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Edward Yang, chef de file de la Nouvelle Vague taïwanaise, demeure l'un des plus implacables observateurs des mutations économiques et sociales de son pays, des années 1980 au tournant du siècle. Avec la sortie de "The Terrorizers", justice est rendue à sa vision de jeune cinéaste enragé, rebelle, provocateur – assez éloigné de la figure réconciliatrice du Grand Auteur International.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
On est frappé par la fréquence des plans urbains frôlant l'abstraction géométrique, vidés de la figure humaine (à l'instar de (...) "La Nuit" ou de la fin de "L'Eclipse" d'Antonioni) (...). (...) L'oeuvre d'Edward Yang mérite d'être redécouverte (...)
"The Terrorizers" a beau dater d'il y a plus de vingt ans, le film n'en demeure pas moins extrêmement contemporain : il en émane un mystère, une qualité hypnotique et une mélancolie propres à la froideur des métropoles.
La critique complète est disponible sur le site Excessif
Edward Yang décrit un monde où l'on ne fait que se croiser et se séparer. Il capte en direct la naissance d'une nouvelle forme de vie urbaine, marquée par l'instabilité.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Inédit en France, ce troisième long métrage d'Edward Yang (réalisé en 1986, vingt et un ans avant sa mort) manifeste déjà une grande maturité formelle et narrative.
La critique complète est disponible sur le site Première
Imaginaire et réalité finissent par se confondre dans ce thriller existentiel, où percent des regrets, des frustrations, un sentiment d'échec. Mais aussi la renaissance d'une femme, non sans perte et fracas.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Dans ce troisième long métrage, sorti en 1986 mais inédit chez nous, il y a une histoire, ou du moins plusieurs, comme une marqueterie dont on ne comprend pas bien le dessin, entre des couples et un meurtre.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Critikat.com
Edward Yang, chef de file de la Nouvelle Vague taïwanaise, demeure l'un des plus implacables observateurs des mutations économiques et sociales de son pays, des années 1980 au tournant du siècle. Avec la sortie de "The Terrorizers", justice est rendue à sa vision de jeune cinéaste enragé, rebelle, provocateur – assez éloigné de la figure réconciliatrice du Grand Auteur International.
Le Monde
Un art très personnel du récit, une pensée en action.
Les Inrockuptibles
On est frappé par la fréquence des plans urbains frôlant l'abstraction géométrique, vidés de la figure humaine (à l'instar de (...) "La Nuit" ou de la fin de "L'Eclipse" d'Antonioni) (...). (...) L'oeuvre d'Edward Yang mérite d'être redécouverte (...)
Excessif
"The Terrorizers" a beau dater d'il y a plus de vingt ans, le film n'en demeure pas moins extrêmement contemporain : il en émane un mystère, une qualité hypnotique et une mélancolie propres à la froideur des métropoles.
Les Fiches du Cinéma
Edward Yang démarre "Terrorizers" comme un polar, mais nous emmène vite dans l'univers d'Antonioni. Ce film marquant regorge d'inventions plastiques.
Positif
Edward Yang décrit un monde où l'on ne fait que se croiser et se séparer. Il capte en direct la naissance d'une nouvelle forme de vie urbaine, marquée par l'instabilité.
Première
Inédit en France, ce troisième long métrage d'Edward Yang (réalisé en 1986, vingt et un ans avant sa mort) manifeste déjà une grande maturité formelle et narrative.
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio Ciné Live.
Télérama
Imaginaire et réalité finissent par se confondre dans ce thriller existentiel, où percent des regrets, des frustrations, un sentiment d'échec. Mais aussi la renaissance d'une femme, non sans perte et fracas.
Libération
Dans ce troisième long métrage, sorti en 1986 mais inédit chez nous, il y a une histoire, ou du moins plusieurs, comme une marqueterie dont on ne comprend pas bien le dessin, entre des couples et un meurtre.