Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
6 critiques presse
Libération
par Gérard Lefort
(...) Shawkat Amin Korki, cinéaste kurde irakien de 36 ans qui signe ici son premier long métrage, évoque avec puissance cette période de chaos qui caractérise, où qu'elle soit, la fin d'un conflit. (...)
La critique complète est disponible sur le site Libération
Dvdrama
par Jean-Baptiste Guegan
(...) Le premier film de Shawkat Amin Korki s'offre à nous dépourvu de tout pathos excessif (...)Singulier et touchant malgré quelques afféteries, A travers la poussière s'impose donc comme l'une des réalisations kurdes les plus abouties (...)
La critique complète est disponible sur le site Dvdrama
L'Humanité
par Vincent Ostria
Cette fiction modeste, bricolo, et terre à terre, en dit plus long avec deux ou trois paysages dévastés qu'une superproduction tonitruante.
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
A travers la poussière est un récit tragi-comique, assez conventionnel mais non dénué de fraîcheur, sur la difficile conquête de l'humanisme.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Cahiers du Cinéma
par Vincent Malausa
(...) Dommage, dès lors, que la mise en scène ne soit jamais en mesure de régler son pas sur [son] beau point de départ (...)
La critique complète est disponible sur le site Cahiers du Cinéma
Télérama
par La Rédaction
(...) les comédiens ont beau rivaliser de bonne volonté, le film tourne au road-movie avorté dans trois ruelles, décevant la curiosité suscitée par du cinéma venu du Kurdistan irakien.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Libération
(...) Shawkat Amin Korki, cinéaste kurde irakien de 36 ans qui signe ici son premier long métrage, évoque avec puissance cette période de chaos qui caractérise, où qu'elle soit, la fin d'un conflit. (...)
Dvdrama
(...) Le premier film de Shawkat Amin Korki s'offre à nous dépourvu de tout pathos excessif (...)Singulier et touchant malgré quelques afféteries, A travers la poussière s'impose donc comme l'une des réalisations kurdes les plus abouties (...)
L'Humanité
Cette fiction modeste, bricolo, et terre à terre, en dit plus long avec deux ou trois paysages dévastés qu'une superproduction tonitruante.
Le Monde
A travers la poussière est un récit tragi-comique, assez conventionnel mais non dénué de fraîcheur, sur la difficile conquête de l'humanisme.
Cahiers du Cinéma
(...) Dommage, dès lors, que la mise en scène ne soit jamais en mesure de régler son pas sur [son] beau point de départ (...)
Télérama
(...) les comédiens ont beau rivaliser de bonne volonté, le film tourne au road-movie avorté dans trois ruelles, décevant la curiosité suscitée par du cinéma venu du Kurdistan irakien.