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    Pédale douce
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    Flōrens PAB
    Flōrens PAB

    84 abonnés 614 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 17 novembre 2020
    Le gay est forcément folle, a peur de faire son âge et écoute du Mylène Farmer. La caricature est grossière mais voulue. Grâce au personnage de Richard Berry nous entrons dans un monde méconnu, celui de la jet-set gay et nous y découvrons des hommes voulant vivre pleinement leur vie mais devant tout de même se cacher en société. Un film plus profond qu'il n'y paraît.
    Bertie Quincampoix
    Bertie Quincampoix

    104 abonnés 1 830 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 21 mai 2020
    Comédie culte des années 90, Pédale douce fonctionne toujours aussi bien, notamment dans sa première partie à dominante comique. Les dialogues font mouche, certaines situation sont à mourir de rire et les acteurs sont tous excellents : Patrick Timsit, Fanny Ardant (César de la meilleure actrice en 1997), Richard Berry, Michèle Laroque, Jacques Gamblin. La seconde partie, plus mélodramatique et assez répétitive, est moins convaincante. Grand succès public à sa sortie en salle, le film permit d’aborder le sujet de l’homosexualité de manière assez neuve et rafraîchissante dans le cinéma français.
    Hotinhere
    Hotinhere

    555 abonnés 4 963 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 17 novembre 2020
    Une comédie euphorisante, débridée et impertinente (pour l'époque) avec des dialogues savoureux signés Palmade et Timsit, interprétée par des acteurs déchaînés.
    VOSTTL
    VOSTTL

    96 abonnés 1 939 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 18 février 2020
    « Sous couvert de comédie, ce film se révèle être une caricature désagréable, fausse et humiliante sur la communauté Gay. » Voilà en gros ce que je peux lire ici ou là chez ceux qui n’admettent pas que l’on puisse rire de tout. Oh ! Il faut replacer le film dans son contexte ! On est dans les années 90. Ce qui peut paraître caricatural aujourd’hui ne l’était pas au moment du film. Il n’y a pas lieu de s’indigner de crier au scandale en proférant « Heureusement, on ne ferait plus de film comme ça de nos jours ». Justement, c’est bien malheureux ! Il y en a assez de s’auto-censurer, assez des précautions de langage, assez de se retenir pour ne pas froisser les différentes communautés et autres associations contre le racisme, la discrimination et j’en passe. Comme « Charlie Hebdo », je revendique le droit à blasphémer, à bousculer les conventions et traditions, à caricaturer, et à rire de tout sans ménagement. « Pédale douce » est une comédie sympathique, qui en rien ne se moque, qui en rien humilie la communauté Gay ; elle s’amuse des clichés et comparé à « La cage aux folles » par exemple, « Pédale douce » s’en amuse sans aucune exagération. Et quand bien même, c’est une comédie, et comme toute comédie, on a le droit de grossir le trait. Et franchement, à part Adrien interprété par Patrick Timsit qui surjoue par moments, le rôle de Jacques Gamblin m’a paru très réaliste et touchant. Et pour faire partie d’une compagnie de théâtre et pour avoir joué au festival Off d’Avignon, je peux vous assurer que des personnages comme Adrien n’ont rien d’irréalistes ! Alors on se calme, inutile de s’indigner. « Pédale douce », mine de rien aborde des sujets aussi délicats que l’homosexualité dans le monde de l’entreprise, la discrimnation et effleure le sida, j’en conviens vers la fin. Au-delà de s’amuser, la comédie permet aussi de prendre conscience des difficultés de notre société sans brusquerie. Une société du passé. C’est vrai, « Pédale douce » est une comédie qui a un peu vieilli car la société a évolué. Mais si évoluer signifie crier au scandale pour ce film avec un regard d’aujourd’hui je n’appelle pas ça évoluer. Si on accepte le contexte, si on lâche prise, « Pédale douce » est une comédie tout à fait respectable et respectueuse. Ce n’est pas la comédie qui est une couverture pour soi-disant excuser les écarts de langage, c’est le fameux principe de précaution qui est une couverture hypocrite. On n’appelle plus un chat un chat, une chatte une chatte (voir le groupe Les Coquettes). On contourne des mots pour donner une autre réalité aux choses dans le but d’éviter de froisser les susceptibilités. On n’accepte plus la dérision, l’auto-dérision. L’auto-dérision ce n’est pas seulement accepter de rire de soi, c’est aussi accepter de rire de son monde, de rire de sa communauté, quelle qu’elle soit. Plus on avance dans le temps, plus on améliore notre société. Et tout ce qui a été vécu hier ne paraît plus acceptable. C’est très bien . Mais que cela ne nous empêche pas de rire de tout même de ce que l’on défend ; que l’on ne s’indigne pas en revoyant un ancien film qui caricaturerait grossièrement un personnage ou une communauté. Il faut savoir prendre du recul et ne jamais oublier le contexte. Dernièrement j’ai revu « Banzaï » de Claude Zidi. Non seulement le film a vieilli, non seulement la mise en scène est médiocre, mais le discours raciste envers les Arabes est grossièrement appuyé. Un panier garni de lourdeur. Aujourd’hui en effet, on ne ferait plus « Banzaï » (« OSS 117 : Rio ne répond plus » est politiquement incorrect, doux euphémisme pour ne pas dire : propos racistes ! Ah la fameuse précaution de langage. Et pourtant, c'est une bonne comédie). En deux séquences Coluche énonce des clichés qui font frémir aujourd’hui. « Banzaï » reflète une humeur du moment, un état d’esprit. Sans doute malheureux, j’en conviens, mais il me semble exagéré voire dangereux de condamner le film « Banzaï » avec un un regard de 2020. Si les propos tenus par le personnage de Coluche peuvent choquer (et choquer dès sa sortie), ils m’amusent car « Banzaï » joue avec les idées reçues tenues par des racistes convaincus. En riant, nous ajoutons des rires aux rires des racistes ; nous sommes complices ou à défaut, durant ce laps de temps qu’est le rire, nous semblons mêler nos rires à ceux des rires racistes. Mais les racistes, les homophobes sont des personnes à l’esprit étroit, incapables de tout discernement. Coluche et Claude Zidi ne sont pas racistes et ne profitent pas de la comédie pour adoucir des propos inacceptables. Coluche disait : « Ce serait raciste de penser que les étrangers n’ont pas le droit d’être c*** » ou « Si on ne peut pas se moquer des Arabes, c’est vraiment des Arabes. A partir du moment où on peut se moquer d’eux comme des c*** ordinaires, à ce moment, il n’y a plus de racisme.» Il en est de même pour « Pédale douce », il suffit de remplacer « Arabe » par « homo ». Fanny Ardant en Eva a mérité son César et « Pédale douce » a mérité son succès. Si l’ennui m’a parfois gagné, il y a quelques lignes de dialogues percutantes, pas toujours élégantes mais j’apprécie ce côté trash assumé. Franchement, la société a-t-elle vraiment évolué ? Les témoignages tenus contre ceux qui manifestaient contre le mariage pour tous étaient nauséabonds, infects, inadmissibles. Les maires qui refusaient d’appliquer la loi sont débectants. La violence gratuite faite à la communauté LGBT est révoltante. Alors, mieux vaut s'indigner avec virulence contre la violence gratuite faite (encore aujourd’hui) à la communauté LGBT plutôt contre un film inoffensif et qui doit être pris pour ce qu’il est : une comédie. Si le film ne m’a pas si enthousiasmé que ça, je rajouterai une étoile pour le droit au blasphème si tant est « Pédale douce » blasphème la communauté Gay.
    Fêtons le cinéma
    Fêtons le cinéma

    690 abonnés 3 012 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 18 novembre 2019
    On ne peut pas dire que Pédale Douce pense la comédie comme un art à part entière ; sa forme est pauvre, peu inventive et surtout répétitive. Pourtant, il se dégage de l’ensemble un je-ne-sais-quoi d’humain qui touche le cœur, une franche sympathie à l’égard des personnages qui, parce qu’ils bousculent les clichés dont ils sont de prime abord les vecteurs, offrent au spectateur une réelle profondeur émotionnelle. Cela repose donc essentiellement sur l’interprétation des comédiens qui s’en donnent à cœur joie, et sur l’écriture des dialogues, souvent fort percutants (et signés Pierre Palmade). Mention spéciale au personnage d’Adrien Lemoine, campé par un Jacques Gamblin jubilatoire qui trouve dans son tête-à-tête avec Richard Berry une drôlerie burlesque des plus entraînantes. Loin d’être un grand film et une excellente comédie, Pédale Douce rappelle néanmoins que des sujets sensibles pouvaient – il y a peu – être traités frontalement sans, en contrepartie, insulter les communautés concernées. Et qu’en orchestrant par le rire le choc des cultures et ici des orientations sexuelles, la comédie est capable de dédiaboliser les clivages sociétaux, d’homogénéiser les cœurs et de rassembler.
    chrischambers86
    chrischambers86

    13 735 abonnés 12 426 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 13 septembre 2019
    Un cocktail bien culottè qui a connu un gros succès populaire au box-office 1996 à sa sortie! Une comèdie dans l'air du temps qui joue sur les quiproquos et les surprises avec des acteurs au meilleur de leur forme, en particulier l'excellent Patrick Timsit, l'èmouvant Jacques Gamblin et l'ètonnante Fanny Ardant, rècompensèe du Cèsar de la meilleure actrice! La B.O est formidable avec des tubes qui marchent du tonnerre! De Marc Lavoine (« C'est la vie ») à Army of Lovers (« Crucified ») en passant bien èvidemment par Mylène Farmer (« Sans Contrefaçon ») où Timsit donne le ton dans l'amusante scène d'intro! Le dialogue de Pierre Palmade est la vitrine de "Pèdale douce". Dommage qu'il tombe un peu trop dans la vulgaritè gratuite! Même si Gabriel Aghion dèvoile un nouvel aspect de l'homosexualitè avec une bonne humeur dèdramatisante, sa mise en scène manque totalement de folie dans la Rave Party, ce qui est dommage pour les acteurs, survoltès, dans des contre-emplois souvent dèlirants...
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 8 septembre 2019
    Le principal atout de Pedale Douce est son casting remarquable, au premier rang duquel Fanny Ardant et Richard Berry. Ce sont les acteurs qui font que le film fonctionne, même s’il est par ailleurs relativement bien écrit. Dans le contexte actuel le film paraîtrait presque politiquement incorrect malgré la bienveillance affichée envers ses personnages.
    bouddha5962
    bouddha5962

    61 abonnés 738 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 13 août 2019
    Un comédie burlesque avec des acteurs de talents et des personnages hauts en couleur, qui cachent bien leur mal être.
    Un film détente et original pour l'époque
    corsicanna
    corsicanna

    16 abonnés 244 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 7 mai 2019
    Un film culte des années 90 ? ouais OK... moi j'ai trouvé ça lourd plein de clichés.
    Il y a quelques passages drôle certes mais je pense que le film est surcoté ou alors il a mal vieilli car je ne l'ai vu que cette année.
    mazou31
    mazou31

    95 abonnés 1 281 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 22 avril 2019
    Film culte des années 90. Drôle (?) et enlevé mais, reconnaissons-le, pas finaud, pour ne pas dire cucul, sans jeu de mot ! Si le rythme est trépidant, la musique et ses tubes célébrissimes stimulants, il reste malheureusement une histoire qui fait dans le bête et méchant, façon repas de chasseurs. On a vu des films bien plus amusants et subtils sur l’homosexualité. En fait, ce qui fait rire, c’est l’interprétation magistrale de tous mais sûrement ni l’histoire ni les dialogues ! Interprétation que domine Fanny Ardant, plus émouvante que comique, et qui d’ailleurs recut un César. Ce n’est vraiment pas un film à revoir… j’ai fait l’erreur !
    Shawn777
    Shawn777

    587 abonnés 3 469 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 4 avril 2019
    Ce film, réalisé par Gabriel Aghion et sorti en 1996, n'est pas mal mais sans plus. Au vu des mauvaises critiques, je ne m'attendais pas à une excellente comédie mais j'étais tout de même curieux de le voir, étant intrigué de par son succès au box office. C'est ici l'histoire d'un homme travaillant dans une banque le jour et qui s'éclate la nuit dans des boites gay. À première vue, cette comédie culte des années 90 n'a pas grand chose pour elle mais le scénario est en réalité beaucoup plus étoffé. Sans en être extraordinaire, il est en effet rempli de quiproquos et de scènes très amusantes, notamment celle de la soirée dans l'appartement de Alexandre Agut qui est excellente. Les dialogues, d'ailleurs écrits par Patrick Timsit sont très bons et les très bonnes répliques fusent. Le film joue évidemment sur les clichés homosexuels en grossissant ici énormément le trait. Malgré tout, comme avec "La Cage aux folles", cela ne choque pas et le film ne porte d'ailleurs à aucun moment de jugement négatif sur l’homosexualité. La réalisation est quant à elle plutôt bonne sans en être extraordinaire. Du côté des acteurs, nous avons un très bon casting avec notamment Patrick Timsit, Fanny Ardant, Richard Berry, Michèle Laroque etc. qui jouent très bien. Cette comédie a donc tout pour plaire mais je trouve malgré tout que l'humour a quelques fois du mal à vraiment décoller et que le film possède quelques scènes un peu longues. Ce qui est bien dommage car en dehors de ça, le scénario est plutôt bien pensé et l'idée est assez originale. "Pédale douce" est donc une petite comédie sympa mais sans plus.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 3 janvier 2019
    "Pédale douce" est plein de bonnes intentions pour dénoncer, avec humour, la peur de la différence. spoiler: Mais l'on demeure loin de ces personnages alors qu'on devrait s'attacher à eux à mesure qu'ils évoluent; surtout celui de Richard Berry, dont la violence exprimée sur l'entre jambe de Jacques Gamblin reste difficilement pardonnable.

    Il semble qu'un trop grand voile de caricature, sur les protagonistes comme sur le déroulement de l'intrigue, empêche l'intérêt et l’empathie du spectateur. Malgré tout, les acteurs sont bons.
    weihnachtsmann
    weihnachtsmann

    1 153 abonnés 5 137 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 24 août 2018
    Au-delà de son sujet, le film parle quand même beaucoup de la solitude, la souffrance d’être rejeté et jugé, la fragilité.
    Beaucoup de scènes où Timsit a besoin d’être consolé.
    Pédale douce c’est le côté festif, mais la réalité c’est se retrouver face à soi-même. Et le spectacle ici est plutôt triste.
    raphaelK
    raphaelK

    16 abonnés 401 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 11 mars 2018
    Pédale douce est certainement un film limité mais a priori peu suspect d'homophobie. Son inspiration semble au contraire bienveillante, ce qui en fait un cas assez nouveau de comédie gay réversible: un recto pour le grand public, rameuté par une stratégie Cage aux folles qui a fait ses preuves; un verso à usage plutôt interne, qui cligne de l'oeil vers ceux que la promo euphémise en «monde de la nuit». La nouveauté est donc dans ce passage d'un humour folle indigène dans les circuits de la comédie populaire et mainstream, susceptible d'intéresser tout les publics, sans distinction de choix sexuels.
    Yannickcinéphile
    Yannickcinéphile

    2 405 abonnés 4 439 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 9 juillet 2017
    Comédie culte des années 90, qui m’avait échappé, Pédale douce n’est pas un bien grand film.
    En vérité ça ressemble plutôt à une comédie estivale, faite pour remplir une soirée un peu arrosée, mais pour le reste, elle n’était pas faite pour rester dans les annales, et aujourd’hui, je reste sur ma faim en le visionnant.
    Le problème c’est comme souvent l’intérêt réel du propos. Le métrage propose quelques situations amusantes, un peu grivoises parfois, mais il n’y a pas d’intrigue ou très peu. Du coup, passé le premier quart d’heure, et en dépit des quelques passages drôles qui peuvent réveiller le spectateur, il n’y a pas grand-chose en mesure de happer son attention. Je me suis relativement ennuyé devant une intrigue vaudevillesque attendue, des quiproquos faciles, et une narration peu fluide, lourdaude même parfois. Pour ma part, c’est là le gros défaut de ce film, qui parvient cependant à éviter un peu les lieux communs sur les homos. Pour le coup c’est plutôt une surprise compte tenu du reste.
    Le casting est plutôt bon, avec des acteurs solides dans leurs rôles mais parfois trop peu utilisés. Je pense à Jacques Gamblin par exemple, tandis que Michèle Laroque aurait pu être davantage mise en valeur, d’autant qu’elle semble bien à l’aise dans ce métrage et dans ce registre. Reste un Timsit sympathique et juste, face à un Richard Berry peut-être plus subtil et plus en variété niveau jeu, et, entre eux, une Fanny Ardant tout à fait indiqué pour son rôle, et qui impose sa flamboyance, avec un jeu parfois un peu rèche.
    Ce bon casting ne s’accompagne pas d’une réalisation démente, mais le film parvient, par son lot d’éclairages flashys, sa bande son punchie qui aligne les titres connus, et une certaine vivacité de mise en scène à rester assez plaisant à regarder. Malgré tout, ça reste un métrage là aussi plus proche de la comédie estivale qu’autre chose. Sur un sujet qui pourra rappeler Almodovar, le réalisateur n’a pas l’aisance de ce dernier pour transcender son film par une esthétique aussi brillante et personnelle.
    En conclusion, Pédale douce est une comédie pas déplaisante, mais qui repose surtout sur ses numéros d’acteurs et sa bande son vive qui parvient à surligner efficacement quelques situations amusantes. Le résultat reste faible, particulièrement à cause d’un scénario laborieux, souvent creux, et ses redondances. 2.5
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