Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
19 critiques presse
Metro
par Mehdi Omaïs
Doté d'un budget de 175 millions, cette superproduction enchaîne un peu trop les clichés sur les films de combat. Il n'empêche que le spectateur bienveillant devrait trouver dans cet honnête spectacle de quoi se mettre sous la dent.
La critique complète est disponible sur le site Metro
CinemaTeaser
par Emmanuelle Spadacenta
"47 Ronin" est déchiré entre le besoin de plaire au plus grand nombre et la déférence à son sujet.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Ecran Large
par Simon Riaux
Si Keanu Reeves nous revient la lame émoussée, le déshonneur annoncé n'est pas au rendez-vous.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Ce magnifique livre d’images, en 3D "gonflée" assez efficace, reste malheureusement dénué d’émotion.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Ecran Fantastique
par Yann Lebecque
Le résultat mêle un certain classicisme et une belle construction des personnages à une efficacité narrative lorgnant du côté des meilleurs films d'action. (...) "47 Ronin" constitue un pur divertissement, superbement mis en image.
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
Cette superproduction élégante, riche en effets spéciaux et en combats habilement chorégraphiés, dépoussière le film de samouraï et marque le retour d'un Keanu Reeves au meilleur de sa forme.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Noémie Luciani
Le réalisateur de publicité Carl Erik Rinsch fait des débuts trébuchants dans le cinéma de fiction. Un plaisir régressif est néanmoins envisageable (avec modération).
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Michael Ghennam
Pour son premier long métrage, Carl Rinsch livre une fresque ambitieuse mais inaboutie, à la narration bancale.
Les Inrockuptibles
par Romain Blondeau
Keanu Reeves jette ses dernières forces dans une série B imparfaite mais attachante.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Mad Movies
par Laurent Duroche
Magnifique lorsqu'il déploie ses décors en dur, hideux dès qu'il nous balance des paysages en CGI, "47 Ronin" est typiquement le genre de projet schizo qui se trimballe une infâme réputation, mais dont il serait dommage de gommer les réelles qualités qui en font un B friqué jamais malhonnête, et surtout jamais cynique.
Positif
par Hubert Niogret
Cette première réalisation d'un maître de clips pour publicités de voitures est une cuisine «fusion» que vont aimer les adolescents (...).
Télé 7 Jours
par Philippe Ross
Une superproduction un rien bancale, mais pas désagréable (...).
TéléCinéObs
par Nicolas Schaller
Sous le récit gloubi-boulga, la mise en scène branlante et un Keanu Reeves transparent - dont le rôle a été greffé à l'histoire originelle pour séduire le public occidental - percent une ambition épique et quelques beaux moments qui font plaisir à voir. Le reste, moins.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Première
par Gérard Delorme
Ce n'est pas le mauvais goût qui est en cause mais plutôt l'inculture, l'amnésie volontaire et l'arrogance des cadres du studio, aveuglés par leur foi exclusive dans les études de marché et leur mépris des spectateurs.
Studio Ciné Live
par Christophe Chadefaud
Voir le site de Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
TF1 News
par Romain Le Vern
"47 Ronin" est typiquement le film malade rompu aux compromis : on a l'impression que tout le monde a voulu donner son avis pendant le tournage et le montage et qu'en voulant plaire à tout le monde, le résultat provoque beaucoup de frustration.
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
aVoir-aLire.com
par Jean Dupuy
Malgré un final convenable et une direction artistique soignée, "47 Ronin" ressemble à une série B n’assumant pas son statut de blockbuster. Un film sous anesthésie émotionnelle où l’écho des mots est plus fréquent que l’éclat des sabres.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Chronic'art.com
par Sébastien Bénédict
C’est con comme tout, académique et spectaculaire tout ensemble, malgré des effets-spéciaux gonflés in extremis en 3D pour un effet calamiteux de cinématique bâclée qui flirte avec le nanar.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Télérama
par Jérémie Couston
Résultat : un désastre financier (150 millions de dollars de pertes) et artistique, pour un film sans âme, technologiquement anachronique et plastiquement vulgaire.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Metro
Doté d'un budget de 175 millions, cette superproduction enchaîne un peu trop les clichés sur les films de combat. Il n'empêche que le spectateur bienveillant devrait trouver dans cet honnête spectacle de quoi se mettre sous la dent.
CinemaTeaser
"47 Ronin" est déchiré entre le besoin de plaire au plus grand nombre et la déférence à son sujet.
Ecran Large
Si Keanu Reeves nous revient la lame émoussée, le déshonneur annoncé n'est pas au rendez-vous.
Franceinfo Culture
Ce magnifique livre d’images, en 3D "gonflée" assez efficace, reste malheureusement dénué d’émotion.
L'Ecran Fantastique
Le résultat mêle un certain classicisme et une belle construction des personnages à une efficacité narrative lorgnant du côté des meilleurs films d'action. (...) "47 Ronin" constitue un pur divertissement, superbement mis en image.
Le Journal du Dimanche
Cette superproduction élégante, riche en effets spéciaux et en combats habilement chorégraphiés, dépoussière le film de samouraï et marque le retour d'un Keanu Reeves au meilleur de sa forme.
Le Monde
Le réalisateur de publicité Carl Erik Rinsch fait des débuts trébuchants dans le cinéma de fiction. Un plaisir régressif est néanmoins envisageable (avec modération).
Les Fiches du Cinéma
Pour son premier long métrage, Carl Rinsch livre une fresque ambitieuse mais inaboutie, à la narration bancale.
Les Inrockuptibles
Keanu Reeves jette ses dernières forces dans une série B imparfaite mais attachante.
Mad Movies
Magnifique lorsqu'il déploie ses décors en dur, hideux dès qu'il nous balance des paysages en CGI, "47 Ronin" est typiquement le genre de projet schizo qui se trimballe une infâme réputation, mais dont il serait dommage de gommer les réelles qualités qui en font un B friqué jamais malhonnête, et surtout jamais cynique.
Positif
Cette première réalisation d'un maître de clips pour publicités de voitures est une cuisine «fusion» que vont aimer les adolescents (...).
Télé 7 Jours
Une superproduction un rien bancale, mais pas désagréable (...).
TéléCinéObs
Sous le récit gloubi-boulga, la mise en scène branlante et un Keanu Reeves transparent - dont le rôle a été greffé à l'histoire originelle pour séduire le public occidental - percent une ambition épique et quelques beaux moments qui font plaisir à voir. Le reste, moins.
Première
Ce n'est pas le mauvais goût qui est en cause mais plutôt l'inculture, l'amnésie volontaire et l'arrogance des cadres du studio, aveuglés par leur foi exclusive dans les études de marché et leur mépris des spectateurs.
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio Ciné Live.
TF1 News
"47 Ronin" est typiquement le film malade rompu aux compromis : on a l'impression que tout le monde a voulu donner son avis pendant le tournage et le montage et qu'en voulant plaire à tout le monde, le résultat provoque beaucoup de frustration.
aVoir-aLire.com
Malgré un final convenable et une direction artistique soignée, "47 Ronin" ressemble à une série B n’assumant pas son statut de blockbuster. Un film sous anesthésie émotionnelle où l’écho des mots est plus fréquent que l’éclat des sabres.
Chronic'art.com
C’est con comme tout, académique et spectaculaire tout ensemble, malgré des effets-spéciaux gonflés in extremis en 3D pour un effet calamiteux de cinématique bâclée qui flirte avec le nanar.
Télérama
Résultat : un désastre financier (150 millions de dollars de pertes) et artistique, pour un film sans âme, technologiquement anachronique et plastiquement vulgaire.