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Barracuda13127
7 abonnés
29 critiques
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4,0
Publiée le 18 août 2011
Mel Gibson porte le film à lui tout seul, quel acteur, quoiqu'on en dise . Ce film de Jodie foster est plutôt intelligemment mené mérite d'être vu...sauf un soir de déprime...
On a un film, qui se révèle ne pas être trop déplaisant, malgré quelques défauts bien présents. En effet la mise en scène est soignée, la photo un peu scintillante et artificielle flirte avec le déjà vu, mais reste agréable. L'histoire en elle même est prenante au début, avant de devenir assez lourde, s'empêtrer dans des clichés de films indépendants avec la souffrance de l'individu etc. On a deux histoires en une, celle du fils, cliché des histoires d'amours adolescentes, mais assez agréable à suivre et celle de Mel Gibson, qui vire un peu au n'importe quoi, avec des redites, qui perd en simplicité au profit de rien du tout. Et on se retrouve avec la petite morale à la fin sur fond de musique triste… Mouais déjà vu… Du coup ça se regarde, mais c'est pas non plus du génie, au contraire.
13 735 abonnés
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2,5
Publiée le 26 janvier 2012
Curieux film de Jodie Foster qui signe avec "The Beaver" une rèalisation dèstabilisante! Son troisième long mètrage est un film ètrange qui avait ètè prèsentè hors compètition au festival de Cannes et qui n'avait pu être distribuè à cause des petits dèrapages de Mel Gibson! Ce dernier livre une prestation ètonnante, le rôle d’un ècorchè vif capable d'èmouvoir comme de faire rire! il ne faut pas pour autant voir dans cette histoire un document dèguisè sur les dèrives psychologiques de l'acteur de "Lethal Weapon", mais plutôt un message d'espoir lancè à ceux qui sont confrontès à la bipolaritè d'un proche! il est cependant dommage que l'ensemble ne convainc qu'à moitiè! Le film èvite de peu le ridicule parce qu’il y a tout le talent de Mel Gibson dont les rapports avec ce castor en peluche sont très troublants...
Un film d'auteur comme on n'en fait plus! D'une originalité folle, Le complexe du castor est tour à tour drôle et tragique et offre à Mel Gibson un nouveau grand rôle à son palmares.
L'histoire d'un malade qui se raccroche a une marionette debile. En parallele celle du fils tres moche qui va pecho la canon du college...mouais au final on a le choix entre deux scenar improbables qui rendent plus depressif que le ton fade et morne et le rythme plat du film. Au final l'histoire cliché et sans interet du fils sert peut etre a rajouter des minutes a ce film court mais en meme temps si long...dommage parce qu'il y a un casting tres interessant et de bonnes interpretations surtout celle de mel gibson
Il est bien difficile de parler de cette pépite cinématographique offerte par la très talentueuse Jodie Foster sans faire le parallèle avec la vie de l 'immense comédien qui est Mel Gibson ...Il évolue dans cette oeuvre magnifique à l 'instar de Romy schneider dans "la passante du sans -souci" Coluche dans le film de Claude Berri "Tchao Pantin"ou dans une autre mesure Jean Paul Belmondo dans "itinéraire d 'un enfant gâté " de Claude Lelouch pour comprendre comment un rôle peut -être aussi percutant ..où est donc la limite entre la vérité et l'interprétation ?C 'est ainsi que la question doit -être posée .....A partir de ce moment là nous obtenons une interprétation d 'une justesse redoutable ...Mel incarne "Walter Black "lutant contre ses démons à l 'aide d'une marionnette de castor qui le pousse à sortir de cette impasse dans laquelle il se trouve (la dépression) ,la souffrance de Gibson ne se déguise pas elle est omniprésente chez Walter d'un bout à l'autre .... Rarement un film aussi inaccessible (c 'est pour cette raison que l 'oeuvre n 'a pas fonctionné ) touche autant le spectateur ...Uniquement lorsque les personnages se juxtaposent avec les comédiensJodie Foster a affiché que Mel (même si le monsieur n 'a plus rien a prouver ) est un acteur complexe ...possédant une grande sensibilité ...en lui offrant ce superbe rôle ..Jennifer Lawrence évolue également avec beaucoup d 'aisance et finesse dans un rôle pivot qui définit déjà sa future carrière .Jodie Foster signe une belle oeuvre ...Où le Happy end n 'existe pas véritablement .
Par une justesse de tous les instants, la réalisatrice réussit à rendre crédible et passionnante cette thérapie improbable, mais qui doit également beaucoup à la prestation de Mel Gibson. Le script mixe une histoire d’adolescents qui est également, en creux, une sorte de thérapie, avec un rôle réécrit sur mesure pour Jennifer Lawrence. Malgré son jeune âge (elle à vingt ans au moment du tournage), elle offre déjà une présence impressionnante, réduisant Anton Yelchin au niveau d’un simple faire valoir. Enfin Jodie Foster n’hésite pas à jouer une épouse psychorigide, remplie de bonne intentions, qui sous son vernis policé, n’offre pas la moindre soupape a cet univers devenu irrespirable. Filmé avec un visuel élégant, et accompagné d’une musique jamais hors de propos, ce troisième film de l’enfant prodige du cinéma, par la grâce d’une fluidité rare, est une vraie réussite. Seul point noir, l’humour qui devrait apporter distanciation et respiration m’a semblé bien faiblard, avec parfois des répliques qui tombent à plat. C’est peu de chose comparé aux qualités de l’ensemble et en particulier d’un happy end habile, hésitant et fragile. Après tout, il reste encore un bras… Avec « Le complexe du castor » Jodie Foster a remis en selle son ami et très controversé Mel Gibson.