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Votre avis sur The Crow ?
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J’ai vraiment apprécié, peut-être parce que je ne me souviens absolument pas du 1er vieux de 20 ans et auquel beaucoup de gens font référence. Ce que j’ai aimé est l’univers à la fois féerique et violent qui est porté par une histoire déconcertante.
Un film pas mal.
J'ai bien adhéré à l'univers de vie après la mort et à la fantaisie générale du film.
Mais les dialogues sont horribles et l'histoire avance de manière irrégulière...
Cela aurait été plus intéressant si cette histoire de vengeance prenait des tournants plus originaux et créatif que... DU SANG ET DU SANG.
À voir.
J'ai bien adhéré à l'univers de vie après la mort et à la fantaisie générale du film.
Mais les dialogues sont horribles et l'histoire avance de manière irrégulière...
Cela aurait été plus intéressant si cette histoire de vengeance prenait des tournants plus originaux et créatif que... DU SANG ET DU SANG.
À voir.
Rien ne va dans cette tentative vaine de faire revivre le personnage incarné par Brandon Lee dans le film d'Alex Proyas.
On est donc bien obligé de comparer...
Le casting n'est pas bon, et Bill Skarsgard, malgré sa plastique qui ne cesse d'être exposée, fait pâle figure... L'écriture est complètement ratée. Là où Alex Proyas ne perdait pas son temps en explications, Rupert Sanders ici étale de longues minutes pour construire ce couple idyllique notamment, longues minutes qui ne seront en fait que machine à flashbacks pour la suite. Le "purgatoire" est raté (Sami Bouajila, vraiment ?) et rien n'est crédible. Après des développements inutiles la conclusion arrive comme un cheveu sur la soupe. Proyas revendiquait le côté désespéré de son film, ici, le "happy ending" laisse complètement indifférent.
la BO est au mieux insipide, au pire affreuse. Tout est moche, et la ville n'est pas ici un 3e personnage comme dans le film original, mais juste un lieu de déambulation sans âme et sans intérêt. Les corbeaux ne sont que de vagues figurants.
On arrive tant bien que mal à une résolution, mais juste avant on se coltine un dernier (long, très long) passage gore totalement gratuit où de pauvres hommes de main qui n'ont rien demandé se font trucider joyeusement juste parce qu'ils sont sur le chemin d'Eric dans une pseudo scène gothique sur fond d'opéra très mal réalisée...
Bref passez votre chemin, revoyez l'original qui avait le mérite, même si il a vieilli un peu, d'avoir de vraies intentions et un vrai parti pris dans la mise en scène !
On est donc bien obligé de comparer...
Le casting n'est pas bon, et Bill Skarsgard, malgré sa plastique qui ne cesse d'être exposée, fait pâle figure... L'écriture est complètement ratée. Là où Alex Proyas ne perdait pas son temps en explications, Rupert Sanders ici étale de longues minutes pour construire ce couple idyllique notamment, longues minutes qui ne seront en fait que machine à flashbacks pour la suite. Le "purgatoire" est raté (Sami Bouajila, vraiment ?) et rien n'est crédible. Après des développements inutiles la conclusion arrive comme un cheveu sur la soupe. Proyas revendiquait le côté désespéré de son film, ici, le "happy ending" laisse complètement indifférent.
la BO est au mieux insipide, au pire affreuse. Tout est moche, et la ville n'est pas ici un 3e personnage comme dans le film original, mais juste un lieu de déambulation sans âme et sans intérêt. Les corbeaux ne sont que de vagues figurants.
On arrive tant bien que mal à une résolution, mais juste avant on se coltine un dernier (long, très long) passage gore totalement gratuit où de pauvres hommes de main qui n'ont rien demandé se font trucider joyeusement juste parce qu'ils sont sur le chemin d'Eric dans une pseudo scène gothique sur fond d'opéra très mal réalisée...
Bref passez votre chemin, revoyez l'original qui avait le mérite, même si il a vieilli un peu, d'avoir de vraies intentions et un vrai parti pris dans la mise en scène !
Je ne comprends pas le déversement de haine envers ce film. Arrêtez de le comparer avec celui de 1994, c'est juste absurde. Ce n'est pas une claque non plus, mais l'histoire est vraiment profonde avec une bonne dose de gore et de baston. Ne vous fiez pas aux puristes qui ne sont jamais content, vous passerez à côté d'une bonne expérience.
J’ai adorée ce film! Il faut juste arrêter de le comparer à l’ancienne version stop le film n’a pas été tournée dans le but qu’on le compare mais dans le but de re faire découvrir un chef d’œuvre dans une version plus actuelle.
Vraiment allez le voir en vous sortant de la tête l’ancien film et vous verrez que c’est un très bon film!
Vraiment allez le voir en vous sortant de la tête l’ancien film et vous verrez que c’est un très bon film!
le film est incroyable foncéeeee !!!! c’est un chef d’œuvre les acteurs sont incroyable tout comme les déco, la musique
Ce film est incroyable. Ignorez les critiques, allez le voir et faites vous votre avis vous même. J'ai aimé du début a la fin. Le seul bémol -selon moi- est le choix de l'actrice qui joue Shelly.
Franchement quand tu as lu le comic et vu l'original de 1994 qui est bien + sombre...
OK Eric Draven est musicien. Mais:
1994 Brandon Lee dans le role d'un Eric Draven sombre, gothique, torturé etc.
2024 Bill Skarsgård dans le role d'un Eric Draven qui ressemble + à une rock star sous amphètes qui se maquille et me rappelle plus le Joker sur de nombreux aspects qu'un The Crow
Et Draven se transforme en The Crow avec la haine et la colère, il ne se maquille pas.
On ne passera sur les autres persos comme Shelly qui passe d'une femme classe en 94 à une espèce de hippie new age tendance junkie en 2024... Encore les DEI qui sont passées par là?
L'atmosphère du film de 1994 était sombre, glauque un peu à la Tim Burton, dans un ville rappelant Gotham City, là pas du tout, on ne ressent pas du tout la même chose...
Quant à l'histoire on prend des raccourcis (encore plus que dans celui de1994) et elle est aussi plus "gentille" avec certains passages qui sautent...
Pourquoi? Trop dérangeant? Pour rester "politiquement correct"? La mort de Shelly par exemple n'est pas... comment dire? Aussi "douce" et est plus "trash" qu'ici.
OK Eric Draven est musicien. Mais:
1994 Brandon Lee dans le role d'un Eric Draven sombre, gothique, torturé etc.
2024 Bill Skarsgård dans le role d'un Eric Draven qui ressemble + à une rock star sous amphètes qui se maquille et me rappelle plus le Joker sur de nombreux aspects qu'un The Crow
Et Draven se transforme en The Crow avec la haine et la colère, il ne se maquille pas.
On ne passera sur les autres persos comme Shelly qui passe d'une femme classe en 94 à une espèce de hippie new age tendance junkie en 2024... Encore les DEI qui sont passées par là?
L'atmosphère du film de 1994 était sombre, glauque un peu à la Tim Burton, dans un ville rappelant Gotham City, là pas du tout, on ne ressent pas du tout la même chose...
Quant à l'histoire on prend des raccourcis (encore plus que dans celui de1994) et elle est aussi plus "gentille" avec certains passages qui sautent...
Pourquoi? Trop dérangeant? Pour rester "politiquement correct"? La mort de Shelly par exemple n'est pas... comment dire? Aussi "douce" et est plus "trash" qu'ici.
MediaShow
À mi-chemin entre thriller, romance et fantastique, The Crow de Rupert Sanders demeure un long-métrage honnête et divertissant. Il faut tout de même souligner qu'il ne s'agit pas d'un film grand public de par son côté sanglant et gore et la présence de séquences très violentes. Le scénario se divise deux parties. La première est davantage orientée cette histoire d'amour alors que la seconde est plus sombre et axée sur la vengeance de cette homme détruit. C'est une version moderne du comics mais qui conserve tout de même son essence gothique.
En revanche, on regrettera tout de même un développement assez maigre des personnages, tout particulièrement le méchant de l'histoire dont les motivations restent très confuses. Également, la présence de longueurs ne permet pas de maintenir un rythme homogène. Enfin, certains raccourcis scénaristiques auraient pu être évités.
Mon avis complet sur le blog : https://mediashowbydk.com (sans spoilers)
En revanche, on regrettera tout de même un développement assez maigre des personnages, tout particulièrement le méchant de l'histoire dont les motivations restent très confuses. Également, la présence de longueurs ne permet pas de maintenir un rythme homogène. Enfin, certains raccourcis scénaristiques auraient pu être évités.
Mon avis complet sur le blog : https://mediashowbydk.com (sans spoilers)
Bill Skarsgård, en quête désespérée d'un rôle iconique après Ça, s'est lourdement planté. Son interprétation d'Eric Draven est aussi subtile qu'un coup de poing dans l'oeil : un patchwork de poses gothiques et de grimaces forcées. La mise en scène de Rupert Sanders, quant à elle, est d'une platitude sidérante. Ce Crow n'a d'âme que le nom. Là où Proyas sublimait l'horreur, Sanders ne fait que la reproduire.
En voulant à tout prix surfer sur la vague de la nostalgie , Rupert Sanders en a oublié l'essence même de The Crow : une mélancolie profonde, une rage contenue, une quête de justice teintée de mysticisme. Ce Crow est un corbeau empaillé, incapable de voler.
En voulant à tout prix surfer sur la vague de la nostalgie , Rupert Sanders en a oublié l'essence même de The Crow : une mélancolie profonde, une rage contenue, une quête de justice teintée de mysticisme. Ce Crow est un corbeau empaillé, incapable de voler.
Piou...j'avais assez hâte de voir le nouveau "The Crow" surtout avec cet acteur bien connu pour son rôle dans "Ça" le clown tueur. J'étais passé outre le fais que le film flop de partout mais il faut avouer que hormis la dernière demi heure voir aller 40-45mn pour être sympa, le reste était d'une mollesse total, ok la fuite et qu'il soit ensemble mais la perte de temps dans des scènes d'amourettes aussi pénible qu'inutile. Rallongeant le film pour en faire quoi?? Cela change rien sur ce qui suit, c'est à dire, une sanglante vengeance. Donc le mieux reste la vengeance qui est gore à souhait (euh pourquoi personne vise sa tête à force??!!) et cela dézingue à tour de bras mais là encore le finale est plutôt raté contre le grand méchant...dommage...
NOTE : 4/10
NOTE : 4/10
Moins pire que la critique, le film est loin d'être bon mais saura contenter les appreciateurs de scènes d'actions violentes et sanglantes. La scénographie met correctement en avant la noirceur du personnage, grâce à une atmosphère sombre et macabre. Les néophytes de l’univers The Crow n’auront pas les mêmes déceptions que les puristes de l’œuvre, ils pourront se laisser porter par un Bill Skargård convincant dans son rôle de bourreau funeste, devenu immortel grâce à la force de l’amour.
“The Crow”, le gothique dans le réel
Après le drame dont a dû faire face la première itération de “The Crow”, Rupert Sanders et Bill Skarsgard tentent ce remake 30 ans plus tard.
Alors, verdicte ?
Franchement, c’est un bon film mais qui exagère nettement trop sur l’aspect gothique. A part cela, la narration est bonne et la mise en scène tente de marquer et tente d’impressionner.
Sur le point de la mise en scène, l'œil de la caméra est très marquant. Effectivement, la direction photographique est excellente et l’imagerie est très picturale. Certains plans sont des tableaux. La musique et la photographie se répondent et se marient très bien. Les effets spéciaux sont relativement corrects.
Cependant, le film fait face à un problème de démesure. Le film veut trop paraître sombre ; par conséquent, l’intégralité du film se déroule de nuit et les scènes d’action de peuvent pas se passer d’une abondance de sang. Alors, le film connaît un aspect anxiogène par l’absence de lumière qui peut déranger.
Quoi qu’on en pense, l’aspect anxiogène peut tout simplement être un point positif comme un point positif. Mais l’ensemble de la mise en scène exagère probablement trop son aspect gothique.
Le scénario est intéressant mais en dent-de-scie. Dans un premier temps, la narration est propre, cependant, le film propose un éventail d’informations qui ne sont pas forcément utiles. Effectivement, il y a de nombreuses choses qui n’ont pas forcément d’intérêt qui sont montrées. Malgré une bonne narration, tout n’est pas à prendre. Concernant les protagonistes et le récit, le manichéisme est le mot d’ordre de ce film. Certes les personnages principaux sont très (trop) torturés mais c’est très “les très méchants contre les très gentils”. Stéréotypes et clichés nourrissent clairement trop le film.
Le film a une mise en scène ambitieuse et un récit légèrement trop large. Par ailleurs, le gothique et la torture prennent une place trop importante dans la narration. “The Crow” reste un bon film qui arrive à rendre hommage aux romans graphiques ainsi qu’au film de 1994.
Après le drame dont a dû faire face la première itération de “The Crow”, Rupert Sanders et Bill Skarsgard tentent ce remake 30 ans plus tard.
Alors, verdicte ?
Franchement, c’est un bon film mais qui exagère nettement trop sur l’aspect gothique. A part cela, la narration est bonne et la mise en scène tente de marquer et tente d’impressionner.
Sur le point de la mise en scène, l'œil de la caméra est très marquant. Effectivement, la direction photographique est excellente et l’imagerie est très picturale. Certains plans sont des tableaux. La musique et la photographie se répondent et se marient très bien. Les effets spéciaux sont relativement corrects.
Cependant, le film fait face à un problème de démesure. Le film veut trop paraître sombre ; par conséquent, l’intégralité du film se déroule de nuit et les scènes d’action de peuvent pas se passer d’une abondance de sang. Alors, le film connaît un aspect anxiogène par l’absence de lumière qui peut déranger.
Quoi qu’on en pense, l’aspect anxiogène peut tout simplement être un point positif comme un point positif. Mais l’ensemble de la mise en scène exagère probablement trop son aspect gothique.
Le scénario est intéressant mais en dent-de-scie. Dans un premier temps, la narration est propre, cependant, le film propose un éventail d’informations qui ne sont pas forcément utiles. Effectivement, il y a de nombreuses choses qui n’ont pas forcément d’intérêt qui sont montrées. Malgré une bonne narration, tout n’est pas à prendre. Concernant les protagonistes et le récit, le manichéisme est le mot d’ordre de ce film. Certes les personnages principaux sont très (trop) torturés mais c’est très “les très méchants contre les très gentils”. Stéréotypes et clichés nourrissent clairement trop le film.
Le film a une mise en scène ambitieuse et un récit légèrement trop large. Par ailleurs, le gothique et la torture prennent une place trop importante dans la narration. “The Crow” reste un bon film qui arrive à rendre hommage aux romans graphiques ainsi qu’au film de 1994.
Le film est très inégal mais il est loin d’être le ratage annoncé. Il reste différent du film original de 1994 et s’en démarque même complètement. La scène de l’opéra est excellente et l’atmosphère global du film est pesant. Cependant le manque d’implication qu’on a pour cette histoire d’amour ne permet pas de rentrer pleinement dans le film. Le développement des personnages est trop superficiel pour cela.
Malgré tout le film reste pas mal et un plutôt bon divertissement
Malgré tout le film reste pas mal et un plutôt bon divertissement
C'est nul. La première partie, c'est un truc nunuche et mièvre avec un couple niaiseux genre "After", "50 nuances de Grey", tous ces mauvais films que tu vas voir avec la meuf (sans goût) que tu veux pécho pour lui faire plaisir. La deuxième partie, c'est un mauvais copier-coller de n'importe quel "John Wick" (mais sans Keanu Reeves. Donc zéro intérêt). Ça m'a donné envie de demander un remboursement et ensuite de revoir la version avec Brandon Lee.
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