Les plus utilesLes plus récentesMembres avec le plus de critiquesMembres avec le plus d'abonnés
Filtrer par :
Toutes les notes
missfanfan
89 abonnés
849 critiques
Suivre son activité
3,5
Publiée le 30 mai 2011
au plaisir de revoir la toujours et très talentueuse Jodie Foster et un bon Mel Gibson et même si ce film n'est pas un chef d'oeuvre il constitut néanmoins un divettissement plus que recommandable
Quel sujet intéressant. Cela commence fort avec la mère qui ne voit pas son petit fiston à la sortie de l'école, pourtant il sera le seul à comprendre tout de suite et accepter l'échange avec son père par l'intérmédiaire du castor, pour preuve que le père n'est pas le seul à être spécial, le fils se tape la tête contre les murs jusqu'au moment où il fracasse le mur, beau symbôle. Faire parler la marionnette est une idée géniale, cela donne même froid dans le dos à certaines scènes. Ce film est une mine d'idées sur les relations humaines, la solitude et les moyens de survivre face au chagrin. Bravo même si on peut penser que c'est un peu trop plein de bons sentiments.
J'ai trouvé l'histoire originale et ai plutôt bien aimé le film. On ne s'y ennuie pas une seconde. J'ai juste eu dû mal lors de la transition vers la 2ème partie du film : quelque chose me semblait clocher sans pouvoir mettre le doigt dessus. Puis c'est passé et ça l'a fait jusqu'au bout
Un film vrai qui nous parles, nous touche, nous fait rire, nous fait grandir et comprendre le monde qui nous entoure. Des acteurs justes. Exit Music ^^ (touché). Du baume au coeur !
Une histoire principale un peu tirée par les cheveux et des histoires secondaires absolument sans surprise. Film avec beaucoup de mélo et, au final, pas tant de réflexion qu'il ne s'en donne l'air.
Très bon film sur la dépression mais il manque un petit quelque chose, un peu plus de profondeur peut-être pour un faire un film exceptionnel. Il n'explore pas le sujet de la dépression totalement mais simplement en surface, j'aurais pas dit non à une petite demi heure en plus pour le faire mais le numéro de Gibson est remarquable, très crédible en bonhomme au bout du rouleau! quel regard! mon impression est convaincue grâce à lui!
Un Mel Gibson des grands jours, enfin pour son jeu d'acteur car son personnage de maniacodépressive n'est pas des plus joyeux. Jodie Foster a la baguette ce film m'a tout de même un peu déçu, un trop américanisé par la success story de "Walter" due a son auto-traitement impliquant sa marionnette. Le film ne nous transporte pas, pas assez touchant a mon goût mais de laisse regarder. La V.O. se révèle indispensable pour ce film car le jeu de rôle des acteurs est le point fort du long métrage.
Walter Black (Mel Gibson, très juste, sobrement douloureux) glisse irrésistiblement de la dépression (quand l'action débute, elle est installée - pourquoi ? comment ? à nous d'imaginer) à la schizophrénie (du dédoublement de personnalité à l'automutilation). La faute en revient au "castor", une marionnette particulièrement invasive qui parle avec l'accent australien. Jodie Foster, réalisatrice exigeante, n'a pas choisi la facilité en mettant en scène (avec discrétion, sans pathos, ni afféteries) cet improbable duo Walter/ "Beaver", tout en assurant d'ailleurs elle-même avec talent le rôle ingrat de Meredith, l'épouse aimante mais dépassée. Le reste de l'entourage immédiat de Walter (le fils aîné, Porter, qui en listant ses ressemblances avec son géniteur, traque chez lui-même les prémices de l'aliénation mentale, le jeune Henry, dévoré d'amour pour son père, et Norah, la "date" de Porter, accablée de son côté par la tragique disparition d'un frère) mérite aussi d'être loué pour la qualité de l'interprétation (Anton Yelchin, Riley Thomas Stewart et Jennifer Lawrence).
mon avis : Même si les premiers minutes castor/gibson sont difficiles a aborder , une fois ce duo adopté le film devient pationnant et émouvant . Avec un meg gibson incroyablement performant se donnant à 100% dans ce rôle de maniacodépressif . . .
Pour sa troisième réalisation Jodie Foster s'en tire honorablement grâce à une histoire touchante autour de ce drame familiale (des histoires qu'elle semble apprécier) dans lequel un homme dépressif va redresser la pente en se réfugiant derrière un castor en peluche. Outre le castor, Mel Gibson offre une exceptionnelle et poignante performance, Anton Yelchin est excellent et bien évidemment Jodie Foster en pleine possession de ses moyens. Mais même si le casting est bon, Jodie Foster n'a pas su bien capter les émotions de ces acteurs. A voir tout de même.
Le film de Jodie FOSTER est pas mal du tout. Il est porté par un scénario original, partant d'un constat classique de l'état réel de la société américaine (famille parfaite et bon job ne signifient pas automatiquement "bonheur") et d'une dénonciation du paraître et des apparences. Mais peu à peu, le film bascule dans la psychologie, à travers la dépendance qu'exprime Walter, le héros, vis à vis de cette marionnette dont il n'arrive pas à se détacher et qui progressivement l'écrase et l'étouffe. C'est en cet aspect que réside le réel intérêt du film. Si on va par là, c'est presque proche du thriller.... sauf que c'est loin d'en être un. Après, l'interprétation est parfaite, on retrouve Mel Gibson à son apogée, Jennifer Lawrence et Anton Yelchin sont des talents à suivre et Jodie Foster parfaite comme d'habitude. Après, la mise en scène n'a rien d'extraordinaire, ce n'est pas le point fort du film. Il faut le dire: Jodie Foster est meilleure actrice que réalisatrice à mon avis.
Une histoire originale qui traite de la folie avec humour avant de revenir à la triste réalité. Si la folie gagne les personnages, la réalisation elle, reste très terre à terre... Il aurait fallu le Sean Eliis de "cashback" ou le Sam Mendes de "american beaty" pour transformer l'essai en vraie réussite. Un petit sentiment d'inachevé donc, qui ne reflète pas le travail porté aux personnages secondaires, manquant malheureusement tous d'un peu de subtilité.
Le retour du Mel Gib's est toujours apprécié et surtout quand il nous fait du Mel Gibson. Un autre rôle à hauteur de sa mégalomanie, mais cet acteur là est le seul à susciter autant de sympathie, peu importe les personnages qu'il incarne. Je cris à son génie et même si les références à American Beauty sont trop flagrantes, ce qui dénature le film sans identité propre, je (plus que) suggère ce drame familial au amateur de bon casting.