Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
6 critiques presse
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
(...) tout est un peu exacerbé dans Triomf. C'est surtout la métaphore de l'inceste et de la claustrophobie provoqués par l'apartheid qui intéresse Michael Raeburn, (...) "une sorte d'Affreux, sales et méchants africain" explique-t-il.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Critikat.com
par Sébastien Banse
Le film de Michael Raeburn, " sorte d'Affreux, sales et méchants africain ", se penche sur la fin du système de l'Apartheid en Afrique du Sud, quelques jours avant l'élection de Nelson Mandela. Son choix de l'étudier du point de vue des Sud Africains blancs déshérités soulève des considérations intéressantes mais inabouties.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Chronic'art.com
par Vincent Malausa
L'ambition est sympathique, tirant du côté de la satire politique et rendant un hommage hardcore et vitriolé à Affreux, sales et méchants de Scola. Mais le résultat évoque plutôt un mix entre La Colline a des yeux (la galerie white trash de cas sociaux suant la débilité) et Les Simpson.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
TéléCinéObs
par Xavier Leherpeur
Les derniers jours du règne blanc vus par la lorgnette déformante d'une famille de Boers dégénérés, alcooliques, racistes et incestueux. Une charge corrosive qui, faute d'être relayée par une mise en scène digne de ce nom, et desservie par un scénario trop bavard, finit en pétard mouillé.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Télérama
par Jacques Morice
La chronique de cette tribu "white trash" (...) lorgne du côté d'Affreux, sales et méchants mais sans le talent d'Ettore Scola...
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Studio Ciné Live
par Emmanuel Cirodde
Voir le site Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Le Journal du Dimanche
(...) tout est un peu exacerbé dans Triomf. C'est surtout la métaphore de l'inceste et de la claustrophobie provoqués par l'apartheid qui intéresse Michael Raeburn, (...) "une sorte d'Affreux, sales et méchants africain" explique-t-il.
Critikat.com
Le film de Michael Raeburn, " sorte d'Affreux, sales et méchants africain ", se penche sur la fin du système de l'Apartheid en Afrique du Sud, quelques jours avant l'élection de Nelson Mandela. Son choix de l'étudier du point de vue des Sud Africains blancs déshérités soulève des considérations intéressantes mais inabouties.
Chronic'art.com
L'ambition est sympathique, tirant du côté de la satire politique et rendant un hommage hardcore et vitriolé à Affreux, sales et méchants de Scola. Mais le résultat évoque plutôt un mix entre La Colline a des yeux (la galerie white trash de cas sociaux suant la débilité) et Les Simpson.
TéléCinéObs
Les derniers jours du règne blanc vus par la lorgnette déformante d'une famille de Boers dégénérés, alcooliques, racistes et incestueux. Une charge corrosive qui, faute d'être relayée par une mise en scène digne de ce nom, et desservie par un scénario trop bavard, finit en pétard mouillé.
Télérama
La chronique de cette tribu "white trash" (...) lorgne du côté d'Affreux, sales et méchants mais sans le talent d'Ettore Scola...
Studio Ciné Live
Voir le site Studio Ciné Live.