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DanyNiksha16
46 abonnés
302 critiques
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4,5
Publiée le 1 novembre 2012
Non seulement Jodie Foster est une très bonne actrice, mais dans "Le Complexe du Castor", elle nous montre en plus son indéniable talent de réalisatrice!
Tout d'abord, l'histoire est vraiment original mais aussi très particulière. En effet, le film traite le bouleversement psychologique de Walter (Mel Gibson) qui utilisera une marionnette (un castor) pour exprimer des choses qu'il n'oserait pas dire à ses proches. Et si sa situation familiale n'est pas très bonne à la base, la venue de ce castor va le pousser dans des états de folies incroyables. Bon, d'une part il connaître un réel succès dans sa fabrique, mais concernant sa femme, les rapports deviendront tout de suite plus froid, plus distant aussi. Puis, ce film connaît un retournement de situation très surprenant, nous laissant dans un état bouche bée, les yeux grands ouvert, mais nous laisse aussi un filet de larmes sur nos joues. "Le Complexe du Castor" renferme une véritable histoire psychologique de Walter qui fait vivre une marionnette (le castor), et qui fait inévitablement vivre son histoire. Concrètement, on est pris du début à la fin. Cependant, une question réside toujours dans ma tête ; "Qu'est-ce qui a bien pu déclencher pour que Walter parle au travers une marionnette?».
Quant au casting, il est juste parfait. Un casting qui renferme un duo composé de Mel Gibson et Jodie Foster, deux très bons acteurs. Mel Gibson méconnaissable dans un rôle pareil, il réussi à nous émouvoir, et à faire vivre une peluche qui attire notre attention et notre curiosité bien évidemment.
Enfin, je conseil fortement ce film. D'une part pour son histoire touchante, émouvante mais aussi pour son casting. Original, "Le Complexe du Castor" est une vraie surprise.
Hey, je vous parlais juste avant de Poker House, je tenais à exprimer mon ressenti sur Le complexe du castor qui est pour moi un de mes films préférés. C'est une histoire très touchante accentué par des personnages forts et profonds, des personnages auxquels on s'identifie facilement. En plus de l'histoire, le casting est impressionnant: Mel Gibson qui tient un rôle très dur, livre une performance bluffante!! Et Jodie Foster a fait un super travail en tant qu'actrice mais surtout en tant que réalisatrice, avec des personnages très développés. Un film a voir absolument! :)
Un Mel Gibson bluffant (je comprendrais décidément jamais comment on peut cracher autant sur cet acteur...) dans un film qui l'est cependant un peu moins. Trop mou et pas assez de piquant malgré l'originalité de l'histoire et l'efficacité de certaines séquences. A voir tout de même !
Encore une bonne surprise pour ma part au cinéma qui mérite d’être en salle, contrairement à tant d’autres films. On passe presque par tous les registres existant pour nous scotcher à notre siège : humour, folie, joie, violence, tendresse, etc. Et Mel Gibson est là pour porter haut et seul ce castor « déjanté » qui nous replace dans la détresse que tout un chacun à pu connaître une fois dans sa vie et les solutions pour s’en sortir : ici pour aller mieux, le choix a été pris de parler au travers d’une marionnette de castor !
La bande annonce a elle seule ne m’aurait jamais fait découvrir ce film : la vie d’un homme désespéré qui parle grâce à une marionnette… Ce n’est pas le genre de chose qui peut faire rêver ou donner envie de se déplacer. Mais au delà, c’est toute une histoire de famille qui se joue, avec une femme qui ne veut cesser d’aimer son mari, un fils cadet qui cherche à gommer les différences avec son père, et le dernier fils qui adore la nouvelle personnalité « castorienne » de son père.
Les scènes s’enchaînent, et l’on découvre un certain parcours initiatique de Walker qui passe par toutes les phases du rétablissement après avoir été au bord du suicide. Certains passages nous font plus que sourire, comme lors de la reprise en main de l’usine de jouet ou de la présentation télévisée, ou au contraire tente de nous attrister sur le sort de cet homme, avec le rejet quasi continuel de la part de son fils cadet, ou encore mettent en exergue la folie qui peut tous nous toucher, avec la « dispute » entre le castor et l’homme.
Un film réussi qui nous plonge dans une histoire drôle et émouvante permettant de passer un agréable moment au cinéma. Des acteurs touchant et un castor déjanté qui nous pousse à ne pas en louper une miette. Une fin inattendue qui m’a étonné. Tous les ingrédients pour le conseiller. A voir !
Le Complexe Du Castor nous plonge dans une histoire originale. En effet elle raconte l'histoire d'un homme qui n'arrive à communiqué qu'à travers une marionnette. Le synopsis est intéressant mais le film souffre de beaucoup de défauts. Le premier est que l'histoire qui dès le début nous fait rentré dans les débats, ce qui est bien, ne nous raconte pas comment cet homme en est arrivé là ce qui a pour conséquences que nous ne le comprenons pas. Ensuite le film est beaucoup trop conventionnel et tire larmes. Oui car les scènes d'émotions sont trop accentué et pas assez sincère ce qui est préjudiciable dans un drame. Tout comme les discours et l'histoire entre les deux adolescents beaucoup trop clichés. Malgré tout cela, le film est bon grâce notamment à un très bon jeu d'acteur de Mel Gibson qui est omniprésent et à une b.o. de qualité. Un film à voir pour son histoire novatrice et bien réalisé.
Jodie Foster nous sort ici un film au scénario original qui nous livrera aucune surprise. C'est gentillet, mais ça manque encore une fois de style dans cette réalisation trop douce. Mel Gibson va extérioriser toute ses pensées, qu'il n'ose pas dire à sa famille, grâce à une marionnette, en l’occurrence un castor. Un film familiale qui pourra en émouvoir ou en faire rire certains dans ce voyage au pays de la dépression. Au-delà de ça, on est loin de prendre notre pied, même si la prestation de Mel Gibson arrive à nous convaincre (comme d'habitude). La moyenne pour l'originalité uniquement.
Un beau film que nous a fait Jodie Foster. Mel Gibson se rappelle à notre on souvenir (et nous rappelle qu'il est excellent). L'histoire de cet homme qui s'enfonce dans la dépression est à la fois touchante, intelligente et réaliste (ou comment la dépression détruit une famille quand un membre est touchée).
film psychologique qui montre la détresse d'un homme face à la dépression à l'aide d'une peluche il va trouver le chemin d'une guérison pour lui en réalité une descente au plus profond de sa maladie Mel Gibson est touchant dans ce rôle Jodie Foster égale à elle même
« The Beaver » est un drame remarquable, subtil et rempli d’intentions. Le casting reste simple avec des acteurs bien connu de l’écran : Mel Gibson et Jodie Foster, qui nous présente un jeu remarquable.
Il n’y a aucun moment ou l’on tombe dans l’ennuie, et ou le vide se fait sentir, les rebondissements sont audacieux et vont dans la suite logique des choses. Je trouve Walter Black (Mel Gibson) incroyablement authentique et vrai, jouant le rôle d’un profond dépressif, il arrive à transmettre au spectateur ses émotions d’une manière efficace, au travers de sa gestuelle et son état psychologique. La marionnette avec une tête de castor est quand à elle, presque vivante, la façon dont Mel Gibson s’en sert, la fait bouger et parler, lui donne une personnalité propre. Ce qui est incroyable, c’est la capacité que le castor a à soigner une personne malade, même si cela reste fictif, on rentre dans son jeu, et on exprime de l’attachement pour cette peluche. La chute reste intelligente, bien ficelée, dans la suite logique des choses. J’apprécie aussi l’histoire entremêlée du fils de Walter, Porter joué par ce jeune acteur que je ne connaissais pas, Anton Yelchin. Contrairement aux critiques plutôt moyennes sur ce film, je le conseille vivement !
Une véritable claque! Je l'avais depuis un moment et ce soir j'ai décidé de le regarder. Et bien il y avait longtemps qu'un film ne m'avait pas procuré un tel engouement de par son intensité dramatique. C'est beau, c'est juste et porté par des acteurs parfaits. Mel Gibson est grand! Attention : à regarder si on a vraiment l'intention de se plonger et se laisser envahir par le film. Pas fait pour une soirée légère entre potes.
Un film original mais pas extraordinaire non plus. Il est rare de voir Mel Gibson dans des drames de la sorte, la mise en scène n’est pas non plus spectaculaire avec pas mal d’académisme de la part de Jodie Foster (qui joue bien dans le film). L’œuvre prise dans son ensemble n’est pas vraiment rythmée et a même quelques soucis au démarrage car on tombe en plein dans les clichés de la représentation de la famille américaine en errance totale, un peu à la manière de ‘American Beauty’ pour citer un exemple. Par contre, une fois le sujet lancé, les personnages deviennent attachants sans pour autant émouvoir énormément. Certaines personnes seront indifférentes à l’anthropomorphisme alloué au fameux castor et c’est compréhensible… mais il n’empêche que la confrontation entre Walter et son double tentant de le sauver de la dépression est hallucinante tant l’animosité y est présente. Attention, certaines scènes sur le dédoublement de la personnalité sont réellement flippantes. Le thème principal du ‘comment sortir de la dépression ?’ et plus largement de la remise en question sont rabâchés trop fréquemment, ceci implique que le spectateur aura la mauvaise impression que les protagonistes tournent en rond afin de trouver une solution et ce après le cap des 45 minutes. Bref, voir un Mel Gibson dans cet état de dépression avancé était une bonne idée mais cela ne suffit pas quand vous verrez de quelle platitude le film est composé.
La très talentueuse actrice Jodie Foster revient à la réalisation et choisit le "persona non grata" le plus populaire d'Hollywood : Mel Gibson, pour son premier rôle. Et quel bon choix ! Qui mieux que l'australien devenu star grace à Mad Max pouvait incarner cet homme face à la crise de 50taine tapante avec le regard vide, les yeux en amande pleurante ? Il signe ici l'une de ses plus belles prestations dans ce film solide sur la depression et les moyens d'y échapper (ici avec une marionnette de Castor très réussi). Il amène avec lui un très bon Anton Yelchin dans le rôle du fils perdu à l'héritage génétique trop lourd, ainsi que la toujours aussi bonne Jennifer Lawrence, en cheerleader cassée. Un très bon modèle de film indé US de qualité mais à ne pas mettre entre les mains des dépressifs chroniques.
Une vraie petite merveille que ce drame psychologique ! Tout s'appuie sur une idée originale savamment mis en scène, et qui soulève un vrai problème. Vrai problème traité avec soin et réalisme, l'humour venant même s'allier à cela pour apporter un peu plus de relief au film. Les problèmes de la dépression et de la skyzophrénie sont très courants, très délicats, et très difficiles à cerner et à traiter tant ils revêtent des aspects différents d'un cas à l'autre. L'idée de cette marionnette est fantastique. Où comment, dans sa chute psychologique, l'homme, (interprété avec une justesse incroyable par Mel Gibson) arrive d'abord à revivre entre les mains du castor, avant de devenir totalement assujeti à ce personnage à qui il semble totalement transmettre sa vie et son âme. La graduation concernant la situation psychologique de Walter tout au long du film est dosée avec merveille. Une vraie réflexion donc sur la maladie, sur les capacités à s'en sortir, et sur l'interprétation de tout à chacun sur les méthodes d'aides à notre cerveau. Toute l'emprise que peut avoir eu la méthode et la marionnette sur une personnalité affaiblie comme celle de Walter est misxe en avant dans la manière radicale et effrayante qu'a trouvé ce dernier pour se libérer des chaînes de son mentor de poil si réel à ses yeux. L'évolution parallèle de son fils ainé, qui cherche à éliminer toutes ressemblances avec son paternel après avoir cherché le contraire est saisissante. Alors qu'il semble donner un nouvel élan à sa vie, tout semble s'écrouler quelquepeu avant de finalement connaitre, en même temps que Walter, une évolution significative et positive dans sa vie personnelle, à la fin de l'histoire. Un film décalé mais d'une justesse incroyable, d'un enrichissement certain. A voir !