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BlueSkull
65 abonnés
523 critiques
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1,0
Publiée le 6 août 2011
Un film franchement décevant au vu de la bande-annonce. Je pensais enfin voir un film d'épidémie original. Mais hélas, il n'en est rien. Le scénario ne tient pas la route, truffé de scènes invraisemblables. Mais le gros point négatif de ce film réside dans le fait de son absence quasi-totale d'action ou de rebondissements. Il ne se passe absolument rien d'un bout à l'autre du film. On s'ennuie ferme. Ajoutez à cela des acteurs plutôt moyens et une fin totalement bâclée, et vous obtenez Infectés. Dans le genre apocalyptique, on a vu largement mieux. Un film sans grand intérêt. C'est plus une perte de temps qu'autre chose. A éviter.
Pour survivre a l'apocalypse il suffit d'ouvrir sa fenetre lorsque l'on est assis a coté d'une personne infectée, de s'arreter jouer au golf lorsque l'on en croise un un sur son chemin et surtout de vider le chargeur de son arme sur une pancarte parce que l'on s'ennuie (va demander a Viggo dans La route s'il n'est pas plus sage d'economiser ses balles lors de la fin du monde, parce le prochain chargeur tu vas aller l'acheter chez wal mart, cretin?).
l'histoire est plutot pas mal pensé mais au fur à mesure du film on s'ennuie tant il ne se passe rien et la fin est assez decevante. Je m'attendais à plus de ce film.
L'histoire d'une infections planétaire dont on ne saura rien mais qui fait beaucoup de victimes chez les animalcules appelés humains. De ce genre d'histoire on sait déjà tout, c'est le thème à la mode chez tous les réalisateurs anglo-saxons, et il commence à y avoir embouteillage ! Ce film évite 3 écueils, les zombies, le traitement monochrome ou sépia, et enfin l'horreur et le gore à la petite semaine. Le problème, c'est que tout le reste est la quintessence des défauts du genre. Un budget manifestement ridicule, un casting pas mauvais mais insipide et laid, très peu d'action et bien peu d'angoisse. Et cerise sur le gâteau, un traitement très sentimentalo-familial un peu lourdingue qui doit venir d'une histoire personnelle mal digérée par le réalisateur. Et c'est un peu dommage car le fond de l'histoire, la nature humaine qui ressort dans les situations de survie animales instinctives était un excellent sujet quand il n'est pas traité sous l'angle du cynisme ou de la violence gratuite. Ici, on ne peut détester personne en particulier, juste avoir peur que ça n'arrive pas avant une quarantaine d'années (en ce qui me concerne) En un mot comme en cent, c'est nul et longuet mais l'idée du traitement est intéressant et se laisse regarder en rêvant qu'un grand réalisateurs refasse le prototype. PS : encore une fois, les distributeurs se fichent de notre tête, c'est un film de 2008 qu'ils ressortent juste parce qu'il ont lancé la mode du end road movie . C'est lassant de voir le cinéma haché sans aucune logique autre que marketing (car si c'était commercial, il aurait eut plus de succès quand la concurrence n'était pas aussi forte). Lamentable.
J'avoue que je n'ai pas eu de mal à apprécier ce film vu que 3 des membres du casting font parti de mes acteurs/actrices préférées, mais c'est tout de même une belle surprise au niveau du scénario, que j'ai trouvé captivant, je pensais pas que ce film apocalyptique m'intéresserait autant. L'émotion n'est pas oubliée, c'est là tout l'intérêt du film d'ailleurs. Ca mérite un 4/5 !
Des idées innovantes mais d'autres incohérentes, dans la globalité pas assez ou mal exploitées. Mais 2,5 quand même pour le principe et pour Piper Perabo(je sais la 2me raison rend la note moins objective d'un coup, mais après tout cette critique n'engage que moi).
Film un peu léger avec pas mal d'incohérences. Deux frères et leurs petites amies tentent d'échapper à un virus très contagieux à travers les routes américaines. Ne regardez pas la bande annonce, ou vous comprendrez vite le cheminement de l'histoire. On retrouve un acteur récurrent de la série "Desperate housewives" ainsi qu'un autre star télévisuelle de "New York Unité Spéciale" ou "Oz". Le film est très court (moins d'1h25...). Les paysages sont jolis mais il est bizarre de ne pas avoir mis plus d'idées dans le script.
Certes c'est lent, mais l'avantage de ce film c'est qu'il est différent des autres films qui abordent le même thème. L'apocalypse est souvent synonyme de haine, de catastrophe, de mort, nous avons ici un cocktail différent. La mort est présente mais elle est abordée différemment, elle devient la source d'un drame avant tout humain plutôt que de rendre le film survival horreur. C'est un bon point en soi, le problème c'est que le film est très court, ce n'est pas assez développé, un film qui parle d'un virus sans en expliquer la cause, c'est pas vraiment courant. Mais encore une fois on sent que le but du film est vraiment d'être un drame. Ce n'est pas une totale déception pour ma part, je n'attendais pas grand chose de ce film, mais j'aurais préféré tout de même un peu plus d'action.
Rien de bien nouveau mais on sent l'implication des réalisateur. Ils n'en font pas des tonnes, ne sortent pas des sentiers battus et mettent leurs petites touches perso.
Infectés raconte l'histoire pas franchement intéressante de 4 ados dans un monde quasiment désert des suites d'un contamination incurable. Avec Chris Pine et Piper Perabo en tête d'affiche, deux acteurs connus mais loin de susciter une réelle excitation, le film semble se chercher durant tout ce road trip. Quelques bonnes idées sont éparpillés dans un récit sans véritable intérêt. Le scénario est loin d'être convaincant avec cette échappée vers la mer et la moindre des choses quand on réalise un film sans véritable fond, c'est d'y mettre les formes afin de capter le public. Pourtant, peu de péripéties à se mettre sous la dent. Les réactions des personnages sont souvent incohérentes et ceux-ci, si ce n'est celui joué par Chris Pine n'ont rien d'intéressant. A ce petit jeu et même s'il n'est pas à la hauteur du bouquin, on préfèrera l'adaptation de La Route, beaucoup plus sombre, décrépie et oppressante de désolation. Un film qui ne sait pas où se situer entre horreur pré-pubère, drame psychologique et anticipation légère. Aussi indispensable qu'un bout de scotch pour faire une zone de quarantaine.
Un road-movie à la trame archie-rabâchée mais empreint d'un fatalisme douloureux et interprété avec justesse, jouant plus sur l'ambiance que sur l'action, offrant également un beau portrait d'amour fraternel.
Malgres quelques scenes tres reussies le film manque cruellemet de rythme et de coherence. Cette demi vraissemblance nuit serieusement a l'histoire. Le film ne va nulle part. Dommage.