américain ! 1.5/5

Même s’il est annoncé comme un reboot cinématographique, le Dredd de Pete Travis peut tout aussi bien être considéré comme une suite du Judge Dredd de Danny Cannon car il n’est pas une origine story mais juste une simple aventure du personnage (seules les premières secondes expliquent en voix-off l’environnement dans laquelle se déroule l’action) qui ne fait jamais référence ou renie le film avec Sylvester Stallone.
Le personnage est lui présenté de manière moins monolithique que dans l’adaptation précédente : il est plus modéré en ce qui concerne les circonstances atténuantes mais peut cependant pratiquer la torture lorsqu’il est confronté à des criminels sans foi ni loi. De plus, contrairement au film précédent, il ne retire jamais son casque (le fait de ne pas être interprété par une star cette fois y est sûrement pour beaucoup) et est donc plus respectueux en ce sens du comics.
La grosse différence entre les deux films est que Pete Travis n’hésite pas signer un film violent jouant beaucoup sur la tension et évacuant l’humour inapproprié du film de Danny Cannon (pas de sidekick comique inséré de manière artificielle) : le film est une chasse à l’homme dont les juges sont victimes qui se finira automatiquement dans le sang ! Le scénario est donc simple mais efficace spoiler: , à l’exception d’un petit point de détail (Anderson dit ne pas porter de casque car il peut limiter ses pouvoirs mais arrive à lire les pensées des juges ripoux alors qu'ils portent le même casque)
.
D’un point de vue visuel, le film est de toute beauté : les effets de ralenti (avec une caméra pouvant filmer à 3000 images par secondes) pour illustrer les effets provoqués par le slo-mo sont magnifiques et la 3D est pour une fois très travaillée et tout à fait justifiée.
Avec Dredd, Pete Travis signe donc un polar de science-fiction simple mais efficace et très beau qui rend tout à fait justice au personnage et qui ne mérite pas son échec commercial aux États-Unis (malgré de bonnes critiques) qui engendra une sortie en direct-to-video en France.

Bon j'avais quand même quel que doutes,par rapport a cette adaptation(même si le trailer m'avait plus),est après avoir vu le film,j'avoue que c'est un bon petit plaisir coupable.Rien de Awsome ou culte,mais il faut bien l'avouer le film tout comme Dredd qui applique la loi,est plutôt expéditive.

Peut être aussi son défaut,le film fait 1h30(sans générique)alors pas le temps de se poser,bon moi c'est ce que j'ai bien aimée,mais il manque une a deux scènes d'action...ou il aurait du se poser,comme le combat spoiler: avec l'un des juges pourrie

.Bien que l'action est constant,il manque des scènes d'action qui marque.Cependant je tient a le dire,on ne s'ennuie pas,car yes ça défouraille du début jusqu’à la fin,est des scènes bien jouissif(et gore),le début du film pose bien l'ambiance que suivra tout le reste du métrage.

J'avais aussi peur qu'il ai un peux trop abuser des ralentis a la Snyder and co,a cause de la drogue le Slo Mo.Est bien ça va,bon le début il est vrais qu'il en font un usage répétitive,mais après ça se calme(ouf),bien qu'il y a deux scènes ou j'ai trouver les plans très jolie.

Beaucoup pourrait penser a"The Raid",pour le coté enfermer dans une tour,bon c'est pas le premier film a jouer la dessus,mais le dernier en date.Il est vrais que le film qui n'était pas doter d'un budget phénoménal a choisie cette solution scénaristique,mais j'ai trouver au contraire que ça servait très bien bien le contexte(surtout en suivant Dredd et sa manière a appliquer la loi).

J'avais peur que Karl Urban n'en fasse de trop(serre trop les dent,cabotinage),est au final je l'ai trouver très juste.Surtout quand il donner son discours a tout les habitent de l'immeuble(vu en VO est ça donne bien),de même(et surtout)que le persos de Olivia Thirlby qui joue la"bleu",j’avais peur qu'on se la traine durant tout le film,après tout bon nombre de films qui nous présente un sidekick qui est la juste pour nous présenter l'univers du films(mais en général le persos est vide),or la c'est la bonne surprise,justement au contraire de Karl Urban,on s'attache vraiment a son persos(ce qui est normal),est son histoire et des plus intéressante,au final le duo fonctionne a merveille.

Bon le persos de Lena Headey qui joue ici la méchante,est un peux trop caricatural a mon gout,maisss elle donne a son persos un petit plaisir coupable,c'est mignon quoi,sans pour autant marquer le film.

Donc en bref,malgré quel que choses a redire ici ou la,le film est vraiment très efficace.Avec des acteur qui se fond plaisir,et des scènes d'action bien foutue(je kiff leur gun),ce Dredd reste bien pendant a bien des égard.Maintenant je regrette juste qu'il y aura jamais de suite...alors que le film aurait a n'en pas douter tout a y gagner.

Ce « Dredd » est fidèle à la BD d’origine. Sombre, pessimiste, gore ( spoiler: corps écrasés comme des crêpes, balles traversant les chairs au ralenti, têtes explosées,
etc.), ce film est en outre totalement dénué d’humour. L’interdiction aux moins de 16 ans est ici pleinement justifiée. L’action non-stop laisse peu de place aux émotions, excepté spoiler: les cas de conscience de la juge télépathe
; par exemple spoiler: lorsqu’elle réalise que le tueur qu’elle vient d’exécuter est père de famille.
Dredd, lui, est une machine au service de la loi. Ce personnage froid et sans états d’âme peut rebuter certains. Certes, le scénario réserve peu de surprises (sauf spoiler: les juges corrompus…
), mais l’intérêt n’est pas là. Violent, limite traumatisant, et visuellement audacieux (la mégapole en images de synthèse très convaincante, les plans d’action figés…), ce « Mad Max » des années 2000 est d’une efficacité redoutable. Le contexte, avec ses spoiler: 800 millions d’habitants entassés dans un univers bétonné et ses tours avec un taux de chômage de 96%
, sonne comme un avertissement.

Un film qui n'a rien voir avec son prédécesseur (le film avec Stallone)...Dredd nous présente un univers très sombre, loin de l'ambiance kitch et bariolée de la version de 1995. A titre d'exemple, le fameux "La loi c'est moi" n'est prononcé ici qu'une seule fois : on est loin du comique de répétition que l'on pouvait avoir avec Stallone, et le sens est totalement différent. En fait, ce film présente l'enfer des cités/quartiers sensibles et nous explique que quand les autorité/l'Etat déserte ces quartiers, le vide alors laissé est rempli par d'autres personnes, mafias de toutes sortes. Les interventions policières ne sont alors plus vraiment une solution car entraînant de scènes de guerre et finalement de nombreuses victimes collatérales (par exemple dans le film quand Mama rase un étage entier). Tout cela est finalement un cercle vicieux très difficile à rompre, avec en plus toute une spirale de vengeance. Face à cela certaine autorités choisissent le compromis, qui n'est pas non plus une solution, car entraînant finalement une corruption; de cela aussi il est fait mention dans le film. Enfin, ne pas oublier que la réponse ne passe pas par le tout-sécuritaire mais aussi par exemple par l'école, la baisse du tau de chômage, limiter le désœuvrement des jeunes etc...Tout cela aussi apparaît en filigrane dans ce film. Comme je le présente, on pourrait penser à un film sociologique ennuyeux, mais ce n'est pas le cas: Dredd est aussi et même surtout un film d'action, avec un Dredd impitoyable et qui tue tout le monde sur son passage...

Alors je m'attendais à un bon gros nanar. Il fut reconnaitre qu'au final je viens de passer 1h30 de plaisir coupable ! Certes, le scénario n'a rien d'original (il fait même penser à The Raid de Gareth Evans ). Car comme dans ce dernier, la méchante patronne des méchants se trouve au dernier étage, et non brave Dredd va monter les étages un par un et occasionnellement faire du nettoyage. Violent, voir ultra violent par moment, ça se regarde vraiment très bien et malgré un manque clair et net de budget le film se paie même le luxe d'être esthétiquement plutôt classe ! et certains effets sont impressionnant. (je pense notamment aux ralentis) Et dKarl Urban s'approprie son personnage de manière très naturel et donne un charisme fou au juge.(ce qui est fort vu qu'a aucun moment on vois sont vissage). Au final, bien supérieur à celui de 1998 avec Stalonne, ce Dredd 2012 est une très bonne surprise

Pour les cinéphiles qui s'en souviennent encore, la série de comics ''Judge Dredd'' avait déjà connue une adaptation cinématographique en 1995 sur la direction de Danny Cannon avec Sylvester Stallone dans le rôle-titre. Le film, une série B totalement délirante, qui fit un four au box-office, car les aficionados de la BD se sont insurgés contre le faite que Sly passait la plupart du film sans casque de juge. Il aura fallu attendre 17 ans avant que soit initié le reboot du film. Et c'est Pete Travis, auteur du sympathique ''Angle d'attaques (qui partait d'une idée ridicule à savoir revoir la même scène de l'assassinat du président des États-Unis sous 8 angles différents) qui s'y colle. Souhaitant se tourner des studios hollywoodiens, l'Anglais a voulu garder l’ultra-violence et le politiquement incorrect de la BD, édulcorée dans la version ciné de 95. Hélas, en postproduction, la galère débuta et il fut gentiment remercié et remplacé par Alex Garland, scénariste de Danny Boyle. De plus, le film fut en concurrence lors de sa sortie salles avec The Raid de Gareth Evans au scénario quasi-similaire. Du coup, le film débarque chez nous en DVD après n'avoir même pas pu rembourser son budget d’origine avoisinant les 50 millions de dollars, et ce malgré une critique favorable. Il faut dire que le film part sur des mauvaises bases : mise en scène épileptique, jeu d'acteurs frisant la caricature et scénario mince comme du papier à cigarette. Et pourtant, c'est avec un réel plaisir que l'on déguste ce reboot : 1h30 d'action non-stop, ultra-violence stylisée, scènes de shoot au ralenti et un politiquement incorrect porté en étendard à l'heure où la majorité des blockbusters édulcorent la violence. Au final, Dredd est une bonne série B bourrée d'action, assez fidèle aux comics mais qui en surprendront plus d'un, si ils croient voir une simple relecture du nanar avec Sly...

Il y a des personnages dans les comics qui sont, pardonnez mon expression, tellement burnés qu'une sortie sur grand écran imposerait forcément un beau "Rated R" avec violence - sexe et un cortège d'hémoglobine. C'est le cas de Dredd.
Adapté une première fois en 1995 avec Stallone dans le costume dans un film devenu culte pour certain, culte à Nanarland pour d'autre. Rien à voir avec le personnage violent et badass des comics pour moi.
Venons-en à ce "Dredd 3D"...comme dirait l'autre : Judgement Time Motherf... (je suis sûr que vous connaissez la suite). Le retour du personnage sur grand écran était assez effrayant, d'autant plus au vu du budget assez dérisoire et pourtant...pourtant, quelle claque !
Soyons clair, il ne faut pas regarder le film pour son intrigue. Plus basique, y a pas. On notera d'ailleurs que le film a eu la malchance de tomber en même temps que "The Raid", un autre film où ça bastonne dans un building.
Néanmoins, Urban est un Dredd bien meilleur que Stallone, la présence d'une demoiselle à ses côtés campé par la belle Olivia Thirby se révèle tout à fait utile à l'histoire (on aurait pu craindre un rôle relativement anecdotique), l'action est au top et vu le budget les FX sont plutôt bien fichus...les moments en slow-mo sont d'ailleurs vraiment superbes.

Pour ma part, malgré le trailer, j'avais enterré le film bien avant sa sortie...j'ai donc révisé mon jugement en le voyant.
Par ailleurs, je vous le recommande chaudement en VO. La VF est une pure horreur auditive. Rien ne vaut la voix de Karl Urban pour se sentir pleinement immergé dans ce film carrément badass.

Pour un film sans prétentions, je le trouve nettement supérieur à ce qu'on peut trouver sur le marché hollywoodien pour le moment. Karl Urban voudrait un second film, moi de même !

Un juge intraitable dans un monde en plein K.O! Dans un futur post-apocalyptique, ce policier aux mèthodes musclèes doit passer une journèe avec une jeune recrue aux pouvoirs psychiques afin de vèrifier ses aptitudes! Mais les deux officiers se retrouvent enfermès dans un immense gratte-ciel alors qu'ils y venaient pour procèder à une simple arrestation! Gratte-ciel contrôlèe par une baronne de la drogue influente et sadique qui compte bien en finir avec ses deux juges! L'heure du jugement est venue dans ce reboot et le verdict est sans appel : "Dredd" est très dècevant parce qu'il avait tout pour plaire sur le papier! De la violence à revendre avec un mèlange de Paul Verhoeven et de "Banlieue 13". Qui plus est, les acteurs jouent mal où seule Lena Headey en vulgaire criminelle s'en donne à coeur joie et sauve ce qu'elle peut! Le rythme du film est aux abonnès absents (comme la 3D), à grand renfort d'effets de ralenti et d'effets visuels! Trop de F / X ne va-t-il pas finir par tuer les F / X ? Sans parler du caractère stupide de l'histoire et des personnages! La mèdiocritè de ce reboot aux allures de jeu vidèo (le problème, il est là) prouve à quel point cette nouvelle adaptation de "Judge Dredd" mèritait son statut de direct to DVD! Rendez nous Sly...même sans le casque...

Remake particulièrement bien exploité dans un système assez clôt et moins complexe que l'original. L'univers au plus proche de notre ère marque un chaos sans précédent, où la tyrannie
et la terreur domine la société. Un scénario à fort empreinte de désagrément pour les fidèles de l'original. Mais dette remarque générale s'applique à tous ceux qui ferment les yeux face à un effort sans contestation. Bien que la notion de moralité prime sur la longueur du film mais l'esprit d'origine reste néanmoins intact.
De plus, une part d'originalité figure dans un mystère partiel sur l'identité du grand juge. Cela ne fait qu'amplifier ses traits les plus caractéristiques et cela reste de plus appréciable. Vient alors la question du choix des personnages secondaires, pas une réelle menace pour l'ensemble. On complète le tout sur un challenge lancer par les réalisateurs du moment. Le remake est toujours n course et les exemples récents témoigne d'une nouvelle chance accordée aux plus ingénieux.