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Film de genre assumé comme tel, (...) Laisse-moi entrer cherche l'immersion à tout prix, chaque séquence étant captée à travers les yeux et le ressenti d'un protagoniste bien précis.
La critique complète est disponible sur le site Mad Movies
Laisse-moi entrer (...) est, à l'instar de son modèle, une variation originale sur le thème du "vert paradis des amours enfantines" (...) dotée d'une héroïne qui, de cet âge réputé "tendre", n'en a gardé que l'apparence physique.
Laisse-moi entrer procède à la fois d'un amour sincère et intense pour Morse, le film, et d'une vision personnelle de l'histoire, tirée d'un roman de John Ajvde Lindqvist.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
(...) le remake de " Morse " est une adaptation réussie, plus nerveuse et marquée par la religion que l'original mais qui change de l'ordinaire des films américains.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Laisse-moi entrer se trouve astucieusement transposé à la sauce américaine. Il garde l'essence de ce que nous avions déjà apprécié par le passé, la surprise de la découverte en moins.
La critique complète est disponible sur le site Excessif
Les paradoxes étant ce qu'ils sont, Laisse-moi entrer est donc un bon film pour ceux qui n'auraient pas vu le film original Morse, mais sans trop d'intérêt pour les autres puisque forcément inférieur...
La critique complète est disponible sur le site Filmsactu
Étrange objet mimétique, Laisse-moi entrer se présente comme une relecture fade et disciplinée du chef d'oeuvre suédois multi primé en festival, Morse. Mais pourquoi un remake ?
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Il se produit là, entre la sécheresse originelle du matériau et sa relecture inutilement plus aimable, un grand écart dont le film ne se relève pas vraiment.
Mad Movies
Film de genre assumé comme tel, (...) Laisse-moi entrer cherche l'immersion à tout prix, chaque séquence étant captée à travers les yeux et le ressenti d'un protagoniste bien précis.
20 Minutes
(...) le mordant Laisse-moi entrer.
L'Ecran Fantastique
Reeves signe là une oeuvre qui est à l'original ce que la version de Scorsese était aux Infiltrés
L'Ecran Fantastique
Laisse-moi entrer (...) est, à l'instar de son modèle, une variation originale sur le thème du "vert paradis des amours enfantines" (...) dotée d'une héroïne qui, de cet âge réputé "tendre", n'en a gardé que l'apparence physique.
Le Monde
Laisse-moi entrer procède à la fois d'un amour sincère et intense pour Morse, le film, et d'une vision personnelle de l'histoire, tirée d'un roman de John Ajvde Lindqvist.
Le Parisien
(...) le remake de " Morse " est une adaptation réussie, plus nerveuse et marquée par la religion que l'original mais qui change de l'ordinaire des films américains.
Metro
Laisse-moi entrer reprend les ingrédients du succès de Morse (...) doublée du savoir-faire du réalisateur de Cloverfield.
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio Ciné Live.
Excessif
Laisse-moi entrer se trouve astucieusement transposé à la sauce américaine. Il garde l'essence de ce que nous avions déjà apprécié par le passé, la surprise de la découverte en moins.
Filmsactu
Les paradoxes étant ce qu'ils sont, Laisse-moi entrer est donc un bon film pour ceux qui n'auraient pas vu le film original Morse, mais sans trop d'intérêt pour les autres puisque forcément inférieur...
L'Express
Voir la critique de L'Express.
Le Journal du Dimanche
(...) Laisse-moi entrer se révèle une excellente surprise.
Ouest France
(...) on aurait tort de bouder le plaisir de cette nouvelle version.
Première
(...) mise en scène élégante (...).
TéléCinéObs
Contre toute attente, le remake de Matt Reeves, s'il n'était pas nécessaire, possède un certain mordant.
Critikat.com
Étrange objet mimétique, Laisse-moi entrer se présente comme une relecture fade et disciplinée du chef d'oeuvre suédois multi primé en festival, Morse. Mais pourquoi un remake ?
Télérama
Ce remake hollywoodien se démarque de l'original suédois par une stupide surenchère gore, tout en édulcorant sa vision de l'adolescence.
Cahiers du Cinéma
Il se produit là, entre la sécheresse originelle du matériau et sa relecture inutilement plus aimable, un grand écart dont le film ne se relève pas vraiment.
Les Inrockuptibles
Ce remake (...) ajoute au glacis prévisible d'inutiles explications.