Singularités d'une jeune fille blonde : Critique presse
Singularités d'une jeune fille blonde
Note moyenne
3,7
19 titres de presse
Cahiers du Cinéma
Chronic'art.com
Le Monde
Les Inrockuptibles
Libération
Positif
Studio Ciné Live
20 Minutes
Dvdrama
L'Humanité
Le Figaroscope
TéléCinéObs
Télérama
La Croix
Charlie Hebdo
L'Express
Première
Brazil
Studio Ciné Live
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
19 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Charles Tesson
Singularités d'une jeune fille blonde pourrait s'appeler, en paraphrasant un des films d'Oliveira, Non, ou la vaine gloire d'aimer, tant l'amour commande tout, même si son commandement est parfois cruel.
La critique complète est disponible sur le site Cahiers du Cinéma
Chronic'art.com
par Jean-Sébastien Chauvin
Singularités d'une jeune fille blonde n'est pas qu'une rêverie éthérée, (...). C'est aussi, à sa manière, un petit pamphlet social et politique sur la bêtise de l'honnêteté, ou du moins sur la propention des hommes à confondre honnêteté et soumission.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Le Monde
par Jean-François Rauger
Singularités d'une jeune fille blonde touche ainsi au coeur même de l'art cinématographique.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Amélie Dubois
Plastiquement époustouflante, la mise en scène d'Oliveira nous absorbe, nous aspire du début à la fin.(...) Nul doute, le cinéma n'est jamais aussi beau que lorsqu'il s'écrit avec trois fois rien (...)
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Philippe Azoury
Le film est (...) un mélange perpétuellement étrange d'ironie sèche, de férocité avouée et de mélancolie pure.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Franck Kausch
Toute la finesse du film est de faire contrepoint ç cette frénésie du jeu et du sort.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Studio Ciné Live
par Thomas Baurez
(POUR) - Voir le site de Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
20 Minutes
par Stéphane Leblanc et Sakurako Uozumi
Avec une économie de moyens qui renforce l'efficacité de son récit, Oliveira signe (...) une fable toute simple, à la fois cruelle et très amusante parce qu'elle prend constamment à contrepieds les désirs de son héros et les attentes du spectateur.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Dvdrama
par Gwenael Tison
Malgré son âge, Manoel de Oliveira n'a rien perdu de son talent, ni de son acuité à radiographier la société portugaise actuelle.
La critique complète est disponible sur le site Dvdrama
L'Humanité
par Vincent Ostria
La conclusion (...)est au diapason du contexte (...) tableau vivant, objet de fascination, dont Oliveira fait le " punctum ", au sens barthésien, d'une oeuvre délicate se maintenant dans un équilibre parfait entre littérature et peinture.
Le Figaroscope
par La Rédaction
Un conte au charme désuet et au rebondissement final savoureux, adapté d'une nouvelle d'Eça de Queiroz, le contemporain portugais de Zola, par le cinéaste centenaire Manoel de Oliveira.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
TéléCinéObs
par Xavier Leherpeur
Par son contenu, sa construction géométrique, son jeu de lumière ou son effet de perspective, chaque cadre prend le relais du scénario pour étoffer l`écriture toute en opacité et contradictions des personnages. Du grand cinéma.
Télérama
par Jacques Morice
(...) délicieux récit d'apprentissage (...) Avec presque rien, Oliveira nous transporte - en train ou à travers l'imaginaire. (...) C'est simple comme bonjour, fluide, intemporel (...) Le contraire d'une leçon : un geste de cinéma détaché.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
La mise en scène dépouillée, le réalisateur allant jusqu'à priver de musique hormis celle qu'interprète la harpiste, accentue la sobriété et la concentration autour du récit faussement transparent.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Charlie Hebdo
par Jean-Baptiste Thoret
(...) la drôlerie involontaire du jeu des acteurs (...) sauve cette toute petite chose filmique de la platitude intégrale (...)
La critique complète est disponible sur le site Charlie Hebdo
L'Express
par Julien Welter
L'histoire est à prendre comme une récréation, dont l'aspect désuet séduira les amateurs de bibelots. Mais seulement eux.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Première
par Didier Roth-Bettoni
Le dernier film de Manoel de Oliveira est à cheval sur plusieurs temps (...) une métaphore de la difficile adaptation du centenaire à son époque (...) et son cinéma : est-il archaïque ou moderne, avec ses cadres fixes, ses acteurs sentencieux (...)
La critique complète est disponible sur le site Première
Brazil
par Jean-Sébatien Thirion
Les minutes s'égrènent lentement comme dans un sablier bouché. Certains trouveront le film bouleversant, (...), les autres se seront endormis bercés par le son d'une lyre qui, aux dernières nouvelles, aurait remplacé l'escudo.
La critique complète est disponible sur le site Brazil
Studio Ciné Live
par Sandra Benedetti
(CONTRE) - Voir le site de Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Cahiers du Cinéma
Singularités d'une jeune fille blonde pourrait s'appeler, en paraphrasant un des films d'Oliveira, Non, ou la vaine gloire d'aimer, tant l'amour commande tout, même si son commandement est parfois cruel.
Chronic'art.com
Singularités d'une jeune fille blonde n'est pas qu'une rêverie éthérée, (...). C'est aussi, à sa manière, un petit pamphlet social et politique sur la bêtise de l'honnêteté, ou du moins sur la propention des hommes à confondre honnêteté et soumission.
Le Monde
Singularités d'une jeune fille blonde touche ainsi au coeur même de l'art cinématographique.
Les Inrockuptibles
Plastiquement époustouflante, la mise en scène d'Oliveira nous absorbe, nous aspire du début à la fin.(...) Nul doute, le cinéma n'est jamais aussi beau que lorsqu'il s'écrit avec trois fois rien (...)
Libération
Le film est (...) un mélange perpétuellement étrange d'ironie sèche, de férocité avouée et de mélancolie pure.
Positif
Toute la finesse du film est de faire contrepoint ç cette frénésie du jeu et du sort.
Studio Ciné Live
(POUR) - Voir le site de Studio Ciné Live.
20 Minutes
Avec une économie de moyens qui renforce l'efficacité de son récit, Oliveira signe (...) une fable toute simple, à la fois cruelle et très amusante parce qu'elle prend constamment à contrepieds les désirs de son héros et les attentes du spectateur.
Dvdrama
Malgré son âge, Manoel de Oliveira n'a rien perdu de son talent, ni de son acuité à radiographier la société portugaise actuelle.
L'Humanité
La conclusion (...)est au diapason du contexte (...) tableau vivant, objet de fascination, dont Oliveira fait le " punctum ", au sens barthésien, d'une oeuvre délicate se maintenant dans un équilibre parfait entre littérature et peinture.
Le Figaroscope
Un conte au charme désuet et au rebondissement final savoureux, adapté d'une nouvelle d'Eça de Queiroz, le contemporain portugais de Zola, par le cinéaste centenaire Manoel de Oliveira.
TéléCinéObs
Par son contenu, sa construction géométrique, son jeu de lumière ou son effet de perspective, chaque cadre prend le relais du scénario pour étoffer l`écriture toute en opacité et contradictions des personnages. Du grand cinéma.
Télérama
(...) délicieux récit d'apprentissage (...) Avec presque rien, Oliveira nous transporte - en train ou à travers l'imaginaire. (...) C'est simple comme bonjour, fluide, intemporel (...) Le contraire d'une leçon : un geste de cinéma détaché.
La Croix
La mise en scène dépouillée, le réalisateur allant jusqu'à priver de musique hormis celle qu'interprète la harpiste, accentue la sobriété et la concentration autour du récit faussement transparent.
Charlie Hebdo
(...) la drôlerie involontaire du jeu des acteurs (...) sauve cette toute petite chose filmique de la platitude intégrale (...)
L'Express
L'histoire est à prendre comme une récréation, dont l'aspect désuet séduira les amateurs de bibelots. Mais seulement eux.
Première
Le dernier film de Manoel de Oliveira est à cheval sur plusieurs temps (...) une métaphore de la difficile adaptation du centenaire à son époque (...) et son cinéma : est-il archaïque ou moderne, avec ses cadres fixes, ses acteurs sentencieux (...)
Brazil
Les minutes s'égrènent lentement comme dans un sablier bouché. Certains trouveront le film bouleversant, (...), les autres se seront endormis bercés par le son d'une lyre qui, aux dernières nouvelles, aurait remplacé l'escudo.
Studio Ciné Live
(CONTRE) - Voir le site de Studio Ciné Live.