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Votre avis sur Un Poison Violent ?
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Pas loin du chef d'oeuvre !
Hyper juste; magnifiquement joué par chacun des acteurs (grande performance)
Emotion sous perfusion.
Musiques splendides.
Bravo, bravo !
Hyper juste; magnifiquement joué par chacun des acteurs (grande performance)
Emotion sous perfusion.
Musiques splendides.
Bravo, bravo !
La perle de cet été. à voir impérativement. Clara Augarde est grandiose, Galabru touchant (dingue ça !) et Lio surprenante. Ambiguïté des relations, poids de la religion et des interdits, et magnifique portrait de l'adolescence. C'est tout en sensibilité, très adroit.
Une manière simple et minimaliste pour aborder les grandes questions de la vie : la foi, l'amour, la mort ... du bon cinéma français du style à faire recette sur ARTE ! Lio et Galabru sont étonnants de réalisme et de sincérité .
Beaucoup de pudeur et de retenue dans ce film décrivant le parcours initiatique d'une jeune fille cherchant sa voie et sa foi. Malheureusement, si son personnage et celui de son petit copain sont suffisamment ambigus pour susciter notre attachement et faire naitre une vraie émotion sensuelle, les autres personnages sont tellement archétypaux dans leur démarche qu'ils ne permettent en aucune manière d'apporter un contre-éclairage au cheminement de ces deux adolescents. En tout cas, ils ne servent pas d'exemples consistants pour leur devenir adulte. Le film en devient alors totalement dénué d’enjeu.
Un poison violent est triste, une réalisation et un scénario peu convaincant et ennuyeux.
film qui m'a beaucoup deçus, a jeter tres vite au oubliettes.
Très beau film ! Certaines scènes m'ont particulièrement marquées : le baiser dans le cou du prêtre qui est pleine de grâce et de retenue , la balade de la jeune fille avec le prêtre... Lio est remarquable ! Moi qui ne l'aimait pas beaucoup avant j'ai été surprise et je dois même dire que c'est le personnage qui m'a le plus touché avec le prêtre ! Clara Augarde joue incroyablement bien et ne tombe jamais dans le faux ou le cliché, bref ce film est une pépite d'or à aller voir pour toutes ces raisons !
Cette promenade dans la Bretagne catholique profonde, dans l'intimité d'une famille en pleine implosion, n'a eu que peu d'effet hormis peut être un profond ennui.
La petite Anna (Clara Augarde) a bien le charme de l'adolescente qui découvre ses démons au moment de sa Confirmation Catholique (son corps, l'amour, la sensualité, le monde adulte, la séparation); Lio est saisissante dans son rôle de femme meurtrie, un curé italien assez neutre... Seul, le personnage de Galabru (papi sur la fin, louphoque et avec une vigueur masculine toujours présente, voire gênante), est une bonne satisfaction de cette distribution.
mention spéciale à l'épitaphe d'Anna au chevet de son Papi.
Le déroulé de l'intrigue est attendu, le rythme d'une lenteur assommante, les plans parfois très pastoraux (très belles photos dans les Monts d'Arrhée ou en bord de mer à Kerlouan) tournent parfois au désastre avec des vues surprenantes sur une belle campagne et... une 4 voie!
La musique pourtant d'un musicien que je chérie (Olivier Mellano) est d'un conventionnel irritant (notamment ce final avec "I'm a Creep" de Radiohead chanté par un choeur).
Sous une critique non couverte de la religion Catholique, le propos de Katell Quillévéré a malheureusement déjà été mainte fois débattu et on a l'impression de voir un reportage critique sur une société en voie d'extinction.
L’important c’est de participer !
La petite Anna (Clara Augarde) a bien le charme de l'adolescente qui découvre ses démons au moment de sa Confirmation Catholique (son corps, l'amour, la sensualité, le monde adulte, la séparation); Lio est saisissante dans son rôle de femme meurtrie, un curé italien assez neutre... Seul, le personnage de Galabru (papi sur la fin, louphoque et avec une vigueur masculine toujours présente, voire gênante), est une bonne satisfaction de cette distribution.
mention spéciale à l'épitaphe d'Anna au chevet de son Papi.
Le déroulé de l'intrigue est attendu, le rythme d'une lenteur assommante, les plans parfois très pastoraux (très belles photos dans les Monts d'Arrhée ou en bord de mer à Kerlouan) tournent parfois au désastre avec des vues surprenantes sur une belle campagne et... une 4 voie!
La musique pourtant d'un musicien que je chérie (Olivier Mellano) est d'un conventionnel irritant (notamment ce final avec "I'm a Creep" de Radiohead chanté par un choeur).
Sous une critique non couverte de la religion Catholique, le propos de Katell Quillévéré a malheureusement déjà été mainte fois débattu et on a l'impression de voir un reportage critique sur une société en voie d'extinction.
L’important c’est de participer !
Du plutôt bon et de l'assez mauvais se côtoient sinistrement dans ce drame qui manque surtout de rythme... Le scénario n'est pas mauvais, cruel sous l'ennui apparent, frôlant parfois le dérangeant... mais la mise en scène trop plate gâche le tout. L'atmosphère est bien rendue, les scènes avec les ados sont étonnamment sincères et maladroites, comme le sont souvent les premiers amours. Clara Augarde a sincèrement un avenir de comédienne devant elle. Lio est plutôt juste, et l'acteur italien dont j'ai omis le nom est convaincant. Quant à Galabru... je suis un peu sceptique sur sa "performance". Là où ça pêche parfois, c'est par le côté un peu caricatural (les lunettes du prêtre sont une grosse blague...), et, donc, la mise en scène. Le film aurait gagné à avoir un peu plus de musique... surtout que la version de "Creep" par la Scala est très belle. En somme... un film plutôt pas mal sur le papier, mais qui aurait mérité un réalisateur plus aguerri...
Un premier film qui surprend par la justesse de son scénario, la qualité de sa distribution et la maitrise de sa réalisation. Sur un thème qu'il serait difficile de qualifier d'original (le passage de l'enfance à l'adolescence), la jeune réalisatrice parvient à trouver des angles originaux dans l'écriture et la manière de filmer. Une bonne surprise qui détonne avec la production estivale habituelle !
un super film !!! sensible, intelligent, moderne et tout en justesse et simplicité... ALLEZ Y !!!
Julien D
Ce drame psychologique nous fait parfaitement partagé le quotidien morne (pour ne pas dire ennuyeux) cloisonné par le dogme catholique très pieux de cette adolescente normande perturbée par le départ de son père. Il est donc bien difficile de filmer l’ennui d’un personnage sans le faire partager surtout quand, comme ici, la réalisatrice n’ose pas prendre de risques pour son premier film. Elle parvient tout de même à rendre profondes les interrogations que se pose cette jeune bourgeoise traversant cette crise d’adolescence par laquelle nous sommes tous passés.
Lent inintéressant pathétique poncif une nième critique de la morale catholique un évêque mitré de travers et sans crosse ni croix pectorale. Encore une histoire de femme divorcée de couple déchiré de jeunes en recherche. Bref du traditionnel mauvais cinéma français bien peu positiviste et allègre.
«Un poison violent» n'a véritablement de violent que le nom, car le film fait preuve pendant 1h30 d'une incroyable molesse...Il qui traîte du dilemme entre la pratique religieuse et l'amour, mais n'arrive justement jamais à nous délivrer son message, que l'on tente bien de capter mais qui ne vient jamais jusqu'à nous ... En cause, une réalisation paresseuse, une mise en scène plate, un jeu d'acteur très moyen et assez répétitif malgré une distribution intéressante (la fille s'évanouïe, la mère pleure, la mère pleure, la fille s'évanouïe ...), les seconds rôles ne sont pas là pour relevé le niveau, Galabru en grand-père pervers ne fait qu'installer une sorte de malaise ... Pour son premier film Katell Quillévéré réalise là un film banal, sans personnalité, sans émotions, et surtout sans rythme, les scènes tirent en longueurs ... Et on trouve finalement ce qu'il y a de violent dans ce film: l'ennui ... A éviter !
des (dé)goûts et des couleurs. comme d'habitude je regarde sur allociné les meilleures critiques, puis les pires. les entre-deux, j'évite, car en tant que spectateur lambda je reste adepte du coup de coeur ou du coup de boule. et pour poison violent : coup de coeur.
film simple, beau, intelligent, bien joué, émouvant, parfois drôle (l'éveil des sens chez les préados!). je me suis dit que la réalisatrice a dû remercier infiniment tous ses acteurs pour ce qu'ils mettent d'eux-mêmes dans ce film: rien de fabriqué, le moment de vérité est sans cesse privilégié, et par conséquent l'imprévu: le film a beau avoir "été fait", l'interprétation, pure, semble lui laisser un champ ouvert, comme au théâtre.
film simple, beau, intelligent, bien joué, émouvant, parfois drôle (l'éveil des sens chez les préados!). je me suis dit que la réalisatrice a dû remercier infiniment tous ses acteurs pour ce qu'ils mettent d'eux-mêmes dans ce film: rien de fabriqué, le moment de vérité est sans cesse privilégié, et par conséquent l'imprévu: le film a beau avoir "été fait", l'interprétation, pure, semble lui laisser un champ ouvert, comme au théâtre.
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