Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
23 critiques presse
Elle
par La Rédaction
Sans tomber dans la caricature, Eddie Redmayne dresse le portrait d’une véritable héroïne à la double identité, avec poésie et tendresse. En un battement de cils, en un léger sourire, en un froissement de dentelle, il laisse entrevoir Lili. L’acteur est bouleversant de sensibilité.
La critique complète est disponible sur le site Elle
Closer
par La Rédaction
Une formidable histoire d'amour.
L'Express
par Christophe Carrière
Certainement pas un grand film, mais un bon, assurément.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
L'Obs
par La Rédaction
Conduit d’une main sûre par Tom Hooper et interprété par Eddie Redmayne, physique de premier de la classe et technique de jeune champion, le film évite ces écueils. Avec délicatesse, il enveloppe l’ensemble d’un subtil halo de bizarrerie.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
La mise en scène de facture classique sert d'écrin à une performance pleine d'élégance et de délicatesse du prodige britannique de 34 ans.
aVoir-aLire.com
par Arthur Champilou
Un film d’une justesse et d’une sensibilité bouleversantes.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Critikat.com
par Ursula Michel
Une esquisse psychologique mineure, sublimée par Eddie Redmayne, époustouflant de naturel et de beauté.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Les Fiches du Cinéma
par Marie Toutée
L'élégance de la mise en scène de Tom Hooper et la performance des acteurs gomment une fin au maniérisme superflu.
Metro
par Marilyne Letertre
À 34 ans, Eddie cultive l’art de la performance. (...) "The Danish Girl" ne fait pas dans la dentelle : la mise en scène est emphatique, les effets larmoyants trop appuyés.
La critique complète est disponible sur le site Metro
Studio Ciné Live
par Thierry Cheze
Alicia Vikander rayonne, malgré une mise en scène un poil ampoulée de Tom Hooper.
Télérama
par Frédéric Strauss
Soucieux de favoriser la délicatesse et l'optimisme, le réalisateur du "Discours d'un roi" (2010) opte pour une mise en scène qui a le don de gommer les aspérités, au risque d'être parfois franchement lisse.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Jean-Philippe Tessé
L'escapade est vite minée par les affects très ordinaires sur quoi se replie le film, par manque d’imagination, noyant ce corps jamais vu sous une tonne de scènes déjà vues.
CinemaTeaser
par Rose Piccini
Le film vire à l'académisme le plus convenu, jusqu'à un épilogue couru d'avance et totalement cul-cul.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
L'Humanité
par Vincent Ostria
Ce film policé et maniéré, qui fait la part belle à l’image, aux décors et aux costumes, prend trop de gants et n’appelle pas un chat un chat. Un regard compassé sur la différence.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Sur un sujet épineux, un film qui entend ne pas déroger au bon ton et qui fait tout pour gommer les aspérités sous un emballage bien feutré.
Le Monde
par Thomas Sotinel
Tom Hooper, serviable, se contente de proposer une série d'illustrations pleines de goût, de celles qu'on pourrait accrocher dans une salle d'attente.
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Le film, très grand public et académique, est en réalité un mélo larmoyant dominé par le cabotinage puissance XXL d’Eddie Redmayne, qui n’en finit pas de prendre des poses et des mines efféminées.
Ouest France
par Pierre Fornerod
Cela manque de fièvre et d'exubérance.
Première
par Gérard Delorme
Eddie Redmayne minaude et sourit avec une mièvrerie qui finit par exaspérer. Il ne reste à Alicia Vikander qu’à se consoler avec Matthias Schoenaerts, toujours bon.
La critique complète est disponible sur le site Première
VSD
par Bernard Achour
Cette histoire vraie d'un homme marié qui veut devenir une femme manque d'incarnation.
Voici
par Ariane Valadié
Un traitement un peu trop linéaire et illustratif. Et finalement, plus larmoyant qu'émouvant.
Libération
par Clémentine Gallot
Le film, tiré d’un best-seller du romancier David Ebershoff par le cinéaste britannique Tom Hooper, auteur du hit le Discours d’un roi, pâtit cependant d’un académisme bizarrement corseté - un comble.
La critique complète est disponible sur le site Libération
TF1 News
par Romain Le Vern
Performeur grotesque à force de minauder l'évanouissement, Eddie Redmayne provoque plus l'énervement que l'empathie. Tout cela est très embarrassant.
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
Elle
Sans tomber dans la caricature, Eddie Redmayne dresse le portrait d’une véritable héroïne à la double identité, avec poésie et tendresse. En un battement de cils, en un léger sourire, en un froissement de dentelle, il laisse entrevoir Lili. L’acteur est bouleversant de sensibilité.
Closer
Une formidable histoire d'amour.
L'Express
Certainement pas un grand film, mais un bon, assurément.
L'Obs
Conduit d’une main sûre par Tom Hooper et interprété par Eddie Redmayne, physique de premier de la classe et technique de jeune champion, le film évite ces écueils. Avec délicatesse, il enveloppe l’ensemble d’un subtil halo de bizarrerie.
Le Journal du Dimanche
La mise en scène de facture classique sert d'écrin à une performance pleine d'élégance et de délicatesse du prodige britannique de 34 ans.
aVoir-aLire.com
Un film d’une justesse et d’une sensibilité bouleversantes.
Critikat.com
Une esquisse psychologique mineure, sublimée par Eddie Redmayne, époustouflant de naturel et de beauté.
Les Fiches du Cinéma
L'élégance de la mise en scène de Tom Hooper et la performance des acteurs gomment une fin au maniérisme superflu.
Metro
À 34 ans, Eddie cultive l’art de la performance. (...) "The Danish Girl" ne fait pas dans la dentelle : la mise en scène est emphatique, les effets larmoyants trop appuyés.
Studio Ciné Live
Alicia Vikander rayonne, malgré une mise en scène un poil ampoulée de Tom Hooper.
Télérama
Soucieux de favoriser la délicatesse et l'optimisme, le réalisateur du "Discours d'un roi" (2010) opte pour une mise en scène qui a le don de gommer les aspérités, au risque d'être parfois franchement lisse.
Cahiers du Cinéma
L'escapade est vite minée par les affects très ordinaires sur quoi se replie le film, par manque d’imagination, noyant ce corps jamais vu sous une tonne de scènes déjà vues.
CinemaTeaser
Le film vire à l'académisme le plus convenu, jusqu'à un épilogue couru d'avance et totalement cul-cul.
L'Humanité
Ce film policé et maniéré, qui fait la part belle à l’image, aux décors et aux costumes, prend trop de gants et n’appelle pas un chat un chat. Un regard compassé sur la différence.
Le Dauphiné Libéré
Sur un sujet épineux, un film qui entend ne pas déroger au bon ton et qui fait tout pour gommer les aspérités sous un emballage bien feutré.
Le Monde
Tom Hooper, serviable, se contente de proposer une série d'illustrations pleines de goût, de celles qu'on pourrait accrocher dans une salle d'attente.
Les Inrockuptibles
Le film, très grand public et académique, est en réalité un mélo larmoyant dominé par le cabotinage puissance XXL d’Eddie Redmayne, qui n’en finit pas de prendre des poses et des mines efféminées.
Ouest France
Cela manque de fièvre et d'exubérance.
Première
Eddie Redmayne minaude et sourit avec une mièvrerie qui finit par exaspérer. Il ne reste à Alicia Vikander qu’à se consoler avec Matthias Schoenaerts, toujours bon.
VSD
Cette histoire vraie d'un homme marié qui veut devenir une femme manque d'incarnation.
Voici
Un traitement un peu trop linéaire et illustratif. Et finalement, plus larmoyant qu'émouvant.
Libération
Le film, tiré d’un best-seller du romancier David Ebershoff par le cinéaste britannique Tom Hooper, auteur du hit le Discours d’un roi, pâtit cependant d’un académisme bizarrement corseté - un comble.
TF1 News
Performeur grotesque à force de minauder l'évanouissement, Eddie Redmayne provoque plus l'énervement que l'empathie. Tout cela est très embarrassant.