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    Solaris
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    114 critiques spectateurs

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    Acidus
    Acidus

    721 abonnés 3 709 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 9 mars 2014
    Avant même "Stalker" (1979), Andreï Tarkovski avait déjà abordé l'univers de la science fiction avec ce "Solaris". Pas de doute à avoir, "Solaris" est du pur Tarkovsky dont on retrouve la manière de faire, son style cinématographique lent et hypnotique. Pourtant ici, cette lenteur se traduit parfois par des longueurs. Effectivement, si le rythme lent adopté par le réalisateur soviétique peut sublimer, accentuer une atmosphère envoutante et perturbante, il peut également provoquer un effet soporifique. Cette limite est malheureusement dépassée assez souvent et nuit à un scénario travaillée et une réflexion poussée. "Solaris" plaira surement au adeptes du cinéma de Tarkovsky et aux personnes à la recherche d'un film de SF sortant de l'ordinaire.
    NeoLain
    NeoLain

    4 971 abonnés 4 741 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 10 mars 2014
    Un messie du cinéma. Tarkovski s'envole encore et encore et toujours plus haut puisque son troisième long-métrage est de la science fiction. Solaris, adaptation du bouquin de Stanislas Lem. Solaris c'est la réponse qui s'adresse à un autre chef-d'oeuvre, 2001 de Kubrick. Tarko à en somme voulu communiquer avec lui, et lui répond avec ce message. Solaris, le 2001 russe. Ici, l'amour, les sensations et sentiments prime plus que tout. La condition de l'homme, ses doutes, ses peurs, sa souffrance, l'existence de l'espèce humaine est-elle contrôler par une force ? Solaris est une planète contenant un lac qui change de couleur et se fond dans les âmes. Les souvenirs qui nous hantent, la perte d'une femme etc... Acteurs formidables, la nature, le confinement, les sons, c'est long, c'est lent, mais l'atmosphère nous happe. Laissez-vous plongez dans le profond, complexe et simple à la fois, Solaris inonde de passage envoutant comme celui ou Tarko ose en filmant une immersion-autoroute sous une durée assez longue, puis la scène en apesanteur. Que dire également du passage ou le corps de la femme est en phase de résurrection, d'un réalisme inouï (je n'ai pas vu mieux dans le domaine, c'est pour dire). Solaris est une aura intemporelle, elle cessera pas de vous massez l'esprit, ce qui implique plusieurs visionnage du film. Palpable à son paroxysme comme son réalisateur, Tarkovski rentre définitivement dans mes best réalisateurs all-time.
    Pierre L.
    Pierre L.

    20 abonnés 73 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 5 novembre 2016
    En pleine découverte de l'Oeuvre d'un des plus grands cinéastes de tous les temps, je m'attaque donc à Solaris, le film qui, de premier abord, m'attirait le plus. Ne sachant pas trop à quoi m'attendre, je n'avais pas vraiment d'apriori, seulement qu'il s'agit discrètement d'un des plus grands films de science-fiction qu'il soit dans notre monde ; comme étant la réponse soviétique de "l'inégalable" 2001, l’Odyssée de l'espace de Kubrick. "Discrètement" lui va bien car il est vrai qu'Andreï Tarkovski fait sans conteste partie de ces grands au talent unique et aux ambitions débordantes, marquant ainsi de leur patte éternelle l'évolution du cinéma depuis ses débuts, mais cela sans une seule fois entrer dans exigences du show-business. Andreï Tarkovski a donc su rester un artiste à part entière tout au long de sa carrière.

    Enclenchant l'introuvable DVD (tout de même emprunté à la bibliothèque du coin), je commence enfin le film et mets en éveil tous mes sens dans les meilleures conditions possibles. Ce que j'en retiens principalement et en quelques mots sont ces longueurs, preuves d'une technicité véritable et propre au réalisateur. Non pas qu'elles sont lassantes, bien au contraire, ces longueurs nous permettent de nous laisser doucement mais surement absorber par cette ambiance ô combien indescriptible. Une ambiance unique, que l'on ne retrouve nulle part ailleurs et qui produit son effet. Car pendant tout ce temps, nous nous demandons où nous sommes et qu'est-ce qui nous a pris de nous lancer sur quelque chose de tel.

    Bien sur, le mot "longueur" est dénué du moindre sens tel que je l'ai décrit. Mais il suffit de le voir. Chaque prise doit durer en moyenne quatre à cinq minutes. Certaines doivent même dépasser les dix minutes. Tout ce temps devant un décor empli de sobriété mais à la fois d'une richesse débordante. La séquence des tunnels sur les voies de Tokyo, la contemplation d'une Solaris hypnotique, les souvenirs et regrets du héros, manipulé par cet astre... Un tout qui nous laisse de glace et nous perd entre le rationnel et l'irrationnel, le rêve et la réalité. On se retrouve bien là devant quelque chose d'intemporel auquel il en ressort en plus une sorte de mysticisme, mettant en éveil nos sens de manière totalement inédite. Une fascination naît dès les premiers instants et nous questionne sur nos propres tourments existentiels, développe notre imagination et alimente nos rêves et nos fantasmes. Tel est, je le pense, le but de son Oeuvre, et de ce film.

    Solaris d'Andreï Tarkovski est, en soi, un film impossible à noter. Il laisse le spectateur parfois perplexe à la fin de sa visualisation mais incite à la réflexion et permet une ouverture d'esprit et d'imagination telle qu'il n'est en aucun cas dédaignable. Sa complexité philosophique et sa perfection esthétique le qualifie d'emblée comme une oeuvre unique, munie d'une identité inimitable et irréductible, difficilement accessible. Tarkovski lui-même considère son film comme étant le moins réussi de sa carrière, tant ses enjeux sont complexes. Il m'a fallu environ six mois pour que je m'en fasse une idée précise. Et je surnage encore...
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 26 novembre 2013
    "Mieux vaut tard que jamais. Voir Solaris est un voyage sans retour possible. La lenteur du film (45 min pour l'exposition de l'intrigue) permet une imprégnation des scènes par le spectateur comme faisant partie de ses souvenirs, et le prépare à une véritable odyssée intérieure. Tout dans ce film met à bas les poncifs du cinéma hollywoodien, en proposant une proximité jamais vue."
    QuelquesFilms.fr
    QuelquesFilms.fr

    268 abonnés 1 639 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 20 novembre 2013
    Lent et contemplatif. Fascinant et probablement déroutant pour qui n'a pas lu le roman source de Stanislaw Lem. Complexe, donc, mais globalement moins hermétique que bien des films de Tarkovski.
    Le genre de la science-fiction semblait a priori éloigné de l'univers du cinéaste qui avait signé précédemment L'Enfance d'Ivan et Andreï Roublev. Mais voici ce qu'il en disait : "En une époque aussi dépourvue de spiritualité que la nôtre, c'est un substitut valable, qui peut jouer un peu le même rôle que l'art religieux en d'autres temps." Au final, avec 2001 : l'odyssée de l'espace, Solaris apparaît comme l'un des fleurons de la SF métaphysique. C'est aussi, en quelque sorte, la réponse russe au film américain de Kubrick, sorti quatre ans auparavant, en pleine période de conquête spatiale et de tension internationale.
    Tarkovski adapte assez fidèlement le bouquin de Lem, à l'exception notamment du prologue (situé dans la propriété familiale de Kelvin, alors que le roman commence par le voyage spatial), de la première apparition d'un "visiteur" dans la station (une fillette au lieu d'une grande femme noire) et de la scène d'anniversaire dans la bibliothèque (contemplation d'un tableau de Bruegel et moment d'apesanteur ne figurant pas dans le livre). Le discours scientifique est synthétisé et sert de tremplin à une réflexion sur le rapport de l'homme à l'inconnu. "L'homme et la conscience humaine rencontrent dans l'espace des phénomènes inconnus, disait Tarkovski. Mais quelle est la mesure de la morale pour définir le visage humain dans ce nouveau système de coordonnées ? Comment rester un homme dans une situation inhumaine ?" Parmi les phénomènes rencontrés sur Solaris, il y a l'apparition de ces "visiteurs", matérialisation des souvenirs que les hommes gardent de personnes connues, vivantes ou mortes, projections de leur mauvaise conscience ou de leur inconscient. Ainsi le personnage de Kelvin retrouve-t-il à ses côtés sa femme, qui s'était suicidée dix ans plus tôt. Cette belle idée dramatique accouche de quelques scènes illustrant l'opposition entre raison et sentiment, le poids de la culpabilité, les forces de l'inconscient. Face à l'inconnu et à l'incompréhensible, il est aussi question du savoir humain et de ses limites, de la prétention des hommes à vouloir tout maîtriser (y compris ce qui les dépasse), de leur volonté d'étendre les limites de la Terre à l'immensité du cosmos.
    En matière de style, le réalisateur joue la carte d'une austérité symbolique, à mille lieues des canons spectaculaires du genre. Le résultat est d'une beauté singulière. Rythme envoûtant, filtres de couleur, images quasi abstraites de liquides et brouillards en mouvement. Tout cela sur une musique empruntée à Bach, avec quelques références picturales (Bruegel) et littéraires (Faust, Don Quichotte ; Dostoïevski, Tolstoï).
    Le film a connu un accueil réservé en URSS à sa sortie, mais fut récompensé à Cannes du Grand Prix spécial du jury en 1972. Une autre adaptation du roman de Stanislaw Lem a vu le jour trente ans plus tard, réalisée par Steven Soderbergh, avec George Clooney dans le rôle principal.
    S M.
    S M.

    34 abonnés 557 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 3 novembre 2013
    "Solaris" est en quelque sorte la version russe de "2001, l'Odyssée de l'espace". Malgré quelques longueurs et certains effets spéciaux vieillissants, il reste un chef-d'oeuvre. Poétique, métaphysique, il arrive à capter le spectateur pendant ses 2h30. Les acteurs sont tous très bons et délivrent des messages et sentiments forts. C'est sûr, il reste un film spécial et n'est pas du goût de tous. A voir et à revoir.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 24 octobre 2013
    Malgré l'âge du film, le côté kitch des décors, le scénario pose une profonde réflexion sur la condition humaine. A voir.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 24 août 2013
    Ce film de l'époque Soviétique est aussi hallucinant que Stalker. Les Russes disposaient de moyens énormes pour tourner des scènes réalistes dans des décors pratiquement grandeur nature. Pour Stalker, tout une vallée avait été aménagée afin de ressembler à une zone ravagée et dépeuplée. Dans Solaris, la station spatiale est gigantesque et les vues sur la planète, produites par des effets argentiques combinant de multiples images d'océan aux couleurs virées par développement spécial avec des incrustations par cache manuel, photogramme par photogramme, dépassent tout ce que le cinéma occidental pouvait produire en 1972.
    La technique et la photographie sont très léchées, la bande son originale est envoutante.
    Maintenant la mise en scène est ... Et bien ... Comment dirai-je ... Elle est Russe.
    Elle ne s'adresse pas à des spectateurs speedés aux amphétamines neuro-synthétiques de l'économie de marché, qui ne sauraient plus lire "Les misérables" de Victor Hugo sans le balancer au bout de trois lignes, ou qui ne supportent plus un dialogue de plus de 20 secondes sans explosion.
    Les personnages sont complexes, l'intrigue est musclée (cérébralement parlant). Le livre d'origine n'a pas été écris par les nègres* d'Alain Minc (* "nègre" en littérature n'a pas de connotation raciste, il s'agit d'auteurs qui écrivent anonymement pour d'autres, plus connus.)
    Il faut donc regarder cette version de Solaris par Tarkovski en se régalant des images, des prises de vues, mais aussi de l'histoire. Celle-ci demande un léger effort pour être comprise.
    Au même titre que "2001 l'Odyssée de l'espace", que "Stalker", que "Blade Runner", que "Dune" et enfin "A.I.", "Solaris" est un vrai film de SF sans les références classiques. Ils sont uniques et par là même, ils sont dérangeants et loins des blockbusters CGI dans lesquels : "On pète la gueule des E.T. mon colonel, Ouaiiiii !!!"
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 7 juillet 2013
    Du Bruno Dumont en pire... Pas un plan, pas une idée de cinéma ne me tient éveillé dans cet objet. Celui de Soderbergh, au moins, ne durait qu'une heure trente...
    djacno T.
    djacno T.

    37 abonnés 858 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 13 juillet 2013
    Contrairement à son remake hollywoodien, Solaris est plein de couleurs et de poésie.
    Malgré le nombre des années, la magie fonctionne toujours.
    L'implication des acteurs et la beauté des dialogues donnent tout son sens à ce chef d'oeuvre du cinéma soviétique. Incontournable.
    A travers les décors, on voit que le film a directement inspiré les grands blocks buster sf hollywoodiens: Star Wars, Alien, Blade Runner, Avatar..............................
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 17 décembre 2013
    Avec "Solaris" Tarkovski répond en 1972 à "l'Odyssée de l'espace" de Kubrick ainsi que l'atteste la référence au nouveau-né long de 5 mètre présent dans l'espace sidéral. Mais derrière ce clin d'oeil amusé à la fin assez absconse de "l'Odyssée", se cache un film à l'opposé de celui de Kubrick. Ici, le recours à la SF et au sous-genre "film spatial" est surtout un prétexte au développement low cost d'une méditation esthétique et ontologique centrée sur la thématique des amours mortes. Chez le maitre russe, la scène attendue des mouvements en apesanteur devient un sommet de romantisme servi par le choral de Bach "ich ruf zu dit Herr Jesu Christ" au cours duquel Chris, le héros apparemment cartésien du récit, fusionne avec son amour ressuscité dans l'espace des possibles que constitue la base stellaire. Ainsi, c'est avant tout la conscience du héros qui s'ouvre dans l'inquiétante étrangeté de la SF, et, en filigrane, celle du spectateur. Un chef d'oeuvre élégiaque à voir et revoir pour tous les amoureux pensifs du cinéma.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 11 mars 2013
    L'un des chef-d'oeuvre du grand maître russe, peut-être le plus grand maître du cinéma. Evidemment, la comparaison avec "2001, l'Odyssée de l'Espace" est vite devenue un lieu commun, d'autant que Tarkovski fait ce film en réponse au "matérialisme" de 2001. Pourtant, les deux films n'ont rien à voir. Ici, Tarkovski cherche, comme à son habitude, à faire un film sur une destinée humaine, beaucoup moins glacial que "2001", et beaucoup plus poétique. Evidemment, Tarkovski n'avait pas les moyens de s'approcher du niveau d'effets spéciaux de Kubrick, mais il ne me semble pas que ce soit un argument pour disqualifier ce film, étant donné que le but n'est pas d'en mettre plein la vue, mais de montrer un visage humain, là où Kubrick s'intéresse surtout à l'esthétique des objets. L'histoire est magnifique (la fin !), les images sont belles sous tout points de vue. Film à voir absolument.
    Skipper Mike
    Skipper Mike

    85 abonnés 650 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 3 mars 2013
    Une claque ! Ce film est immense dans tous les sens du terme. Ses personnages sont attachants, leur psyché explorée avec profondeur et réalisme, dans ce qui est pourtant un film de science-fiction qui n'en reste pas moins spectaculaire ! Si Тарковский souhaitait s'éloigner du "2001 : L'Odyssée de l'Espace" de Kubrick, son aspect métaphysique l'en rapproche finalement beaucoup. Dès le début et avant même qu'on ait un aperçu de Solaris, les promesses sont gigantesques, dans ce qui transparaît dans les dialogues entre les protagonistes. Le mystère est envoûtant dès les premières scènes, amères et mélancoliques (voir les scènes muettes en voiture). Et dès l'arrivée dans la base, on est submergé par l'étrangeté du lieu, son caractère oppressant et pourtant libérateur, comme un paradis et un enfer réunis. Les acteurs, psychologiquement torturés, sont tous exemplaires et impressionnants – notamment Наталья Сергеевна Бондарчук, qui interprète la femme damnée du scientifique –, et provoquent un violent impact émotionnel. De par sa profondeur, "Solaris" annonce déjà "Blade Runner", mais sa portée dépasse le cadre de la science-fiction. Un des meilleurs films de tous les temps, dont l'admirable conclusion est digne de rester dans les mémoires à jamais.
    Max Rss
    Max Rss

    198 abonnés 1 767 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 13 mars 2019
    Le «Solaris» d'Andreï Tarkovski, lors de sa sortie a été considéré comme l'équivalent soviétique du «2001, l'Odyssée de l'espace» de Stanley Kubrick. Et pourtant, comparer les deux films ne serait pas forcément un raisonnement judicieux. En effet, celui de Tarkovski est une étude des sentiments humains, beaucoup sont abordés: la souffrance, la nostalgie du passé, l'amour perdu puis retrouvé, le thème de l'inconscient. Tout débouche sur des réflexions philosophiques auxquelles il est difficile de se raccrocher tant elles sont profondes, tant elles nous dépassent. Là où le "2001" de Kubrick était la démonstration de l'évolution de la technologie à travers l'Histoire. Et surtout, quelle était la maîtrise de l'Homme sur cette technologie en constante évolution. «Solaris» est une oeuvre vraiment à part, puisque l'élément perturbateur est un océan protoplasmique qui a la forme d'un cerveau et qui serait en plus une machine pensante et capable de toutes sortes de miracles. Le tout est filmé par une caméra qui contemplative qui ne laisse pas passer le moindre détail. Mais attention, c'est lent et c'est très long (160 minutes). Deux heures quarante au contenu vraiment très dur à saisir. Tarkovski nous propose une oeuvre à la fois riche, intéressante, complexe et parfois plombante dont la vision est une expérience cinématographique à ne pas manquer.
    Kill-Jay
    Kill-Jay

    67 abonnés 928 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 13 novembre 2012
    C'était l’œuvre que Tarkovski avait le moins en estime dans sa filmographie ? Je le comprends largement ! Je suis désolé si je n'ai pas compris la beauté et la subtilité de ce film, mais franchement je me suis ennuyé pendant une heure... Pour ensuite quitter la salle de cinéma d'où il était projeté. Peut-être aurais-je dû faire l'effort de la regarder jusqu'à la fin mais je n'ai pas pu. Pour la première fois de ma vie devant un film, je me suis demandé ce que je faisais là, et un sentiment d'incrédulité m'a envahit. C'est long, c'est soporifique, ça tourne autour du nombril. Bref ça m'a suffit amplement, le seul petit point positif que je trouverai à dire c'est que les acteurs sont plutôt bons.
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