Je m'attendais à autre chose....une histoire beaucoup plus axée sur la relation du joli couple que forment Jennifer et Gerard. Au lieu de ça, on nous plante une situation bancale qui embringue nos 2 tourtereaux dans une enquête ennuyeuse et lassante. Leurs péripéties essentiellement causées par leur ancienne relation étaient suffisantes pour alimenter les situations cocasses ! Une comédie con-con à oublier !
A moins d'être un fan inconditionnel de Jennifer Aniston, on peut faire sans problème l'impasse sur cette comédie américaine assez insipide au scénario sans aucune originalité. Quant à Gérard Butler qui joue aux côtés de la belle Jennifer, il est assez déplorable et possède le charisme d'un barreau de chaise. Un film inutile et ennuyeux signé Andy Tennant.
Un scénario simple mais auquel on se laisse facilement prendre. Aniston et Butler c'est frais, léger, assumé.. bref le duo fonctionne et nous donne une comédie plaisante qui se regarde plutôt bien.
Deuxième comédie de l’été pour Jennifer Aniston, dans "Le Chasseur de Primes" elle incarne une journaliste choisissant un scoop au lieu de se présenter au tribunal. Elle devient par cet oubli la proie des chasseurs de primes dont fait partie son ex-mari qui tient ainsi sa revanche. Il avait surpris son monde en mettant en scène la comédie romantique innovante "Hitch, Expert en Séduction", cette fois-ci Andy Tennant passe complètement à côté en réalisant cette comédie plus que pauvre et spécialement calibrée pour sortir pendant les vacances d’été. Gerard "Leonidas" Butler enchaine une nouvelle fois une comédie pour essayer de changer son image du guerrier mais ne fait toujours pas preuve de discernement quand il s’agit de choisir le bon script, quant à Jennifer Aniston, elle rejoint Katherine Heigl dans le catalogue des actrices préposées aux comédies sans inventivités. C’est navrant de voir le charme et le talent de cette actrice gâché dans ce genre de production. Vous l’aurez donc comprit, "Le Chasseur de Primes" est le genre de film que l’on oubli très vite.
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2,5
Publiée le 29 juillet 2019
Le chasseur de primes et l'emmerdeuse! Ce gentil divertissement à l'amèricaine est surtout un prètexte pour mettre en valeur le duo Gerard Butler-Jennifer Aniston dont l'alchimie fonctionne, et ce dès la scène d'ouverture! Un film d'une agrèable banalitè mais Butler est tellement drôle dans ce registre qu'il rend l'histoire vraiment distrayante! La suite est telle que vous l'imaginez! Après un apprivoisement rèciproque, le chasseur de primes et son ex-femme vont retomber amoureux et rèsoudre l'ènigme entre gags, action et romance! Avec au passage une amusante rèplique de Butler à Aniston: "Tu vois, je ne suis pas un bon inspecteur, je n'arrive même pas à te cerner"...
Jennifer Aniston les accumule les romances à deux francs six sous, à chaque fois on se dit que c'est la dernière. C'est prévisible mais à chaque fois on se laisse aller à rêvasser que le Grand Amour existe. Finalement rien de neuf mais sympa quand même.
Un bon petit film sympa à regarder, même si on reste dans le "classique comédie romantique US", il est tout de même intéressant. Un très bon duo pour le film et pas mal d'humour.
j'ai bien aimé mais j'avoue quelque chose, c'est que le couple Aniston/Butler ne m'a absolument pas convaincue.l'histoire est sympa, les gags sont assez marrants mais bon... Un divertissement qui se laisse regarder une fois...
encore une enieme comedie americaine amusante mais lourd et encore une enieme comedie avec jennifer aniston. bonne idee de scenario. cela reste juste amusant.
Enième comédie d’une pauvreté affligeante pour Jennifer Aniston, dommage, elle mériterait mieux mais je crains à force d’accepter des films pour maintenir son train de vie, elle soit estampillée « Actrice à comédie affligeante » comme « Le mytho » dernièrement... quoique... L’insignifiante intrigue policière est d’une pauvreté affligeante... Bref, une comédie soi-disant romantique... d’une pauvreté affligeante... je l’ai déjà dit ? Pardon, qu’est-ce qu’on peut se répéter avec ce genre de comédie... Après tout, que peut-on dire de plus ? Je sais, ma critique est d’une pauvreté affligeante ! A qui la faute ? Hein !