Avis : The Crow - Page 9

Je trouve les gens trop dur avec certains remake. Ici les scènes d'actions sont dynamiques et on retrouve l'univers crasseux de l'original tout en trouvant une nouvelle caractérisation des personnages originaux avec une esthétique emprunte d'une ambiance morne et morbide tout en restant dans le conte de vengeance qui est a l'origine même du personnage jusqu'au comics original de James o'bar ainsi que toutes les récits alternatifs liés au personnage qui ont vu le jour par la suite. Bill Skarsgard est un choix de casting particulièrement pertinent pour le rôle d'Éric Draven, sa manière de se mouvoir et de s'exprimer reflète la rage profonde inscrite dans l'ADN de son personnage, il est littéralement habité. En conclusion je pense qu'il ne faut pas uniquement jurer par un film qui était certe déjà excellent mais aussi se concentrer sur les nouveautées apportées par ce nouveau film.

Le film en soit est excellent niveau carnage sang, il est moins spectaculaire que celui brandon Lee mais dans la version 2024 le récit de l'amour est nettement plus développé les circonstances sont justifiées et manœuvre bien plus au niveau du roman. Merci aux réalisateur et acteur d'avoir plus rendre hommage au premier réalisateur malheureusement décédé.

"Le Orphée moderne !"

1994. “The Crow” d’Alex Proyas - au-delà d’être devenu le film culte de toute une génération - prophétisait, lors de la nuit du diable, sur la déliquescence de notre société. Le gangster Top Dollar (Michael Wincott) et ses sbires synthétisaient à eux seuls, l’abyssale violence d’une cité en proie aux émeutes et aux meurtres, dues entre autres aux trafics de drogues gangrénant la ville de Détroit. Trente ans plus tard, la dystopie a laissé sa place à la réalité. Le Gothique des églises et des cimetières, chez Alex Proyas, est remplacé par des friches industrielles. Les luxueux appartements, les immeubles cossus et les lieux artistiques (le théâtre notamment) d’une sorte de Gotham City, contrastent avec la prison de réhabilitation que nous présente Rupert Sanders (“Ghost in the Shell”). Derrière ces murs institutionnalisés, une jeunesse désespérée tente d’expier ses fautes à grand coup de brimades et autres placebos. Et c’est de là que va naître une idylle magnifique entre Eric (Bill Skarsgard) et Shelly (FKA Twigs). Malheureusement, le passé de Shelly va refaire surface… Il n’y aura pas une autre nuit du Diable dans cette version nihiliste de “The Crow”, mais en revanche, le Diable - ou plutôt son émissaire sur terre - sera bien présent en la personne de Vincent Roeg (Danny Huston), dont le rôle serait une sorte de dérivé à Marlow, le personnage qu’il incarnait dans “30 jours de nuits”. Cet homme d’affaires aristocrate et mélomane portant dans son regard une insondable noirceur a vendu son âme en échange de la vie éternelle, mais ce pacte a un prix. Les adeptes de son culte satanique arpentent les ruelles sordides de la ville en quête de proies innocentes pour abreuver les enfers. Inclure dans le récit une figure diabolique telle que celle de Roeg (même si l’on aurait aimé plus d’explications), est un parti-pris gagnant. En effet, en s’éloignant avec justesse du matériau d’origine, les scénaristes Zach Balin et William Schneider (toujours d’après les comics de James O’Barr), permettent au film d’aller au bout de sa propre mythologie, car de mythologie, il en est question dans “The Crow” (2024), le personnage de Cronos (Sami Bouajila), en atteste. Reste la géniale interprétation (avis perso) de l’acteur Bill Skarsgard (Eric, rien qu’Eric, puisque le patronyme de Draven ne sera jamais prononcé dans le film, pour toujours plus se démarquer), qui, en amant maudit habité par son rôle d’esprit vengeur, va alterner le calme et la fureur par une posture schizophrène remarquable. Loin de la purge tant attendue, ou plutôt tant espérée par d’aucuns, Rupert Sanders nous livre une tragédie shakespearienne ultra-graphique et parfois gore, une relecture de “Roméo et Juliette” aux accents Faustiens !

Si c'était possible de mettre moins que zéro, comment peux on se rater à ce point là, là ou le film avec Brandon Lee avait une bonne ambiance bien gothique, avec une belle histoire et une super bande son, là non seulement c'est du repompé, mais en plus c'est incroyablement mauvais, rien de va de l'acteur en passant par le scénario et les antagoniste, encore un désastre de plus.

Une horreur inclusive de plus, diversité, leçon de morale tolérance, on a une petite confrérie tout en rose...
Quand est-ce que la production pensera au film au scénario, aux émotions des protagoniste....
Le Box office n'a pas pardonné et c'est tant mieux. Le film est un échec.

Epouvante réussie. Les acteurs sont parfaits et le scénario nous tient en haleine de bout en bout. A voir pour les effets spéciaux spectaculaires

Je viens de voir the crow ce film est juste incroyable il fait parfaitement honneur au film original l'acteur de Eric étai merveilleux

Un film pas mal.

J'ai bien adhéré à l'univers de vie après la mort et à la fantaisie générale du film.

Mais les dialogues sont horribles et l'histoire avance de manière irrégulière...

Cela aurait été plus intéressant si cette histoire de vengeance prenait des tournants plus originaux et créatif que... DU SANG ET DU SANG.

À voir.

Conforme au comic's, avec Eric Draven et Shelly W. Je suis allée le voir avec un peu d'appréhension,en pensant à celui avec Brandon Lee. Ne pas oublier que l'histoire tourne avant tout autour du corbeau ! J'ai vraiment beaucoup apprécié cette séance,et le regarderai à nouveau avec grand plaisir !

Je pense que beaucoup de puristes ont mis l'original sur un piédestal avec la mort de Brandon Lee.
L'ambiance gothique et respectée, tout comme l'original, ils auraient pu faire mieux sur la BO.
Ils ont voulu développer la relation de couple pour qu'on s'attache plus à sa copine et au couple en soit. Ça a fonctionné mais c'était un pari risqué et ça n'en valait pas la chandelle, la première moitié est beaucoup trop longue... Et c'est dommage car la suite est plutôt bien réussi, je trouve. Il est vrai que dans la BD on parle de vengeance et qu'on essaie d'inciter le personnage principal à laisser tomber sa vengeance. Ce qu'il ne fait pas et ce qui fait de lui un anti-héros. Bref, quelques points négatifs mais c'est pas le navet que beaucoup d'écrivent.

Mais que ce film est mauvais, le scénario est brouillon, il est fade, insipide, dénué d'âme, il n'a remake que de nom, l’acteur Brandon Lee doit se retourner dans sa tombe. Sincèrement, si vous voulez aller le voir, restez chez vous ou aller voir un autre film, je pense que c'est l'un de mes pires moments passer dans une salle de cinéma, pas cette année, mais de ma vie.

Ce nouveau film sur The Crow est aussi romantique que violent et sombre. Ce qui m'a bien plu malgré un scénario simple et sans prétention. Pas un grand film, mais j'ai passé un bon moment. Et surtout, Disney n'était pas aux commandes pour "niaisifier" ce personnage !!!
Et en ce qui concerne une éventuelle comparaison avec le premier opus, je l'ai vu il y a très longtemps, je ne m'en souviens pas, et c'est très bien comme ça, car j'ai pu regarder celui-ci d'un oeil vierge de tout apriori et gagner un bon divertissement.
Parce que c'est aussi ça le cinéma, parfois juste se divertir...

Je crois que le réalisateur n'a rien compris au support original. C'est pas juste un héros badass avec des scènes iconique et des costumes gothique.

Franchement le film est vraiment incroyable et tout ceux qui disent le contraire c'est parce qu'ils s'attendent à un the crow en plus beau graphiquement mais le réalisateur a signalé que ce serait une réimagination

Tellement prenant et super badasse. Les jeux d’acteurs rien à dire et bien gore comme on aime. Je n’ai pas vu le temps passé