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Un visiteur
2,5
Publiée le 7 mars 2013
le casting n'est pas mauvais mais le sujet ne m'a pas trop intéressé, on a du mal à s'accrocher aux différents persos, le tout est assez ennuyeux..... un "mauvais" Eastwood ça existe ...
Film assez ennuyeux voire agaçant ..... si l'on excepte les qualités formelles D'Eastwood (beau cadre, belle photo, mise en scène fluide), l'histoire n'a rien de passionnant, les sentences réac et / ou mystiques contre les méchants incrédules qui ne croient pas à l'au-delà sont lourdingues et pénibles. Le tire-larmes n'est pas loin ... la scène d'ouverture (scène catastrophe) est relativement ratée ... la psychologie des personnages est simpliste et tout est extrêmement prévisible. Bof ...
Quelle surprise de constater ici la moyenne des notes de ce film [avec tant d'avis négatifs] ! A mes yeux cet Au-delà d'Eastwood a été un agréable moment de cinéma, joliment filmé, où les convergences humaines m'ont parues plutôt subtiles et s'installent naturellement. Le rythme du film laisse aussi du temps à l'imagination, au questionnement, puis cible la spontanéité le moment venu.
Une déception. L’immense M. Eastwood est tombé. Sur un sujet « casse gueule », il s’est… cassé la gueule. Comme quoi, tout le monde, même les plus grands, peuvent faire des erreurs… Et Dieu sait pourtant à quel point le projet était alléchant : le maître se heurtait pour la première fois à une nouvelle forme de narration, plus exigeante (le film choral) et à un nouveau sujet (la vie après la mort)… Film choral donc. En Thaïlande une journaliste française vit une expérience de mort imminente suite au tsunami de 2004. Aux Etats-Unis, un médium capable de communiquer avec les morts vit son don comme une malédiction. A Londres, un petit garçon perd tragiquement son jumeau. Tous vivent avec la mort, de façon différente, l’acceptent ou la rejettent. Leur quête de réponses les réunira. Vaste sujet par lequel Eastwood, qui ne parvient jamais à passionner son spectateur, est visiblement dépassé. Qu’elles soient peu crédibles (le pathos, lassant et outrancier de la famille londonienne), ininteréssantes (l’histoire française est franchement ennuyeuse) ou carrément ridicules (la scène du cour de cuisine à San Francisco prête à sourire), les trois histoires ne se complètent pas, ne parviennent jamais à passionner, restant froides et vides d’émotions. Le rythme trop lent et les acteurs mous et sans reliefs (à part Matt Damon qui parvient seul à tirer son épingle du jeu) contribuent à l’ennui que ressent le spectateur. Mais non content de nous ennuyer, Clint Eastwood nous déprime ; Sa vision de l’au-delà (une limbe embrouillée hantée par des silhouettes tremblotantes et fantomatiques) laisse au spectateur une dernière image sinistre d’un film qui n’en avait pas besoin.
Pathos et tire-larmes, bref Clint Eastwood quoi. Pendant tout le film on est dans l'attente d'un truc, de quelque chose qui pourrait se passer, d'un fait marquant, et bien non. Les acteurs sont fades, la sauce n'a pas pris et je ne retiens pas grand chose de ce film.
Super film qui traite du "Surnaturel" sous un aspect autre que celui du terrifiant. On présente un rapport à la mort et aux facultés inexplorées de l'humain sous une dimension simple et possible et non plus comme s'il s'agissait de folie ou d'épouvantable.
L'au-delà dans nos sociétés est un tabou. Quand je demande à mes proches s'ils croient en un au-delà, s'ils croient en la voyance, les pressentis ou la télépathie par exemple, c'est toujours avec appréhension que je le fais car l'esprit des gens est formaté aux théories scientifiques et à la terreur de la mort. A dire vrai, je ne connais que peu de gens qui ne prennent pas pour hérésie ma façon de penser... Je me rappelle alors qu'il a fallu des années pour que les gens acceptent que la terre est ronde et non plate alors que c'est un fait tellement plus simple à prouver que l'existence d'une vie après la vie.
Un professeur m'a dit un jour qu'il ne fallait jamais se fier aux explications des autres mais toujours chercher à trouver les réponses par soi-même. C'est le message le plus pertinent que j'ai retenu de mes années scolaires. Alors même si je passe pour une folle aux yeux de certains, je m'intéresse aux expériences de mort imminentes, à la médiumnité, aux flux énergétiques...
Pour une fois qu'un film traite de ces sujets ! :)
Une Française, un Américain et un jeune Anglais, cela ressemble à une histoire drôle, mais ce n'en est pas une, c'est de vie après la mort dont Clint Eastwood a voulu nous entretenir ici. 3 histoires donc, celle d'un ex-medium américain, fan de Dickens, qui voit des gens morts en touchant les autres et qui a renoncé à faire commerce de sa malédiction ; celle d'un jeune Anglais (semblant tout droit sorti d'une oeuvre de Dickens) qui perd son frère jumeau et cherche à entrer en contact avec lui... Et celle d'une journaliste à succès française qui est emportée par le Tsunami en Thailande, meurt et revit. Autant je vois les connections entre les deux histoires anglo-saxonne (et cela fonctionne), autant j'ai l'impression que l'histoire interprétée par Cécile de France a été collé dans le scénario après coup pour surfer sur le souvenir de la catastrophe (sans vilain jeu de mot... trop tard). Cette partie s'imbrique tellement mal avec le reste, qu'on croirait qu'il y a deux films, l'un que j'apprécie, et l'autre qui m'horripile. Tout comme la fin happy endesque au son strident d'une envolée mielleuse de violons. Je mets donc 3/5 au film ce qui signifie "Pas mal" en terme allocinéen pour Matt Damon, pour toute la partie anglaise que j'aime assez, pour le charme de Cécile de France tout de même qui n'y est pour rien si sa partition à jouer est en mode mineure.
On pense un peu à un film d' Innnaritu ( 3 personnages en souffrances , 3 situations différentes qui vont se retrouver à l' arrivée). La croyance ou non dans le thème du film joue un peu dans l' apprécation du film selon moi. La fin est raté . On peut etre critique également avec la séquence clé sur les 2 frangins spoiler: (le moment ou il meurt écrasé accidentellement après avoir chercher des médoc' pour soigner l' addiction de sa mère, hum.. cela ne m' a pas géné outre mesure mais c' est vrai que cela peut faire un poil too much versant dans le pathos) . .Cécile de France ne m' a pas convaincu dans ce film. En fait, je suis d' accord avec l' idée que le film aurait peut être dû se centrer surtout sur les 2 enfants ( et garder éventuellement la partie avec Matt Damon).
un "petit" Eastwood , lent , ennuyeux par moment , sans véritable but ni interet , il se laisse regarder pour matt damo et cecile de france , c'est un film simple filmé avec sobrieté , parfois beau mais qui ne marquera pas les esprits
Hereafter est beaucoup plus qu'un mélo grandiose : c'est à la fois un film testament et un précieux manifeste pour nous aider à affronter l'existence et ses tumultes, débarrassés de toute peur.
Film sensible et touchant sur la vie après la mort, la perte d'un être cher et l'expérience du "retour à la vie", expérimenté par chaque personnage. On a envie d'y croire.
Hong-kong, Paris, Londres, Frisco. Une jeune journaliste Française très en vogue bankable et jolie victime d’une NDE après un Tsunami qui bouleverse son existence; un jeune cockney, fils d’une junky à la ramasse cherche un sens à sa vie depuis qu’on lui a pris la moitié de la sienne; un mec un peu paumé s’efforce, de l’autre côté de l’Atlantique, d’oublier en s’échinant dans des petits boulots qu’il a accidentellement reçu le don maudit de communiquer avec l’au-delà dès qu’il touche quelqu’un… Trois destins qui finiront quand-même par se croiser au bout de deux longues heures mais on quand-même est très loin du Babel d’Inárritu dans la maestria du film choral… Désolé Clint, tu nous avais habitués à mieux.
Restent les acteurs : Oui il est bon Matt Damon même s’il n’a pas trop l’occasion de montrer son fameux sourire Ultra Brite dans ce film, elle est mignonne Cécile de France et en plus elle nous prouve qu’elle parle fort bien anglais, et le petit british il fait Droopy à souhait avec son air de chien battu … Mais je ne sais pas pourquoi, je n’ai pas eu la fibre, et le sujet de fond, l’au-delà, à peine effleuré…Dommage !