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Sous des dehors de film noir au filmage élégant et au design chiadé, l'expérience, portée par la prestation brillante de Casey Affleck, s'avère dérangeante à l'extrême. On n'est pas prêt d'oublier les séquences de meurtres, d'une brutalité rare, d'autant que la critique sociale n'est jamais loin.
La critique complète est disponible sur le site Filmsactu
(...) le visage enfantin de son acteur, Casey Affleck, contredit ses pulsions monstrueuses, (...) il est à la fois innocent et totalement coupable. (...) C'est que Jim Thompson (ndlr : l'auteur) est déroutant, (...) Winterbottom, lui, est un jongleur virtuose du cinéma de genre. Entre les deux le courant est passé. Le même courant pour la caméra que pour la chaise électrique.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Son coup de génie : avoir choisi l'acteur au visage poupin Casey Affleck pour incarner un tueur placide en proie à ses démons intérieurs. Le film s'attarde un peu (trop ?) sur les détails sordides des meurtres. Mais il n'en reste pas moins un thriller palpitant.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
POUR: (...) le film cultive l'ambiguïté pour mieux interpeller le spectateur. Venu voir un film noir avec crime, chantage, femmes fatales et tout l'attirail glamour du genre, il se retrouve dans la tête d'un tueur psychopathe (...) Michael Winterbottom (...) a cette fois parfaitement réussi son coup.
La critique complète est disponible sur le site Première
Casey parvient à créer un personnage de méchant aussi complexe que réjouissant capable d'entraîner les bombes Jessica Alba et Kate Hudson dans une explosion de violence (...).
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Seule l'époustouflante interprétation de Casey Affleck, tout en voix traînante et arrogance de premier de la classe, suscite un regret : que le film ne soit pas à sa hauteur.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Malgré des longueurs et une fin outrée, le film a reçu le prix de la critique internationale au festival de Beaune pour sa mise en scène subversive, brutale, qui ne dérape jamais dans la complaisance.
Casey Affleck et Jessica Alba, dans les rôles principaux, sont parfaits. Dans la lignée de Coup de torchon et de Série Boire (deux adaptations de livre de Thompson), ce film-ci est une réussite : c'est du noir très noir, un noir dantesque.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
En tentant d'explorer le thème de la folie meurtrière, le réalisateur qui surprenait presque chaque année tombe ici dans l'hésitation permanente entre suggestion et démonstration directe, volontairement choquante, et, de fait, un peu vaine.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Filmsactu
Sous des dehors de film noir au filmage élégant et au design chiadé, l'expérience, portée par la prestation brillante de Casey Affleck, s'avère dérangeante à l'extrême. On n'est pas prêt d'oublier les séquences de meurtres, d'une brutalité rare, d'autant que la critique sociale n'est jamais loin.
Excessif
Un film noir sulfureux, électrisé par l'interprétation démentielle de Casey Affleck.
Impact
The Killer Inside Me est donc un vrai film noir, un polar ensorcelant, en somme une réussite (presque) totale.
L'Obs
(...) le visage enfantin de son acteur, Casey Affleck, contredit ses pulsions monstrueuses, (...) il est à la fois innocent et totalement coupable. (...) C'est que Jim Thompson (ndlr : l'auteur) est déroutant, (...) Winterbottom, lui, est un jongleur virtuose du cinéma de genre. Entre les deux le courant est passé. Le même courant pour la caméra que pour la chaise électrique.
Le Parisien
Son coup de génie : avoir choisi l'acteur au visage poupin Casey Affleck pour incarner un tueur placide en proie à ses démons intérieurs. Le film s'attarde un peu (trop ?) sur les détails sordides des meurtres. Mais il n'en reste pas moins un thriller palpitant.
Le Point
Voir le site du Point
Positif
(...) la composition de Casey Affleck (...) vaut le détour.
Première
POUR: (...) le film cultive l'ambiguïté pour mieux interpeller le spectateur. Venu voir un film noir avec crime, chantage, femmes fatales et tout l'attirail glamour du genre, il se retrouve dans la tête d'un tueur psychopathe (...) Michael Winterbottom (...) a cette fois parfaitement réussi son coup.
Télé 7 Jours
L'éclectique Winterbottom investit le registre du thriller avec ce film noir "old school", où le charisme inquiétant de Casey Affleck fait merveille.
Télérama
Une stimulante variation sur la banalité du mal, où l'acteur Casey Affleck explose en tueur séduisant.
20 Minutes
Casey parvient à créer un personnage de méchant aussi complexe que réjouissant capable d'entraîner les bombes Jessica Alba et Kate Hudson dans une explosion de violence (...).
Charlie Hebdo
Film noir rétro et appliqué, The Killer Inside Me aborde des sujets capitaux mais les laisse tous en vrac (...)
Chronic'art.com
Seule l'époustouflante interprétation de Casey Affleck, tout en voix traînante et arrogance de premier de la classe, suscite un regret : que le film ne soit pas à sa hauteur.
Le Journal du Dimanche
Malgré des longueurs et une fin outrée, le film a reçu le prix de la critique internationale au festival de Beaune pour sa mise en scène subversive, brutale, qui ne dérape jamais dans la complaisance.
Les Inrockuptibles
Polar néo-fifties scolaire sauvé par Casey Affleck.
TéléCinéObs
Casey Affleck et Jessica Alba, dans les rôles principaux, sont parfaits. Dans la lignée de Coup de torchon et de Série Boire (deux adaptations de livre de Thompson), ce film-ci est une réussite : c'est du noir très noir, un noir dantesque.
Cahiers du Cinéma
Un style passe-partout que Winterbottom déguise habilement en savoir-faire.
Critikat.com
En tentant d'explorer le thème de la folie meurtrière, le réalisateur qui surprenait presque chaque année tombe ici dans l'hésitation permanente entre suggestion et démonstration directe, volontairement choquante, et, de fait, un peu vaine.
Studio Ciné Live
Voir le site Studio Ciné Live.
Le Monde
Exercice de style au parfum rance, The Killer Inside Me est aussi creux que déplaisant.
Libération
Winterbottom a déjà fait bien mieux que ce thriller prétendument vénéneux.
Première
CONTRE: (...) une spirale de violence crue qui, de vaguement compréhensible, finit par devenir nauséeuse à force de surenchère.