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sunshine1
98 abonnés
441 critiques
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4,0
Publiée le 16 juillet 2009
Ce film me fait pensé au trés bon LA DERNIERE MAISON SUR LA GAUCHE . C est un film sombre et violent, d’autant plus violent peut-être que les scènes sont particulièrement réalistes. Les acteurs sont également très crédibles pour un film qui date...A sa sortie ,il a du surement faire polémique pour ses scénes de viols et sa sauvagerie barbares ...comme Wes Craven qui défrayait la chronique avec sa dernière maison sur la gauche il y a près de 40 ans .
Oeuvre culte? Je ne pense pas... Très amateur dans sa fabrication LAST HOUSE est un prémisse au torture porn sans second degré. Issu d'un réal' de porno apparement vénerr, le film questionne maladroitement nos pulsions dans un scénario sans queue ni tête, instaurant quelques bouts de thématiques intéressantes (les masques, le rapport de l'artiste à la violence, du public à la violence, l'évolution du voyeurisme et des pulsions malsaines) mais toujours déliées les unes des autres. Les cadrages et la qualité d'image ainsi que les doublages pourris de la VO n'aident pas vraiment à accrocher au film qui rebutera même les plus ardents cinéphages. Reste un objet film qui propose quelques instants fascinant (l'éviscération de Palmer sur un drap est assez choquante même aujourd'hui), mais plus vraiment efficace. A n'adresser qu'au cinéphiles qui veulent tout voir du Z d'horreur (même quelques purges), les autres matez Cannibal Holocaust, c'est tout aussi mal foutu mais bien plus trash.
Après s’être adonné au cinéma porno underground, Terry Hawkins décide de franchir une étape supplémentaire et de repousser les limites en se lançant dans le snuff-movie…
Précédée d’une réputation sulfureuse (pendant longtemps, on a cru à un véritable snuff), Last House On Dead End Street (1973) est le tout premier film de Roger Watkins. Ce film s’inscrit dans la mouvance des films d’horreur typique des années 70, flirtant entre le côté underground, hippie & jusqu’au-boutiste, tel que La Dernière Maison sur la gauche (1972) de Wes Craven.
Interdit aux moins de 18ans lors de sa sortie en raison des nombreuses scènes sanguinolentes & dérangeantes spoiler: (marquage au fer rouge, égorgement, démembrement à la scie à métaux, éviscération, perceuse électrique dans l’œil, …) , près de 50ans plus tard, force est de constater que ce petit film accuse le poids des années, passant du statut de film trash expérimental à une œuvre léthargique tant cette dernière finie par inlassablement ennuyer le spectateur avec sa musique stridente et ses hurlements à vous faire saigner des tympans.
Budget quasi inexistant, équipe technique & acteurs inexpérimentés et sous LSD pendant le tournage, mise en scène arty et totalement perchée, bien évidemment, il faut prendre le film pour ce qu’il est et le remettre dans son contexte, car si comme moi vous le découvrez près d’un demi-siècle plus tard, c’est plutôt la douche froide.
Un gros Z sans queue ni tête aux moyens anémiques. L'image est dégueulasse, les dialogues sont incompréhensibles, le jeu d'acteurs est exécrable. En bref, une oeuvre bien artisanale assez décevante.
Une très mauvaise série Z moue et inintéressante. "Last House on dead end street" nous livre une histoire d'un homme qui, après une année en prison, décide de tourner des snuff movies (quelle intelligence), pourtant les meurtres et scènes horrifiques sont rare, on a droit à une séance de gore extreme et gratuitement dérangeante mais rien de plus. Le film tourne en rond (encore heureux qu'il ne dure que 1h15), le jeu d'acteur est impardonnable, à la limite d'un film amateur voulant se faire passer pour un film violent experimental mais rien ne marche. Meme si la violence nous rappelera sans probleme l'exelent "La Dernière Maison Sur La Gauche" et meme si certains effet gore sont très réaliste, le film est pourrit par son affreuse qualité d'image, lenteur insuportable, ses viols loin d'être efficaces. Juste inutile est mauvais. 1/5
J'ai eu l'impression d'assister à une expérimentation trashy arty, une sorte de pellicule sans véritable narration mais avec une forte inclination à choquer à tous prix. Impossible d'aimer ou détester cette pièce d'art. C'est comme dans un musée d'art moderne: on peut se poser des tas de questions mais le film ne s'adresse finalement qu'aux tripes avant de s'adresser à l'intellect.
La première question quand on regarde ce film, c'est : "Mais c'est quoi ce truc ?". On hallucine littéralement face ce déluge de violence exacerbée. Mais surtout, même si les effets spéciaux (notamment le démembrement) peuvent paraître primaire, on ne s'en rend pas compte. Et ce, grâce à une ambiance glauque, claustrophobique et malsaine. Le côté granuleux de l'image ajoute à l'atmosphère poisseuse du film. La frontière entre le réel et le fictif est mince, sa réputation de snuff movie est justifié. Il m'est difficile de dire si je l'ai apprécié ou pas. Je pense que ce film est au-delà de ces considérations. Le principal sentiment qui m'accable pendant et après avoir visionné le film est un mal-être profond. Je lui mets donc une note médiane, ni bonne, ni mauvaise. Un film comme on n'en fera et verra jamais plus.
film d'horreur assez spécial mais bien réalisé pour l'époque , ce film est très psychologique et très dérangeant notamment lorsque le personnage principal s'énerve le film devient un tournant + brutal , la musique montre vraiment une atmosphère sordide pendant le changement de situation de ce personnage ,ce film est en partie une réflexion sur les gens lunatiques et sur la conception de l'échec et aussi sur la double personnalité de facon un peu + abstraite . Ce film dérangeant est bien évidemment pas fait pour tous publics ,notamment la musique assez flippante qui pourrai faire peur a plusieurs notamment a la fin du film qui montre la brutalité et l'atrocité du serial killer sans parler des scènes qui sont quand mêmes vraiment dégueulasses pour l'époque la durée du film n'est pas un avantage certes mais cela suffit pour montrer la vitesse a laquelle le protagoniste se met a s'énerver de facon continue ce qui créé dans ce film une profondeur horrifique . C'est aussi une reflexion sur la réaction humaine .
Last house on dead end street est une perle noire dans le cinéma d'horreur. Mais attention !. Ce film est uniquement pour les fans de films d'horreur et de l'étrange. Et voilà pourquoi ; ce film a parcouru plus de vingt ans dans la clandestinité. Un ofni !. Un objet filmique non-identifiable. Le réalisateur avait été traîné en justice par l'actrice du film. Barbara McGraw, l'obligeant à retirer du film les scènes obscènes dans lesquelles elle apparaît. L'affaire a traîné bien une année et pendant qu'il arrivait à survivre en réalisant quelques publicités. Il se fait roulé par son producteur le diffusant d'état en état sans qu'il le sache. En plus, le film a été raccourci d'une bonne demi-heure. Tous les noms dans le générique ont été remplacés par des pseudonymes grossiers et le doublage entièrement refait en une voix off ridicule. Profondément affecté, le réalisateur abandonne son film, devenant sans propriétaire et voué à finir aux oubliettes. Le film va pourtant circulé et être copié de VHS en VHS. Finissant avec les vrais Snuff movies. En 1970, des films en cassettes ( VHS ) circulaient en mettant en scène des vraies images de torture, de viol et de meurtres. Des films interdits, cela se vendait dans le marché noir. On appelle ça des Snuff movies ou Snuff films. Et ce n'est pas des acteurs mais bel et bien des victimes. Ce film de 1972 circulera ainsi jusqu'en 1977. Le film sort de nulle part sous le nom de The fun house. Dans les salles de cinéma, c'est l'émeute !. Aux cinémas de Dallas, Texas. Les spectateurs désorientés par ce film mettent le feu à plusieurs salles. En deux ans, le film s'évapora par l'ombre du film La dernière maison sur la gauche. Le film repart dans l'oubli. Étant donné que le générique a été saboté et ne sachant pas qui est l'auteur. En 1980. Ce film n'est plus qu'une rumeur. Un Graal pour les collectionneurs. Grâce au numérique. Le film devient culte. Les rumeurs les plus folles autour du film désignant comme un authentique Snuff. Last house on dead end street est un film malsain, ultra-violent. En novembre 2000 sur un forum de discussions. Discutant du film. Un mystérieux intervenant se joint à la conversation en cours et dévoile qu'il est l'auteur de ce fucking movay !. Roger Michael Watkins, producteur, scénariste, réalisateur, monteur et interprète principal de Last house on dead end street. Il venait de lever le voile sur l'un des mystères les plus persistants de toute l'histoire du 7ème art. L'histoire du film se déroule ainsi : un homme sortant de prison, réalisateur de porno underground est obsédé par l'idée de repousser les limites de ce qui n'a jamais été filmé. Il va organisé alors une équipe et fera son premier meurtre devant la caméra. Il filme encore des tortures, des humiliations, de la folie, de l'horreur. Le film est radical. Watkins donne l'impression de fondre dans son personnage et de n'être plus qu'un avec l'interprète de son film. Les acteurs sont des potes. La forte consommation d'alcool et de methanphetamines pendant le tournage expliquerait pourquoi Watkins filmait à vif, toutes les perversions lui traversant l'esprit et ses éruptions de colère devant la caméra. Confondant Terry Hawkins ( le nom factice) et Roger Michael Watkins. Avec un budget de 1500 dollars, des amis, de la dope. En trois semaines, Roger accouche un véritable cauchemar sur celluloïde. Un film dangereux et nihiliste. Watkins s'inspira de Orange mécanique et des massacres perpétrés par Charles Manson et ses disciples. Ce film fait partie de ma collection. Il commence par le bruit d'un cœur qui bat. L'atmosphère est glauque dès le début. Il est vraiment dérangeant et une finale abominable. Tout ce qui est techniquement parlant est mal fait, les cadrages, la qualité de l'image, mais c'est ce qui donne encore plus d'hautencitité et de charme à ce film exceptionnel. Roger Michael Watkins finira par faire des films pornographiques. Laissant ce monument de l'horreur. Le plus étrange dans l'histoire du cinéma. Tous les fans de films d'horreur devraient jeter un coup d'œil. Pour les âmes sensibles, fuyez !.